25/05/2012
les ministres ont leurs raisons, dans lesquelles il ne m'appartient pas de pénétrer.
... Remarquable descente en flamme de ministres incompétents . J'ose espérer que nous aurons des décisions claires et pertinentes issues du nouveau gouvernement .
Ces aneries, ça me défrise !
Dès à présent, je m'élève contre la modification des droits de succession qui à mes yeux aura un effet pervers . Je m'explique : un propriétaire de bien immobilier locatif important, qui laissera ceci à son/ses héritiers, ceux-ci pour rattrapper les frais de succession vont à tout coup augmenter les loyers, je suis prêt à le parier, connaissant la bonté incommensurable des dits propriétaires, les dindons de la farce restant toujours les mêmes .
Qui a dit : "ça sent le vécu ?"
http://users.belgacom.net/itanca/12.delirium/26.le%20ponctionneur.htm
« A M. Pierre PICTET,
Professeur en droit.
Monrion, 12 février [1756]
Mme Denis, mon très-cher voisin, prétend qu'elle a écrit très- régulièrement à Mme Pictet. Il faut que les lettres se soient croisées. Ce n'est pas avec les personnes que l'on aime qu'on manque à son devoir. Je vous remercie de vos nouvelles. Je commence à douter de la destruction de Philadelphie. Quoique je tienne cette nouvelle du roi Stanislas, je ne doute pas que le ministre de France n'envoie, comme vous le dites, des secours en Amérique sur des vaisseaux détachés. On les prendra peut-être plus aisément mais les ministres ont leurs raisons, dans lesquelles il ne
m'appartient pas de pénétrer.
Le roi de Prusse fait des traités et des vers; il peut faire tout ce qu'il voudra. Mille tendres respects à toute votre famille.
V. »
23:12 | Lien permanent | Commentaires (0)
24/05/2012
Il est très-capable, comme vous savez, de faire la musique lui-même
... Qui sait ? Oui , peut-être ! mais en attendant, notre président doit d'abord s'occuper des paroles .
Moâ ! j'y croaaââ !
« A M. D'ALEMBERT.
A Monrion, 10 février [1756]
Je vous envoie, mon cher et illustre confrère, deux phénomènes littéraires, l'un des deux vous regarde; et vous verrez quels remerciements vous devez à M. Formey 1, secrétaire de votre Académie de Berlin. Pour moi, j'en dois de très-sincères au roi de Prusse. Vous voyez qu'il m'a fait l'honneur de mettre en opéra français ma tragédie de Mérope, en voici la première scène. J'ignore encore s'il veut qu'on mette en musique ses vers français, ou s'il veut les faire traduire en italien. Il est très-capable, comme vous savez, de faire la musique lui-même; sans cela, je prierais quelque grand musicien de Paris de travailler sur ce canevas. Les vers vous en paraîtront fort lyriques, et paraissent faits avec facilité. Il ne m'a jamais fait un présent plus galant.
Dès que je serai de retour à mes petites Délices, je travaillerai à Français 2 et à Histoire 3, et je serai à vos ordres, sauf à être réduit par le sieur Formey. Mes compliments à tous les encyclopédistes. »
2 Voir : http://www.monsieurdevoltaire.com/article-dictionnaire-philosophique-f-comme-francois-85872925.html
22:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
22/05/2012
Je conviens que le rôle de la France n'est pas brillant à présent
... OK, OK ! Je ne vois que le satiné de nos couleurs . Nous n'irons pas jusqu'au mat , heureusement .
Toutefois, je me permets de rappeler à François Hollande et à Laurent Fabius qu'il est d'autres moyens que celui d'arriver en retard avec des alibis à la noix de coco pour se faire remarquer et avoir quelque influence internationale .
L'exactitude est politesse des rois, et ceci je le prends au sens horaire du terme et au sens exactitude des propos . L'inexactitude ne doit pas être l'impolitesse de la France . Le seul côté positif est d'en conclure que François ne se prend pas pour un roi !
