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Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

écrivez-lui, flattez sa grande passion, qui est celle de faire du bien

... Si ! si, je vous l'assure , cette personne -rare- existe, et vous la connaissez sans doute .

 

Rédigé le 9/11/2022 pour parution le2/11/2022

 

« A Paul-Claude Moultou

à Genève

24 avril 1767

Voilà deux grandes nouvelles, mon cher philosophe voilà une espèce de persécuteurs bannie de la moitié de l'Europe 1, et une espèce de persécutés qui peut enfin espérer de jouir des droits du genre humain 2, que le révérend père La Chaise et Michel Le Tellier 3 leur ont ravis.

Il faudrait piquer d'honneur M. de Maupeou. Je réponds bien de M. le duc de Choiseul et de M. le duc de Praslin , mais dans une affaire de législation le chancelier a toujours la voix prépondérante.

Mme duchesse d'Anville est à La Rocheguyon mais écrivez-lui, flattez sa grande passion, qui est celle de faire du bien, et qui vous est commune avec elle. Elle est capable d'aller exprès à Versailles. Le succès d'une pareille entreprise rendrait le roi cher à l'Europe. Est-il possible que les Turcs permettent aux chiens de chrétiens (comme ils les appellent) de porter leur dieu 4 dans les rues et de chanter: o filii! o filiae 5 à tue-tête, tandis que les Velches ne permettent pas à d'autres Velches de se marier!

La conduite velche est si folle et si odieuse qu'elle ne peut pas durer.

Je vous embrasse tendrement. Je n'ai pas un moment à moi. J'attends le livre de M. de Serres 6. »

1 Les jésuites ; le 2 avril 1767les derniers sont expulsés d'Espagne .

2 Le statut des protestants est discuté, mais la Révolution survint sans que les lois en vigueur soient modifiées, quoique dans la pratique leur sort ne se fût pas beaucoup amélioré .e Nantes le 2 octobre 1685

3 Michel Le Tellier, à titre de chancelier a signé la révocation de l’Édit de

4 A cet endroit du manuscrit, deux mots ont été fortement biffés .

5 Ô fils ! Ô filles ! Ces mots font partie de l’exhortation adressée aux fidèles de se recueillir lorsque le saint-sacrement est porté dans les rues .

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02/11/2022 | Lien permanent

Il faudra bien qu’il vienne enfin un temps où la religion ne puisse faire que du bien...Le sang coulera tant que les hom

... "Il faudra ...", mais pourquoi donc ne peut-on enfin dire "le temps est venu" que la religion , au moins elle, ne fait que du bien, les meurtriers ayant déjà suffisamment de prétextes à invoquer pour continuer leurs massacres .

Ami Voltaire qui t'entend, qui t'écoute ?

 

 

 

« A Jean Gal-Pomaret 1

15 janvier 1769

Je vois, monsieur, que vous pensez en homme de bien et en sage . Vous servez Dieu sans superstition, et les hommes sans les tromper. Il n’en est pas ainsi de l’adversaire que vous daignez combattre. S’il y avait dans vos cantons plusieurs têtes aussi chaudes que la sienne, et des cœurs aussi injustes, ils seraient bien capables de détruire tout le bien que l’on cherche à faire depuis plus de quinze ans. On a obtenu enfin qu’on bâtirait sur les frontières une ville dans laquelle seule tous les protestants pourront se marier légitimement 2.

Il y aura certainement en France autant de tolérance que la politique et la circonspection pourront le permettre. Je ne jouirai pas de ces beaux jours, mais vous aurez la consolation de les voir naître. Il faudra bien qu’il vienne enfin un temps où la religion ne puisse faire que du bien. La raison, qui doit toujours paraître sans éclat, fait sourdement des progrès immenses. Je vous prie de lire avec attention ce que m’écrit de Toulouse un homme constitué en dignité, et très-instruit :

« Vous ne sauriez croire combien augmente dans cette ville le zèle des gens de bien, et leur amour et leur respect pour 3… Quant au parlement et à l’ordre des avocats, presque tous ceux qui sont au-dessous de trente-cinq ans sont pleins de zèle et de lumières, et il ne manque pas de gens instruits parmi les personnes de condition. Il est vrai qu’il s’y trouve plus qu’ailleurs des hommes durs et opiniâtres, incapables de se prêter un seul moment à la raison ; mais leur nombre diminue chaque jour, et non-seulement toute la jeunesse du parlement, mais une grande partie du centre, et plusieurs hommes de la tête, vous sont entièrement dévoués. Vous ne sauriez croire combien tout a changé depuis la malheureuse aventure de l’innocent Calas. On va jusqu’à se reprocher l’arrêt contre M. Rochette et les trois gentilshommes : on regarde le premier comme injuste, et le second comme trop sévère », etc. 

