
"Je ne lui écris point parce que je suis malade " : et s'il avait eu le téléphone, je parie que Volti aurait dit qu'il n'avait pas le réseau, ou plus de batterie, ou plus d'abonnement ! Visiblement il a le cul entre deux chaises avec ses illustrateurs de La Henriade et ménage la chèvre et le chou. Dure vie que celle d'auteur du XVIII ème qui doit s'occuper de tout - je dis bien de TOUT - pour enfin paraitre et s'exprimer . Douce vie pour les auteurs modernes à qui on mâche le travail dans les grosses maisons d'édition. Je parie qu'ils ne connaissent même pas...