Il est vrai qu'il a un sérieux handicap pour consulter l'heure à sa montre .
Ou alors il a une anti-sèche écrite sur sa manchette ?
« A M. Élie BERTRAND,
Pasteur de l'église française, à BERNE 1
A Monrion, 10 février 1756.
Le projet de M. Formey 2 suppose, mon cher philosophe, quelque chose de plus que du courage, s'il veut faire lui seul une encyclopédie, c'est beaucoup pour un seul homme. S'il veut retrancher de cet ouvrage les mathématiques et les arts, qui en sont le fondement, c'est le réduire à rien, c'est faire un dictionnaire de choses triviales. Joignez à la singularité de ce projet la mauvaise grâce de se servir du travail d'autrui, le risque de le gâter, le soupçon d'avoir fait cette manœuvre par intérêt, et vous m'avouerez alors que ses amis devraient le détourner d'un tel dessein. Le grand nombre de savants qui travaillent à l'encyclopédie s'élèvera contre lui, ils en auront d'autant plus de droit que lui- même se joignit à eux dans les commencements, et se proposa pour les aider dans plusieurs articles de philosophie. Il envoya ses articles, on les lui paya noblement et on s'en servit peu. Vous voyez combien de raisons doivent concourir à lui faire abandonner son idée. Si vous êtes son ami, je pense que vous lui rendriez un vrai service de le détourner d'une telle entreprise, sans me citer et sans alléguer les raisons que je vous apporte.
Le projet de faire un opéra de ma tragédie de Mérope n'est pas si étrange. J'ai été tout étonné de recevoir un gros paquet du roi de Prusse; il contenait ma tragédie de Mérope, qu'il s'est donné
la peine de tourner en vers lyriques, et il m'avertit qu'il faisait cet ouvrage en travaillant à son traité. Voilà une anecdote assez singulière.
J'ai lieu de croire, mon cher monsieur, que votre discours sur Lisbonne est imprimé actuellement à Rouen 3. La personne à qui je l'ai confié m'apprend qu'elle l'a donné à un libraire de ce pays-là. J'espère vous en envoyer bientôt des exemplaires. Mon sermon en vers 4 ne vaut pas le vôtre en prose, et je ne le crois pas fait pour l'impression 5. Cependant, si vous voulez vous en amuser avec M. le banneret de Freudenreich et n'en donner aucune copie, j'aurai l'honneur de vous l'envoyer.
Je conviens que le rôle de la France n'est pas brillant à présent non illi imperium pelagi saevumque tridentem.6
Conservez votre amitié à votre très-tendre serviteur et malade.
V. »
1 Cette lettre, et les suivantes adressées à la même personne, ont été publiées dans Le Magasin universel, 1838-1839, tome VI. Elles sont écrites entièrement de la main de Voltaire.
Voir pages 260, 310, 334, 350, 374 : http://books.google.fr/books?id=oxPmAAAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q=bertrand&f=false
5 Après l'avoir donné à imprimer aux frères Cramer , il leur demandera « deux douzaines d'exemplaires du Poème sur Lisbonne et sur la Loi naturelle » le 7 mars, puis il enverra un nouveau texte parce que la première version lui « donne un grand mal de tête » : « Nous nous sommes trop pressés frères très chers . Vous avez voulu imprimer Lisbonne. J'ai eu la faiblesse de vous donner un ouvrage imparfait . », écrira-t-il le 14 mars .
6 Vers 138 de l'Enéïde de Virgile : « ce n'est pas à lui, (mais à moi) que sont échus l'empire des mers et le trident redoutable . » ou « ce n'est pas à lui qu'échurent par le sort l'empire de la mer et le cruel trident, mais à moi. »
23:55 | Lien permanent | Commentaires (0)
Ainsi M. le cardinal de Tencin, qui est si tendrement attaché à ce grand homme
http://www.youtube.com/watch?v=1mO7i8V6dUE
... Oui, Take five !
