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05/09/2013

on parle d'horreurs. A Paris on murmure, à Versailles on ne dit mot

... A Sankt Peter on ne se contente pas de parler d'horreurs, on en commet .Poutine sait encore manier le knout, verbalement pour l'instant .

Les  François tentent de se faire entendre, le notre en faisant appel à l'Europe et le Romain en jeunant et priant ; de ces faibles voix laquelle aura le plus de succès ?

A l'ONU on se tait , on manque peut-être de peinture bleue pour les casques ?

 En tout état de cause, le choix d'une intervention armée en Syrie est aussi détestable que possible .

 

 

 

« A mon impitoyable ESCULAPE (Théodore TRONCHIN)

[vers le 28 juin 1758]

Mon cher grand homme, le rôle de confidente 1 n'est pas dangereux il n'y a point de rôle comique qui ne demande plus d'action et de voix. Une confidente dit son avis tout doucement à sa maîtresse. Votre présidente 2 a une dureté au foie que le plaisir seul peut fondre. Mais vous êtes son maître et le nôtre, et nous sommes tous vos brebis conduisez-nous.

On parle d'une victoire du roi de Prusse 3; on parle de la suite de la victoire du prince de Brunswick; on parle d'horreurs. A Paris on murmure, à Versailles on ne dit mot. Interim vale. »

 

3 En liaison avec la victoire de Ferdinand prince de Brunswick, (1721-1792) à cette époque, il doit s'agir de la victoire de Crefeld du 23 juin 1758, où les Français mal commandés furent défaits par un ennemi fort inférieur en nombre, et pour la plupart sans avoir fait feu . Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Krefeld

 

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