Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

03/01/2009

tigres en voie de disparition : chic alors !!

Une espèce en voie de disparition ? Ouf ! enfin !!

Franchement, jusqu’à présent, ces tigres lointains n’étaient pour moi que des révolutionnaires de peu d’intérêt, assassins, fanatiques, bornés, menés par des dirigeants prêts à sacrifier des enfants, des salauds pour vous dire ma pensée. Après quelques informations, -voir liens -, je ne change pas d’avis, mais l’activité gouvernementale de ce pays me fait aussi peur que celle des pseudo-tigres. Je ne pleurerai pas si cette espèce disparait, elle déshonore l’animal dont elle n’a aucune des qualités.

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/20090102.OBS8041/chronologie_du_conflit_separatiste_tamoul.html

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/asiepacifique/20090102.OBS7994/le_president_presse_les_rebelles_tamouls_de_deposer_les.html

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tigres_de_lib%C3%A9ration_de_l'Eelam_tamoul

 

 

Je laisse un instant ce monde de brutes épaisses qui d'ailleurs se passe allègrement de mon avis, n'est-ce pas ?

Revenons à Volti ( c'est ainsi  que je le salue chaque fois que je le vois à Ferney ).

 

 

"A Pierre-Robert Le Cornier de Cideville, ancien Conseiller au parlement, à Rouen

 

LeCornierdeCideville.jpg

 

Les rois ne me sont rien, mon bonheur ne se fonde

Que sur cette amitié dont vous sentez le prix.

Mais hélas Cideville, il est dans ce bas monde

Beaucoup plus de rois que d'amis.

 

Mon malheur veut que je ne voie guère plus mes amis que les rois. Je suis presque toujours malade. Je n'ai envisagé qu'une fois le roi mon

 

maître depuis son retour [de l'armée le 26 septembre 1747 ] et il y a plus de six mois que je ne vous ai vu. Il est bein vrai que nous avons

 

joué à Sceaux des opéras, des comédies, des farces et qu'ensuite m'élevant par degrés au comble des honneurs j'ai été admis au théâtre des

 

petits cabinets entre Moncrif et d'Arboulin [ Mme de Pompadour a obtenu qu'on invitât les auteurs suite au succès de L'Enfant prodigue de

 

Voltaire ]. Mais, mon cher Cideville, tout l'éclat dont brille Moncrif ne m'a point séduit. Les talents ne rendent point heureux qurtout quand on

 

est malade ; ils sont comme une jolie dame dont les galants s'amusent et dont le mari est fort mécontent. Je ne vis point comme je voudrais

 

vivre, mais quel est l'homme qui fait son destin ? Nous sommes dans cette vie des marionnettes que Brioché mène et conduit sans qu'elles

 

s'en doutent. On dit que vous revenez incessamment. Dieu veuille que je profite de votre séjour à Paris un peu plus que l'année passée ! En

 

vérité nous sommes faits pour vivre ensemble . Il est ridicule que nous ne fassions que nous rencontrer.

 

Adieu, mon cher et ancien ami, Mme du Châtelet-Neuton vous fait mille compliments.

 

 

Voltaire

2 janvier 1748" 

 

http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Robert_Le_Cornier_de_...

 

 

Les commentaires sont fermés.