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30/04/2024

certainement je ne prendrai pas la liberté de combattre pour vous sans votre ordre . Je suis de ces officiers subalternes qui ne font rien sans l’agrément de leur général

... Déclaration d'un.e candidat.e LFI à Mélenchon le dictateur ? ou d'un.e RE à Macron l'omniprésent ? Je mets Marine et Jordan à part tant ces deux là éclipsent tous leurs affiliés qui n'ont même plus la parole .

 

 

« A Charles-Jean-François Hénault

Ferney, 17 octobre 1768 1

Vous négligez trop, mon cher et illustre confrère, une affaire importante et un ami qui prend vos intérêts plus que vous-même. Le petit livre en question 2 est débité sous le nom de M. le marquis de Bélestat, et non de Belloste . Le résident de France à Genève s’était trompé sur le nom 3. L’ouvrage passe pour être savant et écrit d’un style vigoureux, dans le goût de celui de La Bruyère. Il se fait des partisans par son audace, et par des anecdotes historiques inconnues jusqu’aujourd’hui : pour moi, je crois la plupart de ces anecdotes fausses, et le style plus insolent que ferme et ingénieux.

Je suis lié avec le marquis de Belestat, jeune homme de mérite, académicien de Toulouse et de Montpellier. Je puis vous assurer qu’il n’est point l’auteur de cet écrit, et qu’il en est incapable de toute manière 4.

Je crois connaître l’auteur : que vous coûterait-il de faire chercher, par l’abbé Boudot 5, à la bibliothèque du roi 

1° si l’on trouve dans les premiers états de Blois que les états chargèrent leurs députés de dire au roi et à la reine mère que les parlements sont les états généraux du royaume au petit pied ;

2° s’il est vrai que, dans le contrat de mariage de Jeanne de Bourbon avec le père de Henri IV, elle prit le titre de majesté fidélissime ?

Je supprime les autres anecdotes, sur lesquelles je suis assez instruit. Encore une fois, ne méprisez ni mon zèle, ni ces points d’histoire . Vous savez combien votre gloire m’est chère, je l’aime presque autant que la vérité ; mais certainement je ne prendrai pas la liberté de combattre pour vous sans votre ordre . Je suis de ces officiers subalternes qui ne font rien sans l’agrément de leur général.

Je vous embrasse très tendrement, et vous souhaite toujours les jours les plus longs et les plus heureux, s’il y a du bonheur à nos âges. »

1 Original Musée historique, Moscou ; édition Pièces inédites, 1820, dont le texte , selon Lyublinsky est correct .

2 L’Examen de la nouvelle Histoire de Henri IV, dont il est parlé dans la lettre du 13 septembre 1768 à Hénault : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/03/26/m-6491423.html

4 V* , ici, s'engage beaucoup ; voir lettre du 31 octobre 1768 à Hénault : http://www.monsieurdevoltaire.com/2015/08/correspondance-annee-1768-partie-29.html

29/04/2024

J’ai cru devoir à votre mérite et à l’estime que vous m’avez inspirée les informations que je vous donne, et desquelles vous ferez l’usage le plus convenable

... L'information est à ce point vitale que nombre de gouvernements en privent leurs citoyens en priorité, le couvercle est mis et la machine au mensonge tourne à fond, et aucun continent n'y échappe ( même si c'est plus discret en Europe ) , comme on le voit au Burkina Faso où les forces armées tuent des civils : https://www.lemonde.fr/afrique/article/2024/04/29/le-burkina-faso-suspend-l-acces-a-plusieurs-sites-d-informations-dont-celui-du-monde-ainsi-qu-a-la-chaine-tv5-monde_6230456_3212.html

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https://rsf.org/fr/ces-dirigeants-qui-menacent-les-journa...

 

 

 

« A François de Varagne-Gardouch, marquis de Bélestat

Ferney, 17 octobre 1768 1

Quoique je sois très-malade, monsieur, l’envie de servir, et l’importance des choses dont il s’agit, me forcent de vous écrire encore, dans l’incertitude si ma première lettre 2 vous parviendra. J’ai déjà eu l’honneur de vous dire qu’on débite à Genève, sous votre nom, un petit livre dont voici le titre : Examen de la nouvelle Histoire de Henri IV, de M.  de Bury, par M.  le marquis de B…, lu dans une séance d’Académie, ...

