Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

les vingt louis d'un vieux que je veux distribuer moi-même

... me rappellent les émoluments que va toucher Alain Juppé au Conseil constitutionnel , superbe et rentable manière de se reconvertir au moindre effort : de 8435 € par mois ( et oui, pas par an ! ) en temps qu'élu local, il va avoir 13 300 € au conseil à quoi s'ajoute sa retraite de parlementaire pour atteindre la coquette somme de 23 200 € . Vous comprenez alors pourquoi il versait des larmes de crocodile en s'adressant aux Bordelais : il pleurait comme pleure un gagnant du loto . Ne comptons pas le voir -ce vieux- distribuer quelques louis comme le faisait Voltaire .

https://www.ledauphine.com/france-monde/2019/02/17/de-bor...

 Résultat de recherche d'images pour "juppé en larmes caricature"

Jackpot winner !

 

 

« A Gabriel Cramer

[février 1764].

Voici des contes pour mon cher Caro . Je le prie de se faire donner par M. Du Boisy les vingt louis d'un vieux que je veux distribuer moi-même .

Je le prie de me donner des nouvelles de son visage . Je l'embrasse bien tendrement .

Je suis extrêmement affligé de n'avoir point la Seconde lettre au quakre 1. »

1 Comme on ne connait pas d'édition séparée de la Seconde lettre d'un quakre, l'édition à laquelle se réfère Voltaire doit être celle des Contes de Guillaume Vadé , qui la contient .

Lire la suite

01/03/2019 | Lien permanent

Il y a des impostures qu'on doit mépriser, il y en a d'autres qu'il faut détruire

... Absolument .

Au royaume des imposteurs - L'influx

Quelques exemples : http://www.linflux.com/monde-societe/histoire/au-royaume-des-imposteurs/

 

 

« A Pierre Lullin

Au château de Ferney 25è janvier 1766 1

Monsieur,

Je suis obligé de vous informer de la calomnie que le sieur Rousseau a répandue dans Paris . Il a persuadé aux personnes les plus considérables du royaume que j'avais engagé le Conseil à le condamner, et que la résolution en avait été prise chez moi, et que c’est la première cause des divisions de Genève.

Cette imposture est aussi injurieuse pour le Conseil que pour moi-même . Il serait absurde qu'il eut consulté un étranger . Je n'ai certainement ni parlé, ni fait parler sur cette aventure, à aucun des membres de ce corps respectable . Cette imputation, d'ailleurs, est bien contraire à mon caractère .

Je vous supplie, monsieur, de lire ma lettre au Conseil 2, votre réponse suffira pour confondre une si infâme calomnie , elle dure depuis trop longtemps . Il y a des impostures qu'on doit mépriser, il y en a d'autres qu'il faut détruire . J'attends de vous cette justice .

J'ai l'honneur d'être avec respect

monsieur

votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire. »

1 D'après l'édition « Lettres inédites pur servir à l'histoire religieuse du XVIIIè siècle », La Réformation au XIXè siècle, 26 février 1846 .

2 Ce qui fut fait le jour même ainsi que le notent les archives de l’État de Genève, CCLXVI .

Lire la suite

15/05/2021 | Lien permanent

Il est très triste que lorsque tout conspire à ramener la paix et la tolérance, le sieur Poutine s'obstine à faire [la]

... Voltaire ne m'en voudra pas d'user de son texte pour dénoncer l'ignoble individu qui défraie notre actualité .

 

« A Jean Ribote-Charron

29 juin [1767] 1

[…] La personne à qui vous avez envoyé votre manuscrit, monsieur, m'a dit qu'elle en aurait soin, et qu'elle le ferait imprimer dans quelque temps . Il est très triste que lorsque tout conspire à ramener la paix et la tolérance, le sieur La Beaumelle s'obstine à faire [la] guerre la plus honteuse et qu'il s'expose à de nouveaux opprobres et à de nouveaux châtiments . Je vous prie de me mander s'il est vrai que madame sa femme ait acheté la seigneurie du Carlat . Elle aurait dû acheter du bons sens pour en mettre dans la tête de son mari , puisqu'elle n'a pu lui communiquer le sien . J'ignore encore si l'aventure des trois curés est vraie 2. Cela serait bien plus triste .

