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31/07/2023

me soucie fort peu de voir cette platitude

... Laquelle ? je ne sais pas encore, mais elle se trouve à coup sûr dans la liste suivante , je vous laisse entre les plumes de critiques plus cinéphiles que moi :

https://www.senscritique.com/films/toujours-a-l-affiche

A priori, je mettrai de côté puis jetterai aux oubliettes The House, Ils ont cloné Tyrone, Limbo, Le Manoir hanté, Barbie ( - Ô Barbie ! comme tu as de longues jambes ! - C'est pour mieux fuir Ken , mon enfant ! ). Mais c'est à vous de voir .

Le diabl@gueur: Les (tout) derniers navets du cinéma français

https://www.senscritique.com/top/resultats/les_meilleurs_...

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

8 janvier [1768]

Mon cher ami, je n'ai point vu la facétie de la Sorbonne , et me soucie fort peu de voir cette platitude ; mais j'ai lu l'arrêt du Conseil contre le Parlement 1, et la vengeance de M. Chardon, de laquelle j'ai été fort édifié. Pourvu que ces tracasseries parlementaires ne nuisent point aux Sirven, je suis content.

Le froid est excessif. Mes paroles sont gelées, et la main de celui qui écrit est transie.

Je suppose que M. d'Alembert a reçu la lettre d'Italie que j'ai fait chercher à Genève. Voulez-vous bien avoir la bonté d'envoyer l'incluse à M. de La Harpe 2, rue du Battoir?

Portez-vous bien, et quand vous serez à la tête des vingtièmes, écrasez l'inf... »

1Cet arrêt du Conseil, en date du 26 décembre 1767 annulait la délibération du 23 décembre ; mais le Parlement n'en maaintint pas moins ses objections contre Chardon ; voir lettre du 4 janvier 1768 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2023/07/27/nous-manquons-d-hommes-en-bien-des-genres-mon-cher-ange-cela-6454327.html

2 Elle manque.

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