On trouve à la page 24 le passage 3 que je fais copier, et que je vous envoie. On sent aisément l’allusion coupable qui règne dans ce passage. Le président Hénault est d’ailleurs cruellement outragé dans une autre page 4 de ce libelle. Il y en a plusieurs exemplaires à Paris ; mais il passe pour être de vous ; cette calomnie peut vous faire des ennemis puissants, et vous nuire le reste de votre vie. Le nommé La Beaumelle est noté chez les ministres ; il lui est défendu de venir à Paris ; et, en dernier lieu, M. le comte de Gudanes, commandant du pays de Foix, où ce malheureux habite, lui a intimé les défenses du roi de ne rien imprimer. C’est à vous, monsieur, à consulter vos amis et vos parents sur cette aventure, et à voir si vous devez écrire à M. le comte de Saint-Florentin pour vous justifier, et pour faire connaître que ce n’est pas vous, mais La Beaumelle, qui a composé et imprimé cet écrit. J’ai cru devoir à votre mérite et à l’estime que vous m’avez inspirée les informations que je vous donne, et desquelles vous ferez l’usage le plus convenable. »

1 Copie ancienne d'après la première édition ; édition Antoine Sabatier de Castres , Tableau philosophique de l'esprit de M. de Voltaire, 1771.

3 C’est celui qui est rapporté dans la lettre à Hénault du 13 septembre 1768 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/03/26/m-6491423.html

4 Ce passage est aussi rapporté dans la lettre du 13 septembre à Hénault.

28/04/2024

on espère qu'il voudra bien y venir tout arranger comme il l'a promis

... Paroles de paysans après les promesses de Gabriel Attal : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/les-agriculteu...

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« A Gabriel Cramer

Monsieur de Voltaire compte avoir l'honneur de voir aujourd'hui monsieur Cramer à Ferney ; viendra-t-il dîner ? On a des choses pressantes à lui communiquer et l'on espère qu'il voudra bien y venir tout arranger comme il l'a promis .

Ce dimanche matin 16 octobre 1768. »

27/04/2024

pour le paiement d'août

...de la CAF c'est le 5 Août 2024 . Sera-ce suffisant pour tenir jusqu'à la fin des JO le 11 ? ou celle des Jeux Paralympiques  le 8 septembre ? On espère avoir de l'or, avoir de l'argent, ou au pire du bronze qui a une cote intéressante chez les voleurs qui n'hésitent pas à piller SNCF et cimetières . J'espère que les médailles sont bien gardées : https://olympics.com/fr/paris-2024/les-jeux/la-marque/les...

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« A Gaspard-Henri Schérer

Banquier,

à Lyon

Au château de Ferney 15 octobre 1768 1

J'eus l'honneur, monsieur, de vous envoyer lundi dernier 10 du courant une lettre de change de 1469 livres 6 sols sur M. Barberi

      une sur le même de 795 livres,

    une de 1030 livres sur M. François Pasquier, toutes trois pour le paiement d'août, et je suppliai de vouloir bien ajouter ces remises à celles que je vous ai déjà faites et d'en faire le même emploi . Je vous prie de vouloir bien m'accuser la réception du paquet . Je vous serai très obligé .

J'ai l'honneur d'être,

monsieur,

votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire. »

1 Original signé sur lequel Schérer à noté « reçue le 15 ,,, »

26/04/2024

Il faut une religion au peuple, mon ami ; mais il la faut plus pure et plus dépendante de l’autorité civile...Tout cela n’empêche pas qu’on ne doive être sage 

... " pure et plus dépendante de l'autorité civile", entendez-vous bien fanatiques religieux de tout poil jusques et y compris les dits libres penseurs intolérants . Le laïcisme public est-il si difficile à concilier avec la religion privée, ou plutôt la religion avec le civisme ?

A ce propos, voir https://www.toupie.org/Citations/Civisme.htm avec une attention particulière pour une citation de Simone Veil à propos de Poutine, en 2008 : "Quand on cherche à séduire Poutine, on lui décerne volontiers des brevets de civisme, passant sous silence ses manquements aux sacro-saints droits de l'Homme."  Nous sommes loin des déclarations d'amour d'une Marine Le Pen pour le dictateur , et le nez dans notre puante hypocrisie diplomatique pour sauver la livraison de gaz et pétrole ; pas de quoi être fiers .

 

 

 

« A Sébastien Dupont

Avocat au Conseil souverain à Colmar

Au château de Ferney, 15 octobre.