Vous voyez, monsieur, qu’il n’était pas possible d’introduire la raison autrement que sur les ruines du fanatisme. Le sang coulera tant que les hommes auront la folie atroce de penser que nous devons détester ceux qui ne croient pas ce que nous croyons. Plût à Dieu que l’évêque de Soissons, Fitz-James, vécût encore, lui qui a dit dans son mandement 4 que nous devons regarder les Turcs mêmes comme nos frères ! Quiconque dit : « Tu n’as pas ma foi, donc je dois te haïr », dira bientôt : « Donc je dois t’égorger. » Proscrivons, monsieur, ces maximes infernales ; si le diable faisait une religion, voilà celle qu’il ferait.

Je vous dois de tendres remerciements des sentiments que vous avez bien voulu me témoigner ; comptez qu’ils sont dans le fond de mon cœur.J'ai l'honneur, etc. »

2 Versoix : ce projet ne fut point exécuté. (Beuchot.)

3 M. de Voltaire supprime ici le mot vous, qui se trouve dans la lettre de M. l’abbé Audra, baron de Saint-Just, chanoine de la métropole, et professeur royal d’histoire, à Toulouse. Il a été depuis si violemment persécuté par les dévots qu’il en est mort de chagrin. (Kehl.) — L’abbé Audra, né à Lyon en 1714, mourut à Toulouse le 17 septembre 1770 ; voir page 497 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome11.djvu/517

Voir lettre du 5 janvier 1769 à Faubert Lavaysse : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/07/17/il-est-vrai-qu-il-s-y-trouve-plus-qu-ailleurs-des-hommes-dur-6507350.html

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29/07/2024 | Lien permanent

si j’avais obligation au diable je dirais du bien de ses cornes.

 

Alleluiah ! Jésus n'est pas mort (car il bouge encore, me direz-vous, bande d'iconoclastes ), pas mort sur la croix d'infâmie (ou de rédemption, c'est vous qui voyez ). Qui donc a été crucifié ? Son frère, qui s'est sacrifié pour lui !...

Et Jésus ? En toute facilité et incognito, il est allé jusqu'au Japon -proche banlieue de la Palestine- y finir ses jours de riziculteur , père de famille, à plus de cent ans .

Preuve à l'appui de mes dires de mécréant : son tombeau est surmonté d'une croix, chose rare au pays du soleil levant .

Trop fort Jésus, comme on dit dans les banlieues !

Trop fort surtout ces japonais qui sont intimement persuadés de ces faits , nouvelle version des saintes écritures à paraître ! Que fait le Vatican ? Va-t-il lancer une fatwa comme tout intégriste qui se respecte ? Heureusement non . Pour une fois, la tolérance pour des croyances déviantes est respectée . C'est vrai que le sujet est tellement gros qu'il laisse sans voix mais non sans sourire ...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

« A Louis-François-Armand du Plessis, duc de Richelieu

 

 

                        La lettre de mon héros m’a donné un tremblement de nerfs qui m’aurait rendu paralytique, si je n’avais pas le moment d’après reçu une lettre de M. le Chancelier [Maupéou] qui a remis mes nerfs à leur ton, et rétabli l’équilibre des liqueurs. Il est très content, il a seulement changé deux  mots et fait réimprimer la chose [brochure Les Peuples aux Parlements qui contient quelques allusions élogieuses à Choiseul, en deux lignes que Maupéou fera supprimer]. On en a fait quatre éditions dans les provinces. C’est la voix de Jean prêchant dans le désert et que les échos répètent.

 

                Mon héros sait que quand César releva les statues de Pompée, on lui dit : « Tu assures les tiennes. » Ainsi mon héros dans son cœur trouvera très bon qu’on montre de la reconnaissance pour un homme qu’on appelle en France disgracié [Choiseul], et qu’on relève ses statues, pourvu qu’elles n’écrasent personne.

 

                J’avoue que je suis une espèce de Don Quichotte qui se fait des passions pour s’exercer. J’ai pris parti pour Catherine seconde, l’étoile du Nord, contre Moustapha le cochon du croissant. J’ai pris parti contre nos seigneurs [le parlement de Paris, l’ancien] sans autre motif que mon équité et ma juste haine envers les assassins du chevalier de La Barre et du jeune Talonde [d’Etallonde, ami de La Barre, que V* recommandera auprès de Frédéric II en 1767]  mon ami, sans imaginer seulement qu’il y eût un homme qui dût m’en savoir gré.

 

                J’ai dans toutes mes passions détesté le vice de l’ingratitude, et si j’avais obligation au diable je dirais du bien de ses cornes.

