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12/12/2014

quelle idée, quel contraste, quel mot

... Mais quel imbécile, quel crétin fieffé que ce Mélenchon qui insulte Mme Angela Merkel . Ce tout en gueule , aux propos creux, serait juste capable d'être roi dans un bac à sable . Vraiment bas de plafond, le Mélenchon , le Front de Gauche est à ras les pâquerettes (en hiver , c'est en dessous de tout ) .

 Enflure costumée ! on t'a reconnu Jean-Luc !

 

enflure.jpg

 

« A Frédéric II, roi de Prusse

[4 décembre 1759]

[Lettre relative aux négociations de paix] 1

/Le rat-aspic : quelle idée, quel contraste, quel mot [ ...]

1 Cette lettre fut envoyée à la duchesse de Saxe-Gotha le 4 et lui parvint le 11 décembre 1759, ainsi qu'elle l'écrit le lendemain ; ( voir lettre du 8 décembre 1759 à la duchesse : page 252 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6514333b/f264.image )

V* répond à une lettre du 19 novembre de Frédéric II qui commençait par ces mots : «  Je viens de recevoir la lettre du rat ou de l'aspic, du 6 novembre ... » ; voir lettre du 30 novembre 1759 à Choiseul : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2014/12/05/je-les-ai-fort-assures-que-j-avais-trouve-le-pupitre-qu-il-ne-restait-plus.html

Les quelques mots conservés sont pris de Sander dans les Hinterlassene Werke Friedrichs II, 1789 . D'autre part, le 18 décembre 1759, Frédéric II écrivit à son ambassadeur à Londres, le baron de Knyphausen : «  Je ne vous fais ma présente lettre que pour dire , pour votre direction seule et sous le sceau du secret , que je viens de recevoir une lettre de très bon lieu et de main confidente, sur laquelle je crois pouvoir compter d'autant que jusqu'à présent les nouvelles de celui qui me l'a faite, ne m'ont pas encore failli . En conséquence l'on m'avertit en date du 4 de ce mois que la cour de Versailles, vu le dérangement de ses affaires, avait envie de céder bien à l'Angleterre la Canada, ou comme sont proprement les termes de la lettre, les pays de la morue et des castors, pourvu que la France retirât quelques avantages dans les Pays-Bas . Que de cette façon-là elle ferait sa paix et retirerait d’abord tout ce qu'elle avait de troupes dans l’Allemagne, enfin, selon que je dois présumer par cette lettre, que la cour de France serait capable, moyennant ces conditions , d'abandonner la reine-impératrice et se autres alliés présents . » Il n'y a guère de doute que la « main confidente » est celle de V*, dont on reconnaît l'influence sur le ministère jusque dans la teneur des propositions consistant à abandonner le Canada .

 

 

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