Votre obl[...] »

1 L'original semble être passé des archives de la famille dans la collection Edward Barry ; voir catalogue Jeanjean (Carcassonne, avril 1934).

Lire la suite

17/01/2023 | Lien permanent

Nous avons déjà une formidable armée pour investir Genève

... "Da ! tovarishchi bankiry !" : paroles d'oligarques .

 

 

« A Johann Benedikt Roch , Major

à Nyon

Suisse

Le Suisse est sensiblement touché de la bonté de mon cher Major 1. Je ne sais pas quand je pourrai profiter de ses offres obligeantes . J'ai une si terrible fluxion sur les yeux que je crains de ne pouvoir aller voir monsieur l'ambassadeur à qui j'avais donné ma parole de lui faire ma cour incessamment à Soleure, pour arranger quelques petites affaires . Nous avons déjà une formidable armée pour investir Genève . J'ai trente dragons à Tournay . Il y a une infanterie moins nombreuse à Saconnex, et d'autres détachements depuis Versoix jusqu'à Collonges . Le commandant est M. le chevalier de Virieu, homme de grande naissance de Dauphiné 2 qui a beaucoup de mérite et de politesse . Je crois que les dames de Genève ont pris un peu trop d'alarme . Le parti des citoyens ne paraît pas disposé à faire la plus légère violence . J'ai bien peur que tout commerce ne soit interrompu pendant tout l'hiver au moins, entre mon petit territoire et celui de Genève qui est encore plus petit que le mien du côté de Gex . Cela est très embarrassant pour mes pauvres vassaux, pour nos domestiques et pour nous .

J'embrasse mon cher Major le plus tendrement du monde .

V.

A Ferney , 9è janvier 1767. »

1 Roch est Landmajor du district de Nyon qui appartient à Berne . Voir aussi : http://republicofletters.github.io/think29/shuffle_voltaire/

2 Sans doute Louis-François-René ; voir : https://brionnais.fr/pm/site/Virieu_RB.htm

 

Lire la suite

20/04/2022 | Lien permanent

on espère mettre à la raison forces auteurs

... qui seraient employés pour faire renaître Gaston Lagaffe, génialissime héros de Franquin, et qui ne sauraient remplacer son créateur . Hergé n'a pas voulu une renaissance de Tintin, Geluck ne veut pas une re-création de son chat, et c'est bien ainsi . Gaston , éternel, tu ne prends pas une ride .

https://www.nouvelles-du-monde.com/polemique-pourquoi-gas...

 

 

 

« A Gabriel Cramer

[vers le 20 janvier 1766]

On a très certainement rendu les paperasses de M. de Loÿs 1, car on a de l’ordre, quoiqu'on soit homme de lettres, et qui pis est poète .

On sera très obligé du premier volume de Dion Cassius 2, avec lequel on espère mettre à la raison forces auteurs très bons chrétiens, et très mauvais historiens . »

1 Etienne [ ?] de Loÿs , voir « XXVI. Lettre de Jean Cramer à M. [Etienne?] de Loys, 17 janvier 1767 (folio 70) » : https://archives.bge-geneve.ch/archives/archives/fonds/cramer_jean/n:89/view:all

Lire la suite

16/05/2022 | Lien permanent

personne assurément ne vous enviera

... ni demain , ni jamais, vous qui vivez avec la menace de mort lancée par un vieil iman fanatique en 1989  : https://www.lemonde.fr/international/article/2022/08/12/l-auteur-britannique-salman-rushdie-attaque-sur-scene-lors-d-une-conference-dans-l-etat-de-new-york_6137893_3210.html

30 ans après la fatwa le condamnant, Salman Rushdie ne veut plus vivre  caché - The Times of Israël

Le Parisien

Bravo Google Actualités , rois de l'info : un crime en rubrique Divertissement , visible ce matin sur votre site !

