08/12/2019
ni l’un ni l’autre n’ont pu le remercier encore
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« A Monsieur Bazire, chez M. de Montagnier, maire de Seissel à Seissel
Aux Délices, 20 octobre 1764 1
M. de Voltaire était très malade lorsqu’il a reçu la lettre obligeante et les vers encore plus agréables de M. Bazire. Madame Denis était auprès de lui, et ni l’un ni l’autre n’ont pu le remercier encore. Ils l’assurent tous deux de leur reconnaissance et de l’extrême envie qu’ils auraient de la lui témoigner.
J’ai l’honneur d’être son très humble et très obéissant serviteur
Voltaire. »
1 D'après la copie du XIXè siècle , d'après l'original se trouvant en possession de Mlle Victorine Bazire, à Livarot ; voir : http://villesducalvados.free.fr/01stmargueriteloges.htm
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