Aujourd'hui, tout autant qu'hier, avant de juger les actions des nouveaux ministres et du président .
Si tendrement ...
Je ne sais si le chef des cardinaux -Benoït xvi- voit d'un bon oeil notre nouveau gouvernement, mais quoiqu'il pense, on se passera de son avis .
« A M. Jean-Robert TRONCHIN, DE LYON
La nouvelle du saccagement de Philadelphie se confirme-t-elle ?1 Est-on bien ébaubi du traité du roi de Prusse? Ce monarque, pendant qu'il faisait son traité, faisait un opéra en vers français de ma tragédie de Mérope; il vient de me l'envoyer. Ainsi M. le cardinal de Tencin, qui est si tendrement attaché à ce grand homme, pourrait me recevoir à bras ouverts 2, puisque je suis dans une si belle correspondance. »
16:46 | Lien permanent | Commentaires (0)
17/05/2012
enfin, malgré tous les maux que les querelles de religion répandirent autrefois sur votre maison, vous régnez paisiblement
... Enfin, malgré tous les maux que les querelles de parti répandirent ... un nouveau gouvernement , etc. ... est appelé à règner sans paix !
« A madame la duchesse de SAXE-GOTHA
A Monrion, 10 février 1756.
Madame, je ne sais si Votre Altesse sérénissime se ressouvient qu'elle voulait, dans sa dernière lettre, que je me fisse un peu théologien. J'ai tâché de prendre mes degrés pour vous plaire. J'ai fort augmenté mon sermon mais j'ai peur d'y avoir fourré quelque hérésie. Plus je réfléchis sur le mal qui inonde la terre, et plus je retombe dans ma triste ignorance. Je souhaite seulement que cet axiome Tout est bien, se trouve vrai pour votre personne et pour toute votre auguste famille. Il me semble cependant que tout aurait pu être mieux pour vous, sans cette maudite bataille de Mulberg 1. Mais enfin, malgré tous les maux que les querelles de religion répandirent autrefois sur votre maison, vous régnez paisiblement sur des États où vous êtes adorée, et Votre Altesse sérénissime ajoute la considération personnelle la plus distinguée aux respects que sa naissance et son rang lui attirent. Elle cultive son esprit par les lettres, elle fait tout le bien qu'elle peut faire; enfin le nouveau proverbe Tout est bien est vrai à Gotha. On dit que tout est mal chez les Anglais, en Amérique, et chez les Français, sur mer. Les sauvages alliés de la France ont détruit et mis à feu et à sang Philadelphie 2, capitale de la Pennsylvanie, à ce que mande un jésuite iroquois à un jésuite lorrain.
Les Anglais se vengent en prenant tous les vaisseaux français qu'ils rencontrent. Le roi de Prusse les empêche au moins de se battre en Allemagne, et je crois que son dernier traité n'a pas déplu à votre nation.
Votre Altesse sérénissime croirait-elle que le roi de Prusse vient de m'envoyer un opéra en vers français de sa façon ? C'est ma tragédie de Mérope, qu'il m'a mise en vers lyriques. Je lui suis très-obligé de cette galanterie; je lui aurais plus d'obligation s'il réparait le mal qu'on a fait dans Francfort à une dame respectable et à moi 3. Cette réparation serait plus glorieuse pour lui qu'un opéra. Mais ses injustices sont moins présentes à mon cœur que vos bontés.
Je suis bien fâché, madame, d'être loin de Votre Altesse sérénissime, et de n'être pas à portée de dire tous les jours à la grande maîtresse des cœurs combien je révère la vraie Dorothée 4, la plus respectable, la plus aimable princesse de la terre, à qui je serai attaché pour jamais avec le plus profond respect. »
1 Gagnée en 1547 par Charles-Quint sur les protestants, commandés par l'électeur de Saxe Jean-Frédéric.
2Voir page 65 : http://books.google.fr/books?id=_D_wSBWLdaUC&pg=PA65&...