 

 

 

« A Jean-Baptiste-Jacques Élie de Beaumont

Avocat, etc.

4è mars 1767

Mes yeux ne me permettent pas d’écrire, mon cher Cicéron ; je n’ai pas actuellement auprès de moi celui 1 qui vous fait d’ordinaire mes remerciements ; mais vous n’en verrez pas moins que j’ai reçu votre mémoire 2. Nous l’avons lu, nous avons pleuré. Ou les hommes seront de bronze, ou les Sirven seront justifiés comme les Calas. La consultation est de la plus grande habileté, et d’une bienséance qui fera beaucoup d’honneur à celui qui l’a rédigée. La victoire me paraît sûre. Les protestants et les catholiques vous béniront également, et personne assurément ne vous enviera la terre de Canon 3. On dira qu’il est bien permis au défenseur de l’humanité de se défendre lui-même, et de réclamer le bien des ancêtres de sa femme. Je vous prie de vouloir bien me faire envoyer un second exemplaire par M. Damilaville. Le premier sera pour messieurs du conseil de Berne ; le second sera signé par Sirven et ses filles. Messieurs de Berne doivent en avoir un parce qu’ils ont promis de continuer aux Sirven la petite pension qu’ils veulent bien leur faire pendant qu’ils poursuivront leur procès à Paris, et qu’ils ont mis pour condition qu’ils verraient le mémoire par lequel ils seraient appelés à venir auprès de vous.

Je vous enverrai Sirven et une de ses filles aussitôt que vous l’ordonnerez ; il y en a une qui est incapable de faire le voyage ; je ne puis trop vous réitérer mes tendres remerciements. Je vous embrasse cent fois, sage et éloquent vengeur de l’innocence. 

V.»

1La date est cependant de la main de Wagnière .

Lire la suite

13/08/2022 | Lien permanent

On ne fait rien à dîner . On est obligé de s'en retourner après avoir pris son café

... On ne fait rien non plus, quand , ministre, on se déplace sur les lieux de catastrophes, c'est du flan , c'est du cirque . Café ou pas, discours formaté "Les services de l'Etat vont dès à présent tout faire pour secourir les victimes et indemniser , blablabla, et je m'y engage, blablabla ..." , et puis , ciao, je rentre au chaud et remets mes pantoufles .

 

 

« A Henri Rieu

Vendredi au soir [6 mars 1767]

A mardi mon cher ami . Voici encore une petite correction que je vous prie de ne pas manquer de faire sur le rôle d'Obéide . C'est au cinquième acte, à l'endroit des imprécations :

Puisqu'ils sont tous égaux, qu'ils soient également

De leur chute éternelle un aveugle instrument .

J'ai peur que quelque malintentionné ne fasse de ces deux vers une application maligne ; c'est un danger qu'il faut prévenir .

Voulez-vous bien avoir la bonté de mettre à la place :

Que tout chargé de fers au bord de son cercueil

Pour son châtiment même il garde son orgueil,

Et qu'en mordant le frein , etc.1

Je vous prie d'amener les acteurs pour coucher et non pas pour dîner . On ne fait rien à dîner . On est obligé de s'en retourner après avoir pris son café . D'ailleurs quand on ne vient que pour dîner, les chevaux sont obligés de faire quatre voyages en une journée, et nous n'avons pas assez de chevaux pour tant d'allées et de venues . En venant coucher on est le maître absolu de son temps .

Mille compliments, je vous prie, à M. le résident, dites-lui qu'il est tendrement aimé à Ferney. Bonsoir, mon très cher corsaire . »

1 Les Scythes, Ac. V, sc. 4, avec plusieurs modifications .

Lire la suite

19/08/2022 | Lien permanent

il y a près de vingt ans que les indignes persécutions que j’ai essuyées pour tout fruit de mes travaux m’ont fait renon

... Il serait bon que cela ne se produise plus de nos jours, qu'on endigue la redoutable fuite des cerveaux français , nous n'en aurons jamais trop .

