26/03/2014
comme il y est parlé de vous, c'est à vous à vous défendre, si vous croyez qu'on le puisse
... Ce qui concerne un certain nombre de personnages publics qui font la une des journaux , à tort ou à raison .
Jean-Noël Guérini et Jean-David Ciot, par exemple, pour coller à l'actualité de ces deux personnages politiques répréhensibles .
« A Frédéric II, roi de Prusse 1
[17 février 1759]
[Lui envoie son ode à Wilhelmine et s'informe de ce que Néaulme imprime à son sujet .]
1Cette lettre est du même ordre que celle du 17 février 1759, en même temps qu'il envoyait son ode sur la mort de Wilhelmine au mari de celle-ci ( voir lettre : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2014/03/25/elle-vous-aimait-monseigneur-5331640.html ), d'où la date proposée . Le roi de Prusse répondit le 12 mars 1759 : « J'ai reçu cette ode qui vous a si peu coûté, qui est très belle, et certainement ne vous fera pas déshonneur . C'est le premier moment de consolation que j'ai eu depuis cinq mois . Je vous prie de la faire imprimer, et de la répandre dans les quatre parties du monde . Je ne tarderai pas longtemps à vous en témoigner ma reconnaissance . Je vous envoie une vieille épître [Épître sur le hasard à ma sœur Amélie , Œuvres de Frédéric , XII, 67-79 : http://friedrich.uni-trier.de/de/oeuvres/12/64/text/] que j'ai faite il y a un an ; et comme il y est parlé de vous, c'est à vous à vous défendre, si vous croyez qu'on le puisse […]. Vous voulez savoir ce que Néaulme imprime ; vous me le demandez à moi qui ne sait pas si Néaulme est encore au monde, qui n'ai pas mis près de trois ans le pied à Berlin […]. »
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