Je crois bien, mon cher ami, que les chiens qu’on a fessés aboient ; mais je vous assure que tous les honnêtes gens en rient, à commencer par ceux qui composent le Conseil du roi, et par le roi lui-même ; je pourrais vous en dire des nouvelles. Soyez sûr que d’un bout de l’Europe à l’autre il s’est fait depuis quelque temps dans les esprits une révolution qui n’est ignorée peut-être que des capucins de Colmar et des chanoines de Porrentruy 1. Le gendre du premier ministre d’Espagne 2, qui est venu chez moi, m’a appris qu’on venait de limer les dents et de couper les griffes à l’Inquisition . On lui a ôté jusqu’au privilège de juger les livres et d’empêcher les Espagnols de lire. Ce qui se passe en Italie doit vous faire voir combien les temps sont changés. On débite actuellement dans Rome la cinquième édition della Riforma d’Italia, livre dans lequel il est démontré qu’il faut très peu de prêtres et point de moines, et où les moines ne sont jamais traités que de canaille. Il faut une religion au peuple, mon ami ; mais il la faut plus pure et plus dépendante de l’autorité civile 3. C’est à quoi l’on travaille doucement dans tous les États. Il n’y a presque aucun prince qui ne soit convaincu de cette vérité, il y en a quelques-uns qui vont bien plus loin. Tout cela n’empêche pas qu’on ne doive être sage ; il ne faut triompher que quand la victoire sera complète. Les chiens qui jappent encore pourraient mordre. J’aurais plus d’une chose à vous dire si j’avais le bonheur de vous voir dans mon heureuse retraite avec celle que j’en ai fait la souveraine. Faites comme vous voudrez ; mais je ne veux point mourir sans vous avoir embrassé. En attendant, je vous prie, mon cher ami, de contribuer à me faire vivre, en voulant bien recommander à M. Rosé de me payer le quartier qu’il me doit . J’ai trente personnes à nourrir, et trente mille francs à donner par an à ma famille . Vous concevez bien qu’il faut que M. Rosé m’aide.

Je vous embrasse le plus tendrement du monde.

V. »

1 Écrit Porentrou dans le manuscrit ; c'est sans doute ainsi que le prononçait V*.

2 Le marquis de Mora , gendre du ministre Aranda .

3 On a dit que V* ne semblait pas voir que livrer entièrement le clergé et les dogmes à l'autorité civile aboutirait à une sorte de totalitarisme . N'oublions pas : « Le droit de dire et d'imprimer ce que nous pensons est le droit de tout homme libre, dont on ne saurait le priver sans exercer la tyrannie la plus odieuse. »[Questions sur les miracles]

Pour savoir de quoi on parle , voir : https://www.toupie.org/Dictionnaire/Totalitarisme.htm

Si vous réussissez, vous serez immortalisée chez les Guèbres comme chez les Arabes

... A différents titres, c'est sûr, Mme Marine Le Pen qui faites campagne présidentielle sous couvert de législatives européennes ; continuez à ce rythme et sur ce ton et mentez tant que vous pouvez, vous ne manquez pas de partisans ébaubis . Continuez à fuir la justice,  vous qui osez jouer à la salvatrice du pays dans le même temps que vous piochez illégalement dans les caisses de l'Etat pour renflouer votre sale parti .

Voir : https://www.francetvinfo.fr/politique/marine-le-pen/

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Reine des faux-jetons

 

 

« A Marie-Louise Denis

rue Bergère près du Rempart, vis-à-vis l'hôtel des Menus

à Paris

Je vous ai envoyé , ma chère nièce, au 1er du mois un paquet par M. de Chennevières comme vous me l'aviez recommandé expressément . Je vous en donnai avis par une lettre particulière adressée rue Bergère, et en cas d'absence chez M. d'Hornoy . Je n'ai eu de réponse ni de vous ni de M. de Chennevières, et j'ignore encore si le dérangement des postes causé par l'arrangement de Versoix n'a pas nui à mon paquet .

Je vous ai écrit aussi au sujet de Mme de Saint-Julien . Mandez-moi, je vous prie, si vous avez reçu mon paquet et mes deux lettres . Je soupçonne que les embarras de votre nouvel établissement ne vous ont pas encore permis de m'en donner des nouvelles . Instruisez-moi aussi des marches de l'abbé Mignot . Est-il encore à Hornoy ? Est-il à Paris ? Je lui dois une réponse et je ne sais où l'adresser . Je souhaite aux autres provinces de la France un meilleur temps que celui du petit pays de Gex . La terre est imbibée d'eau, on ne peut semer, les maladies règnent . Vous mourriez d'ennui et de rhumatismes à Ferney . Il n'y a qu'un travail assidu qui puisse faire supporter la vie, et c'est ma seule ressource .

J'imagine que vous attendez Lekain pour prendre une résolution au sujet de la pièce de Linan 1 . Je crois cette affaire plus délicate encore que celle de Mahomet . Si vous réussissez, vous serez immortalisée chez les Guèbres comme chez les Arabes .

Ma lettre est courte, mais ma tendresse pour vous sera aussi longue que ma vie . J'ai vingt lettres à répondre aujourd’hui . Je vous embrasse bien tendrement .

V.

15è octobre 1768

 

Je reçois dans le moment votre lettre du 9è octobre . Je ferai tout ce que vous voudrez, je vous enverrai les papiers et vous en userez comme il vous plaira . Je tiens l'affaire palatine et virtembourgeoise très sûre , de quelque manière que vous vous y preniez . 

