31/01/2013
Pardon d'écrire si peu . Je répare cela en aimant beaucoup .
... En vous aimant beaucoup Mam'zelle Wagnière, je vous l'assure .
« A Marie-Ursule de Klinglin, comtesse de Lutzelbourg
19 novembre [1757] aux Délices
Je n'ai que le temps et à peine la force madame de vous dire en deux mots combien je suis affligé du dernier malheur 1 . On doit le sentir plus vivement à Strasbourg qu'ailleurs . Je ne sais si monsieur votre fils était dans cette armée . En ce cas je tremble pour lui . Si vous avez une relation je vous supplie de vouloir bien me l’envoyer .
Mme Denis est très malade . Je la garde . Pardon d'écrire si peu . Je répare cela en aimant beaucoup .
Vous connaissez mon tendre respect .
V. »
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