 

 

« A Henri-Louis Lekain

11 mars 1767 à Ferney 1

Mon cher ami, je sors d’une grande répétition des Scythes. Le cinquième acte est sans contredit celui de tous qui a fait le plus d’effet théâtral ; mais il demande de terribles nuances. Le couplet d’Athamare quand il encourage Obéide à le frapper, prononcé de la manière dont vous le direz, avec courage, avec noblesse, avec un air de maître, contribue beaucoup au succès. La scène du père et de la fille, l’air morne, recueilli, douloureux et terrible, qu’Obéide y conserve toujours avec son père, fait de cette scène même une des plus attachantes . La curiosité et l’effroi saisissent toute l’assemblée. Ce cinquième acte vient de faire le même effet à Lausanne . C’est celui de tous qui a le plus réussi. On répète la pièce à Genève, on la répète à Lyon dans quatre jours. Vous voyez qu’il est de toute impossibilité d’attendre après Pâques . Le libraire de Paris serait prévenu par les libraires de province et par ceux de Suisse. Si j’étais à Paris, vous ne seriez pas exposé à ces inconvénients ; mais il y a près de vingt ans que les indignes persécutions que j’ai essuyées pour tout fruit de mes travaux m’ont fait renoncer à ma patrie. C’est à Fréron et Coqueley, son approbateur, à triompher dans Paris.

Voici un petit résumé de tous les changements faits à la pièce, afin que, s’il en est échappé quelqu’un dans votre copie, vous puissiez aisément le remplacer. Au reste, vous sentez bien que tout dépend de votre santé : il ne faut pas vous tuer pour des Scythes. Tout dépend surtout de la santé de madame la dauphine, et on n’a pas besoin d’un tel motif pour souhaiter son rétablissement. Je vous embrasse bien tendrement.

N. B. -- Mlle Dubois s’est plainte à moi ; elle a cru que vous m’aviez engagé à la priver du rôle d’Obéide ; je l’ai détrompée comme je le devais. 



Acte premier

des Scythes

Sozame ne dit point :

Mais je crains que ma fille au désert, etc.

Il dit :

Mais je sens que ma fille, au désert enterrée,

Du faste des grandeurs autrefois entourée,

Dans le secret du cœur pourrait entretenir

De ses honneurs passés l'importun souvenir 2.



Acte second

Obéide ne dit point dans sa première scène avec Sulma :

…............................... Mon père veut un gendre,

C'est dans ses derniers ans un parti qu'il faut prendre.

Elle dit

…........... Mon père veut un gendre,

Il ne commande point ; mais je sais trop l'entendre :

Le fils de son ami doit être préféré,3 etc.

N. B. – Elle ne doit pas en dire davantage .



Acte troisième

Athamare ne finira point la scène avec Obéide par ce vers :

J'obéis : allons voir quel sang je dois répandre .

Il dira :

J'obéis : malheureux, quel sang vas-tu répandre  4?

N. B. – Il faut absolument qu'Athamare sorte avec fureur, sans quoi il n'y aurait plus ni chaleur, ni variété, et il démentirait son caractère violent et emporté .



Acte quatrième

Si on ne veut pas de ce vers :

Il m'entend, il me voit, il revient, il soupire .

qui fait un très grand effet sur tous les théâtres où il a été récité, il n'y a qu'à mettre :

Mon malheur te poursuit ; il revient, il soupire 5.

mais cela est infiniment moins pathétique .



Acte cinquième

La pièce ne finit point par ces deux vers :

Scythes, contentez-vous de ce grand sacrifice,

Et sans être inhumains, cultivons la justice .