 

                Comme je n’ai pas longtemps à ramper sur ce globe, je me suis mis  à être plus naïf que jamais. Je n’ai écouté que mon cœur ; et si on trouvait mauvais que je suivisse ses leçons, j’irai mourir à Astracan, plutôt que de me gêner dans mes derniers jours chez les Welches.

 

                J’aime passionnément à dire des vérités que d’autres n’osent pas dire, et à remplir des devoirs que d’autres n’osent remplir. Mon âme s’est fortifiée à mesure que mon pauvre corps s’est        affaibli.

 

                Heureusement mon caractère a plu à l’homme auquel il aurait pu déplaire [Maupéou]. Je me flatte qu’il ne vous rebute pas, et c’est ce que j’ai ambitionné le plus.

 

                Je sens vivement vos bontés. Je ne désespère pas de faire un jour, si je vis, un petit tour très incognito à Paris ou à Bordeaux pour vous faire ma cour, vous jurer que je meurs en vous aimant, et m’enfuir au plus vite. Mais je crois qu’il attendre que j’aie quatre-vingts ans sonnés. Je n’en ai que soixante et dix-huit, je suis encore trop jeune.

 

                J’ai d’ailleurs fondé une colonie [avec les émigrants fuyant Genève, il fonde une manufacture de montres ] que l’homme à qui je dois tout faisait fleurir, et qui me ruine à présent en exigeant ma présence.

 

                Ce que vous daignez me dire sur ma santé et Tronchin me fait cent fois plus de plaisir que votre vesperie [=admonestation] ne m’alarme ; aussi vous suis-je plus attaché que jamais avec le plus tendre et le plus profond respect, et le plus éloigné de l’ingratitude.

 

 

                        Voltaire

                        A Ferney 3ème juin 1771. »

 

 

 

 

 

 

 

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03/06/2009 | Lien permanent

Je suis bien malingre, mais très heureux

...

 

 

 

« A Louise-Florence-Pétronille de Tardieu d'Esclavelles d'Epinay

[vers juin 1759] 1

Je suis bien malingre, mais très heureux . Honorez, madame, nos petits pénates de votre présence , vous et M. Grimm . Liberté entière pour le malade . Il sera consolé quand il aura l'honneur de vous voir . L'oncle et la nièce vous attendent avec transport . »

1 Manuscrit olographe sur le dos d'une carte à jouer .

 

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04/08/2014 | Lien permanent

Tout le monde est très bien disposé .

... Du côté de la majorité parlementaire .

Quant à tous ceux de la nouvelle minorité, toutes couleurs confondues, vexés comme des poux, il n'ont pas changé de discours : vengeurs, agressifs, démolisseurs . Vous qui  voulez des idées nouvelles, passez votre chemin, les radoteurs continuent leur travail de sape .

 Image associée

La majorité, comme moi, ne manque pas de bras . Au boulot !

 

 

« A Philippe Debrus

à Genève

Nous ne pouvons d'ici que recommander, prier, presser .

C'est à M. d'Argental et à mon neveu, qui protègent la Calas et qui sont sur les lieux, à voir ce qui convient .

Je donne de loin des ouvertures . Je soulève tous les esprits en faveur des Calas . Tout le monde est très bien disposé .

Mme Calas peut être tranquille .

M. Beaumont et un autre avocat travaillent à force . Je me charge de les remercier .

M. Crommelin peut et doit aider, seulement par voie de recommandation en parlant avec zèle .

J'espère que nous réussirons .

29 juillet [1762] »

 

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19/06/2017 | Lien permanent

Je réponds toujours bien tard

... Mais dans les délais prescrits quand même .

 réponds bien tard.gif

 

 

« A Alexis-Jean Le Bret 1

Aux Délices 25 janvier [1760]

Je réponds toujours bien tard, monsieur, il faut excuser un malade chargé de beaucoup de détails de campagne . Je n'ai pas manqué d'envoyer votre lettre aux frères Cramer . Ils m'ont promis d'avoir toutes les attentions que vous désirez et que vous méritez . Je voudrais bien être en état de le seconder moi-même etc. etc. etc. »

 

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29/01/2015 | Lien permanent

nous avons bien des affaires avec la république

... Ce qui augure mal des relations avec les Républicains qui sont eux-mêmes, et c'est un comble, en délicatesse avec les lois républicaines, nicht wahr Nicolas ?

Je cite ici Nicolas Sarkozy qui me semble vouloir entrer dans le livre des records des affaires foireuses ( collant au cul) d'un ex/président, sans négliger ses prédécesseurs qui ont eu leurs lots d'imperfections .

 

affaires de la Vè république.jpg

 

 

« A François Tronchin

7 mai [1760]

Mon cher confrère, nous avons bien des affaires avec la république, Mme Denis et moi . Nous vous remercions tendrement de vos bontés . Nous supplions M. le trésorier de la seigneurie de vouloir bien nous envoyer un homme avec une quittance 1 ; nous délivrerons cent écus courant .

