27/02/2020
we have few beds, but you will not sleep on two chairs
... dit , rassurant, le directeur de La Santé au couple Fillon . Pour y échapper, François va-t-il être obligé, pour se disculper , lui , et du coup sa douce et tendre et dure à cuire, de faire valoir le devoir conjugal de Pénélope comme un travail qui mérite rétribution, who knows ?
« A James Boswell
[25 décembre 1764] 1
Sr ,
You will do us much honour and pleasure, we have few beds, but you will not sleep on two chairs . My uncle, tho very sick, hath guess'd at yr merit . I know it more, because I have seen you longer. 2»
1 Boswell a noté sur l'original : « Answer by M. de Voltaire in the character of his nièce » (« réponse de M. de Voltaire, dans le caractère de sa nièce ». Six jours plus tard, Boswell écrit à Rousseau : « J'ai été chez M. de Voltaire . Sa conversation est la plus brillante que j’aie jamais entendu . J'avais avec lui un entretien très sérieux . Il me parlait de sa religion naturelle d'une manière dont j'étais frappé . » La présente lettre écrite par V* au nom de sa nièce répond en effet à une lettre de Boswell du 25 décembre à celle-ci dans laquelle il la prie de solliciter pour lui de son oncle la permission de passer encore une nuit sous son toit, de façon à profiter de sa compagnie .
Voir : https://www.whitman.edu/VSA/visitors/boswell.html
et : https://www.persee.fr/doc/bude_0004-5527_1966_num_1_3_4141
2 « Monsieur, / Vous nous ferez beaucoup d'honneur et de plaisir . Nous avons peu de lits, mais vous ne dormirez pas sur deux chaises . Quoique malade, mon oncle se doute de votre mérite . Je le connais d'autant mieux que je vous ai vu plus longtemps . »
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