26/01/2020
Pardonnez aux pauvres campagnards qui ne savent pas ce qui se passe dans le monde
... Mais qui n'en pensent pas moins !
Pas de grèves chez nous !
« A François Tronchin
Conseiller d’État
rue des Chaudronniers
à Genève
[28 novembre 1764]1
Nous ne savions pas , mon cher ami, que votre érésipèle avait eu des suites, et que vous eussiez gardé la chambre si longtemps ; nous aurions envoyé chez vous maman et moi ; nous n'apprenons votre maladie que quand vous en êtes quitte . Pardonnez aux pauvres campagnards qui ne savent pas ce qui se passe dans le monde ; et recevez les tendres compliments de toute la maison. »
1 Date portée par Tronchin sur le manuscrit .
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