Nous prions monsieur le trésorier de vouloir bien spécifier dans le reçu les causes de l'échute 2 et la mainlevée, afin que nous produisions cette quittance à Gex pour opérer la liquidation des fonds vendus par le sieur Choudens, à lui non appartenant .

Autre affaire . M. Moussard a eu la bonté de nous promettre certificat en chancellerie des droits de Genève cédés au roi en 1749 sur l'endroit nommé La Perrière, et les accessoires concernant La Perrière ; affaire assez importante pour vos serviteurs . Nous vous prions de vouloir bien témoigner à M. le syndic Moussard notre reconnaissance, et combien nous comptons sur ses bontés .

À l'égard du stellionnat 3 de Choudens, nous espérons que l'affaire sera renvoyée devant ses juges naturels . Nous aimerions assurément mieux être jugés à Genève qu'à Gex . Mais il est impossible que les descentes sur les lieux se fassent par d'autres juges que ceux de France . Nous serions répréhensibles, si nous portions la cause à un tribunal étranger .

Nous sommes pénétrés de reconnaissance pour vous, oncle et nièce .

V. »

1 Les pièces relatives à cette affaire sont conservées dans « La dispute avec Choudens, mai 1760 » qui comprend le reçu du trésorier et un mémoire de l'affaire « pour noble dame Denis ».

2 L'échute était le « droit accordé aux seigneurs de succéder dans certaines circonstances à leurs mainmortables » Littré .

 

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06/05/2015 | Lien permanent

Soyez le bien revenu du pays des puces

... Peut-on dire encore de nos jours, comme au Siècle des Lumières, à toute personne venant de Paris . Au XVIIIè on se faisait piquer la couenne, au XXIè, on se fait piquer son portefeuille . 

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« A Gabriel Cramer

à Genève.

[juillet-août 1761 ?]

Mon cher ami je n'en puis plus . Vous aurez cependant demain le trois et ensuite le quatre . J'avais un peu travaillé sur Corneille . Soyez le bien revenu du pays des puces . »

 

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02/07/2016 | Lien permanent

aussi bien dans le comique que dans le tragique

... le spectacle vivant , et son cousin le cinéma, sont dans le coma . Pas de soins intensifs et pronostic pessimiste, quelques perfusions pour donner l'impression qu'on ne veut pas la mort du sujet, et valse hésitation quant aux décisions à prendre . Le remède est pourtant simple : les laisser respirer . Difficile ? J'attends des explications cohérentes, le galimatia j'en ai eu ma surdose , pas besoin de piqure de rappel, alors ?

Masques D'or Du Théâtre Isolés Sur Le Fond Blanc Clip Art Libres De Droits  , Vecteurs Et Illustration. Image 18997788.

 

 

 

« A Gabriel Cramer

[vers le 25 septembre 1765]

Puisque monsieur Cramer joue aussi bien dans le comique que dans le tragique, je me flatte qu'il s’intéressera à l’Église grecque autant qu'à l’Église latine 1. Le philosophe Damilaville part incessamment . On attend l'épreuve avec impatience . On fait mille tendres compliments à monsieur Gabriel . »

1 Allusion au Mandement du révérendissime père en Dieu Alexis, archevêque de Novgorod la Grande, 1765 , de Voltaire . Voir : https://fr.wikisource.org/wiki/Mandement_de_l%E2%80%99archev%C3%AAque_Alexis/%C3%89dition_Garnier

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25/01/2021 | Lien permanent

Vous avez très bien relevé mes inadvertances

... Cette constatation  semble totalement impossible à placer dans la bouche d'un lycéen ou tout autre étudiant recevant ses notes d'examen, ou alors peut-être de la part d'un recalé admis au repêchage et qui veut la jouer "humble sujet" devant son "clairvoyant examinateur" : lèche-cul !

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« A Gabriel Cramer

[1763]1

Vous avez très bien relevé mes inadvertances mon cher Gabriel . Tout est corrigé .

Renvoyez toujours la dernière épreuve .

À ce soir, copie .

Je renvoie Pomp[ée], Méla et Corn[elius] Nepos .

Envoyez-moi je vous prie l'introduction à l’Histoire du Danemark. »

1 Pour la date, elle est donnée par l'allusion à l'ouvrage de Paul-Henri Maller : Histoire de Dannemarc, 1763 , dont les deux premiers volumes sont effectivement intitulés Introduction à l'histoire de Dannemarc . Voir : http://data.bnf.fr/13005574/paul-henri_mallet/

et : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k1183220

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19/06/2018 | Lien permanent

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