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11/01/2017

Ces Étrennes à ce que je vois, ne vous sont pas adressées

... Trop tard ! Trop peu !

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 Vingt sous !

 

 

« A Jean Le Rond d'Alembert

[vers le 15 janvier 1762] 1

Je vous renvoie mon cher et grand philosophe Les Étrennes de M. le chevalier de Molmire 2. Elles m'ont assez amusé . S'il y a quelque chose de nouveau dans ce goût-là, je vous supplie de vouloir bien m'en faire part . Ces Étrennes à ce que je vois, ne vous sont pas adressées mais quelquefois vous rencontrerez dans votre chemin des gens à qui elles appartiennent de droit . Je vous recommande toujours ces messieurs, et je compte sur votre amitié . »

1 Manuscrit olographe ; mention d'éditeur « comm. de janv[i]er 1762 », changé en « 1761 » , non publiée.

2 Les Chevaux et les Ânes ou les Etrennes aux sots, 1761, voir lettre de novembre-décembre 1761 à Cramer : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2016/12/02/songez-aux-etrennes-pour-les-sots-5882033.html

 

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