Il y a :

Nous sommes trop vengés par un tel sacrifice ;

Scythes, que la pitié succède à la justice ;

(ou bien : )

Scythes, que la pitié remplace la justice 6.

La première scène fait un si grand effet sur tous les théâtres, qu'on ne fera pas l'outrage à celui de Paris de changer un seul mot dans cette scène .

Voilà ce que l'on répond à M. de Thibouville, et ce qu'on prie très instamment monsieur Lekain de vouloir bien faire exécuter ; il serait absurde de retrancher les derniers vers du quatrième acte : Ah ! Laissez-moi mourir, seigneur, sans vous entendre . C'est la seule chose qui puisse faire comprendre aux spectateurs que le père n'a rien expliqué à sa fille entre le quatrième et le cinquième acte .

N. B. – La pièce fait partout un très grand effet, et il est à croire qu'entre les mains de monsieur Lekain , elle en fera un beaucoup plus sensible . Je l'accepte, après un morne silence et trois pas en avant, a été reçu avec frémissement, et des battements de mains qui ne finissaient pas . »

1 L'édition de Kehl s'arrête à la fin du premier Nota bene ; on a ici la version de l’édition Lekain .

2 Les Scythes, acte I, scène 3.

3Les Scythes, acte II, scène 1 .

4Ibid. acte III, sc. 2 , avec de nombreuses modifications .

5Ibid., acte IV, sc. 6.

6 Les Scythes, acte V, scène 5 .

Lire la suite

21/08/2022 | Lien permanent

On lui prépare un petit divertissement assez singulier et assez intéressant

... Paroles d'opposants au gouvernement envers Emmanuel Macron . Mais rira bien qui rira le dernier !

 

 

« A Marc-Antoine-Jean-Baptiste Bordeaux de Belmont

Directeur des spectacles

à Bordeaux

M. de Belmont doit avoir reçu la nouvelle édition des Scythes faite à Lyon 1, qui est infiniment meilleure que toutes les autres. On en a envoyé 2 deux exemplaires à monsieur le maréchal; il y en a un pour M. Belmont. On lui prépare un petit divertissement assez singulier et assez intéressant qu'on lui enverra dès qu'il aura été joué sur le théâtre de Ferney 3. On lui fait les plus sincères compliments. On est si malade qu'on ne peut écrire plus au long.

V.

21è auguste 1767 à Ferney. »

1 Celle de Bordes.

3 Il s'agit de Charlot, joué à Ferney en septembre 1767; voyez la lettre du 23 décembre 1767, adressée à M. de Belmont : 7104 de https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411361p/texteBrut

Lire la suite

10/04/2023 | Lien permanent

Il y a certainement un M. Barrau au dépôt des Affaires étrangères

... A vérifier ...

 

 

« A François de Chennevières

12 septembre 1767

Permettez-moi, mon cher ami, que je vous parle encore de M. Barrau 1. Il y a certainement un M. Barrau au dépôt des Affaires étrangères, homme très instruit et très exact, et qui m'a donné de fort bons avis pour le Siècle de Louis XIV. Mandez-moi, je vous prie, si vous lui avez fait tenir ma lettre.

Aurez-vous la comédie à Fontainebleau ? On dit qu'il y a de belles nouveautés, Les Illinois , Guillaume Tell et Eugénie 2, qui doivent vous faire grand plaisir. Je ne les ai pas vues mais on m'a dit que le Mercure en disait beaucoup de bien 3. »

2 Drame de Beaumarchais, Eugénie fut représentée le 29 janvier 1767 et jouée jusqu’au 14 février ; https://fr.wikipedia.org/wiki/Eug%C3%A9nie_(Beaumarchais)

3 Effectivement, le Mercure de France, toujours indulgent, donne de bons comptes rendus de ces pièces dans les numéros respectifs de juin 1767, janvier 1767 et mars 1767 .

Lire la suite

24/04/2023 | Lien permanent

Page : 599 600 601 602 603 604 605 606 607 608 609