
... Vous passer sur le corps, why not ? Vous dites non ! Tant pis pour vous . Puis-je prendre votre place ? « A Frédéric II, roi de Prusse [vers le 15 octobre 1759] 1 Dans quelque état que vous soyez, il est très sûr que vous êtes un grand homme . Ce n'est pas pour ennuyer Votre Majesté que je lui écris , c'est pour me confesser à condition qu’elle me donnera absolution . Je vous ai trahi ; voici le fait . Vous m'avez écrit une lettre 2 moitié dans le goût de Marc-Aurèle votre patron, moitié dans le goût de Martial ou de Juvénal, votre...