19/07/2011
Portuguaises ensablées ?... la faute à Paris plages !
C'est ce que je me dis en constatant l'absolue surdité des respon-sables politiques de notre capitale .
Année après année, ils en remettent une couche, si possible plus épaisse et plus longue que la précédente . Ils me font penser à cette étonnante déclaration de feu Charles de Gaulle qui évoquait une France allant de Dunkerque à Tamanrasset, et qui est donc en voie de se réaliser, le tas de sable parisien migrant petit à petit vers le Sahara , le désert des idées rejoignant le désert des hommes bleus ( qui a dit "des schtroumpfs" ) .
Dixième année de dépenses, à mes yeux, ridicules pour couvrir , excusez-moi du terme, la merde au chien parigot .
Pendant ce temps, des étudiants vivent en sous-sol ou sous les toits pour des loyers prohibitifs, des travailleurs se retrouvent à la rue, on expulse à tout va sans appliquer la clause du droit au relogement .
M. Delanoë, socialiste , je vous trouve bien inconséquent et inconsistant .
Velib , OK, bronzette au gaz d'échappement , pas OK ; mais il est vrai que la ville de Paris n'en est pas à quelques millions près lorsqu'il s'agit de faire de l'esbrouffe . Combien de repas pour les Restos du coeur pour le prix du plus grand bac à sable pour faire pisser Mirza ?
Rédaction ce jour de la lettre du 26 décembre 1775 à Beaulieu de Barneville pour mise en ligne le 26 décembre 2010 :
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