
Pendant un instant, « un instant seulement » comme disait le Grand Jacques, j’ai eu la sensation de lire du Proust (par sa longueur) en parcourant cette phrase sur la guerre avec une vision « philosophique ». A cette différence près, qu’en bon béotien qui persiste et signe, Proust m’a laissé froid (comme une vieille madeleine rassie dans un thé de la veille) et m’est tombé des mains alors que Volti* m’emballe ! « Il faut que la guerre soit par elle-même quelque chose de bien vilain puisque les détails en sont si ennuyeux » : doux euphémisme !! La presse d’aujourd’hui, sans doute en...