j'avais fait ce qui était en moi pour sauver la vie de cet infortuné
20/02/2013
... Et vous tous qui me lisez et lisez Voltaire, vous pouvez aussi sauver des vies en étant donneur de sang, donneur de moelle, donneur d'organes .
De tous ces dons, le plus facile [sic] étant le don d'organes puisqu'il arrive après notre mort .
N'oublions pas de faire ces gestes pour les infortunés malades et blessés .
http://www.dondusang.net/rewrite/site/37/etablissement-francais-du-sang.htm?idRubrique=756
http://www.france-adot.org/don-organe.html
« A Adrien-Michel-Hyacinthe BLIN de SAINMORE 1
Aux Délices 12 décembre 1757
Ma mauvaise santé monsieur m'a empêché de vous remercier plus tôt de votre poème sur l'amiral Bing 2; je suis d'autant plus sensible à votre ouvrage que j'avais fait ce qui était en moi pour sauver la vie de cet infortuné ; je lui avais envoyé les témoignages de M. le maréchal de Richelieu 3 et de nos marins qui tous le justifiaient . Mes soins, dont il m'a témoigné sa reconnaissance en mourant n'ont servi qu'à rendre sa condamnation plus injuste . J'ai l'honneur d'être, monsieur, avec l'estime que je vous dois, votre très humble et très obéissant serviteur.
Voltaire
gentilhomme ordinaire du roi . »
2Voir : La mort de l'amiral Bing : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54640760/f2.image
3 Voir lettre du 20 décembre 1756 à Richelieu : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2011/07/26/si-je-voulais-transcrire-les-paroles-favorables-que-vous-m-a.html
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