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15/08/2014

Je ne crois pas l'avantage des Russes si considérable, mais je crois la guerre, ce fléau de Dieu , fort longue

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« A Jacob Vernes

[juin-juillet 1759]

Je demande pardon d'avoir fait attendre la fille , j'étais à table .

Je ne connais de Socrate que celui de Tompson 1. Je le fais venir d’Angleterre . Je ne crois pas l'avantage des Russes si considérable, mais je crois la guerre, ce fléau de Dieu , fort longue ; all is right, in spight of the kings,2 of the pox and all .

Y rmost h. st3»

3 Tout est bien, en dépit des rois, de la vérole et de tout . Votre très humble serviteur .

 

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