3 Rappel des « avanies de Francfort » lorsque V* et sa nièce Marie-Louise Denis furent arrêtés, maltraités, volés lorsque V* quitta la Prusse en 1753 .Voir page 445 : http://books.google.fr/books?id=1ykaAAAAYAAJ&pg=PA445&dq=avanies+de+francfort+voltaire&hl=fr&sa=X&ei=dzG0T_2pBsGFhQeTz6GZDg&ved=0CEUQ6AEwAw#v=onepage&q=avanies%20de%20francfort%20voltaire&f=false
4 Personnage de la Pucelle d'Orléans .Voir : http://books.google.fr/books?id=mi4HAAAAQAAJ&printsec=frontcover&dq=pucelle+d+orl%C3%A9ans+voltaire&hl=fr&sa=X&ei=bDK0T_DwMIaJhQejudj3DQ&ved=0CDUQ6AEwAA#v=onepage&q=doroth%C3%A9e&f=false
01:22 | Lien permanent | Commentaires (0)
16/05/2012
J'aurais pu donner quelques bons avis; mais je me renferme dans mon obscurité et dans ma solitude, comme de raison.
... Et parmi ces "bons avis", l'expression de ma satisfaction de voir que Martine Aubry ne fait pas partie du gouvernement . Voilà un boulet (de charbon ?) qui va tenter d'être à nouveau bienvenu chez les Ch'tis !
Fiat lux !
« A M. le maréchal duc de RICHELIEU.
A Monrion, 7 février [1756]
Je vous remercie bien fort, mon héros, de votre belle et instructive épître. Il est vrai que vous écrivez comme un chat, et que, si vous n'y prenez garde, vous égalerez le maréchal de Villars. Je me flatte bien que vous l'égalerez tout de même, quand il ne sera pas question de plume; mais il me semble que le nouveau traité dont le roi de Prusse s'applaudit ne vous permettra pas la guerre de terre. Vous ne seriez pas le premier de votre nom 1 qui eût gagné une bataille navale mais, jusqu'à présent, vous n'avez pas tourné vos vues de ce côté. Vous allez pourtant vous montrer à la Méditerranée; et je voudrais que les Anglais fissent une descente à Toulon, pour que vous les traitassiez comme on vient de les traiter à Philadelphie.
Je reviens à Fontenoy. Je suis encore à comprendre comment ma nièce ne vous donna pas le manuscrit que je lui avais envoyé pour vous. Ce manuscrit ne contenait que des mémoires qu'il fallait rédiger et resserrer, il y avait une grande marge qui attendait vos instructions dans vos moments de loisir.
M. de Ximenès, qui allait souvent chez ma nièce, sait comment ces mémoires, informes et défigurés, ont été imprimés en partie. Je ferai transcrire l'ouvrage entier dès que je serai de retour à mes petites Délices auprès de Genève. Il est bien certain que le nom de Reiss ou de Thésée 2 est une chose fort indifférente mais ce qui ne l'est point, c'est qu'on ose vous contester le service important que vous avez rendu au roi et à la France.
Permettez-moi seulement de vous représenter qu'en vous tuant de dire qu'il n'y a pas un mot de vrai dans la conversation rapportée, vous semblez donner un prétexte à vos envieux de dire que ce qui suit cette conversation n'est pas plus véritable.
Je n'ai pas inventé le Thésée, et, par parenthèse, cela est assez dans le ton de M. le maréchal de Noailles. C'est, encore une fois, votre écuyer Féraulas qui me l'a conté, c'est une circonstance
inutile, sans doute; mais ces bagatelles ont un air de vérité qui donne du crédit au reste; et, si vous me contestez le Thésée publiquement, vous affaiblissez vous-même les vérités qui sont liées à cette conversation. On présumera que j'ai hasardé tout ce que je rapporte de cette journée si glorieuse pour vous.
