30/03/2014
Vous vous êtes donc alarmé trop vite
... Dira le candidat élu de justesse à sa troupe de co-listiers municipaux.
Dira (in petto) François H. aux quelques ministres sur siège éjectable qui garderont un portefeuille .
Et puis surprise !!...
« A Jean-Louis Labat, baron de Grandcour 1
[vers le 20 février 1759] 2
Vous êtes donc content . Vous vous êtes donc alarmé trop vite . J'ai donc dit des injures très mal à propos à la Sérénissime . Il faudra donc que je demande pardon d'avoir grondé . Vous êtes donc un baron trop craignant les princesses . Je vous remercie de l'appoint bernois . Dieu vous tienne en sa sainte et digne garde , noble et généreux baron que j'embrasse cordialement . »
2 Lettre datée d'après la réponse que fit V* le 21 février 1759 à la lettre du 10 février 1759 où la duchesse de Saxe-Gotha écrivait : « Ce n'est pas la faute de notre ministre qui est très exact que votre baron genevois n'a pas reçu à temps, les lettres et les avis qu'il lui a adressés . Maintenant je ne doute pas que notre honnête créancier ne soit content de nous tous, car il vient d'écrire à notre ministre et d'accuser ses lettres [...] »
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