J'ai mandé, comme je vous l'ai dit, à Mme de Saint-Julien, que vous étiez engagée avec Grétry 2 . Vous pouvez ajouter que le jeune auteur du Duc de Benevent 3 vous en a priée, et que la première facétie que vous aurez de ce jeune homme sera pour Montsivri 4 . Je crois qu'on peut faire une excellente musique du Beneventin . J'ai toute la déclamation dans la tête . Je serai au reste très fâché d'être soupçonné d'une plaisanterie qui ne convient qu'à l’âge de vingt-quatre ans, et je compte sur vous pour dérouter les devineurs . Tout cela vous amusera, si vous croyez la chose amusante , sinon il n'y a qu'à tout jeter dans le feu. »

1 Les Guèbres, que V* prétend attribuer à Linant : https://xn--thtre-documentation-cvb0m.com/content/les-gu%C3%A8bres-voltaire

2Ce mot est orthographié Guétry par Wagnière, ainsi que dans la lettre du 7 novembre 1768 à Mme Denis ; sans doute prononçait-on ainsi .

3 Le duc de Benevent est le prototype du baron d'Otrante dans L’Éducation d'un prince : voir lettre du 30 septembre 1768 à Mme de Saint-Julien : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/04/11/non-madame-mon-coeur-n-a-pas-renonce-au-genre-humain-dont-vo-6493716.html

L'  « auteur » est donc V* : https://fr.wikisource.org/wiki/Contes_en_vers_(Voltaire)/L%E2%80%99%C3%89ducation_d%E2%80%99un_prince

25/04/2024

Si je me comptais encore au nombre des vivants, je désirerais passionnément vivre l’ami d’un homme de votre mérite

Je pense immédiatement à vous, Alex Décotte , homme curieux, cultivé et généreux, voltairien de surcroit : https://alexdecotte.com/

et voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Alex_D%C3%A9cotte

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Longue vie au bourlingueur

 

 

 

 À François de Varagne-Gardouch, marquis de Bélestat 1 

Au château de Ferney par Lyon 15è octobre 1768 2

Monsieur,

Il y a longtemps que je vous dois des remerciements de vos bontés et de l’Éloge de Clémence Isaour . Mais ma vieillesse est si infirme, et j’ai été pendant deux mois si cruellement malade, que je n’ai pu remplir aucun de mes devoirs. Un des plus chers et des plus pressés était de vous témoigner l’estime que vous m’avez inspirée. L’Académie devrait mettre votre éloge à la fin de celui que vous avez publié de sa fondatrice 3. Votre style et votre façon de penser sur la littérature m’ont également charmé. Si je me comptais encore au nombre des vivants, je désirerais passionnément vivre l’ami d’un homme de votre mérite 4.

Vous n’ignorez pas sans doute, monsieur, qu’on vend publiquement, sous votre nom, à Genève et dans tous les pays voisins, un Examen de l’Histoire d’Henri IV 5, du sieur Bury. L’Examen est assurément beaucoup plus lu que l’Histoire. Oserais-je vous mander dans quelle source est puisée l’anecdote singulière qu’on trouve à la page 31, que « les états de Bois dressèrent une instruction, par laquelle il est dit que les cours de parlements sont des états généraux au petit pied 6» ? Cette anecdote est si importante pour l’Histoire, que vous me pardonnerez sans doute la liberté que je prends.

Si vous n’êtes pas l’auteur de cet examen imprimé sous votre nom, souffrez que je vous supplie de me dire à qui je dois m’adresser pour être instruit d’un fait si unique et si peu connu.

J’ai l’honneur d’être, avec autant d'estime que de respect,

monsieur,

votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire

gentilhomme ordinaire

de la chambre du roi . »

1 Voir : https://gw.geneanet.org/pierfit?lang=fr&n=de+varagnes&p=francois . Le marquis de Gardouch-Belestat, né en 1725, avait connu Voltaire aux eaux de Plombières en 1745. Il était entièrement aveugle et presque entièrement sourd avant la Révolution ; ce qui n’empêcha pas de le traîner en prison pendant la Terreur. Il n’est mort qu’en 1807.

2 Original signé ; édition Antoine Sabatier de Castres : Tableau philosophique de l'esprit par M. de Voltaire, 1771, limitée au deuxième et troisième paragraphe ; Cayrol .

3 Clémence Isaure, dont le marquis de Bélestat a fait l'éloge, a fait revivre, plutôt que fondé les « jeux floraux » de Toulouse .

Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B4tel_de_Puivert

et : https://fr.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_des_Jeux_floraux

4 Ce premier paragraphe a été publié pour la première fois par MM. de Cayrol et François .