Au reste, toute cette histoire est fondée sur les lettres originales de tous les généraux; et quelques petites circonstances qu'on m'a dites de bouche ne peuvent, je crois, faire aucun tort au reste de l'histoire, quand je rapporte mot pour mot les lettres qui sont dans le dépôt du ministre.
Je souhaite que la guerre sur mer soit aussi glorieuse que la dernière guerre en Flandre l'a été.
Croirez-vous que le roi de Prusse vient de m'envoyer une tragédie de Mérope mise par lui en opéra ? Il m'avertit cependant qu'il n'est occupé qu'à des traités. Je voudrais que vous vissiez quelque chose de son ouvrage, cela est curieux. Faites vos réflexions sur ce contraste et sur tous ces contrastes. J'aurais pu donner quelques bons avis; mais je me renferme dans mon obscurité et dans ma solitude, comme de raison.
Je ne doute pas que vous ne voyiez Mme de Pompadour avant votre départ. Je n'ai qu'à vous renouveler mon éternel et respectueux attachement. »
1 Allusion à la digue construite par les ordres du cardinal de Richelieu, en 1628, pour fermer le port de la Rochelle à la flotte anglaise.
2 Ceci est relatif à ce passage du récit de la bataille de Fontenoy dans l'Histoire de la guerre de 1741 , Amsterdam, 1755, in-12, seconde partie, page 163 « M. le duc de Richelieu se présente hors d'haleine, l'épée à la main, et couvert de poussière. « Eh bien, Reiss, lui dit le maréchal de Noailles » (c'était une plaisanterie entre eux), « quelle nouvelle apportez-vous? » Voir aussi page 244 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411331n/f247.image
Apparemment que Richelieu avait fait observer à Voltaire que le surnom qu'on lui donnait n'était pas Reiss, mais Thésée. (Beuchot.)
Richelieu parait avoir tout simplement contesté la vérité de ce détail.
23:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
15/05/2012
Vous voyez que ce sont les obstacles qui font les succès, et que c'est souvent d'un terrain ingrat qu'on tire le meilleur parti
... Si Jules Ferry est mis à l'honneur cet après-midi, Monsieur le président, je vous laisse méditer le titre de ce jour .
« A M. le président de RUFFEY
A Monrion, 6 février 1756.
Je suis doublement flatté, monsieur, les vers que vous daignez m'adresser sont les meilleurs que j'aie jamais vu de vous. Vous voyez que ce sont les obstacles qui font les succès, et que c'est souvent d'un terrain ingrat qu'on tire le meilleur parti. Si ma déplorable santé me l'avait permis, j'aurais eu la satisfaction d'entendre ces vers de votre bouche. M. Le Bault me mettra peut- être en état de faire le voyage, s'il continue à me faire avoir un aussi bon cordial que son vin. Permettez-moi de lui présenter ici mes respects, aussi bien qu'à Mme Le Bault.
L'Histoire de la Guerre de 1741, dont vous me parlez, est une rapsodie misérable, tirée d'une partie de mes manuscrits qu'on m'a volés 1. Tout y est tronqué et estropié. Cette prétendue histoire ne va que jusqu'à la bataille de Fontenoy. Il y a quelques années qu'on me vole ainsi mon bien, et qu'on le dénature pour le vendre. On met sous mon nom des ouvrages que je ne connais pas; on défigure ceux que j'ai faits. Il faut prendre patience. Il y a de plus grands maux dans le monde sur terre et sur mer. J'ai l'honneur d'être, avec tous les sentiments que je vous dois, monsieur, votre très-humble et très-obéissant serviteur.
V. »
1 Entre autres par un journaliste peu recommandable :
http://dictionnaire-journalistes.gazettes18e.fr/journaliste/696-jacques-roshette-de-la-morliere
... Ce qui est tout à fait impossible de nos jours , n'est-il pas ?
15:11 | Lien permanent | Commentaires (0)