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Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

les forcer à travailler pour leur bien à un chemin qui leur est absolument nécessaire, et qu'ils ont la bêtise de rendre

...  Ce qui est le cas des Zadistes de Notre-Dame-des-Landes et leurs sympathisants .

 

 

« A Joseph-Marie Balleidier, Procureur

à Gex

Je remercie monsieur Balleidier de ses soins . Je le prie de me mander ce que vaut la pièce de Pasteur qu'il s'agit de subhaster, et ce qu'il faudra donner outre les cinq louis, et au nom de qui on fait subhaster cette partie de pré .

Je lui recommande de la manière la plus pressante d'envoyer un sergent aux syndics de Prégny et Chambesy, et de les forcer à travailler pour leur bien à un chemin qui leur est absolument nécessaire, et qu'ils ont la bêtise de rendre impraticable .

Je le prie aussi de m'instruire si on avait payé l'expédition pour laquelle Vuaillet a rançonné si indignement la veuve Burdet . Je lui fais mes compliments .

Voltaire .

A Ferney, 23 février 1763.1 »

1 Balleidier a noté sur la lettre « faut faire écrire à M. Fabry p[ou]r les chemins » . Vézinet a imprimé quelques fragments de cette lettre .

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26/01/2018 | Lien permanent

Quand cette opération sera faite, je serais bien aise que vous voulussiez me faire savoir ce qui vous restera entre les

... Eh ! bien, mon cher Voltaire, rassurez-vous, à propos de ce qui restera, le FMI a trouvé une solution pour lutter contre les effets de la crise due au Covid : taxer les riches ! https://www.lci.fr/economie/le-fonds-monetaire-internatio...

Et qui en profitera : les riches ! comme d'hab ', pour eux ce sera peanuts à débourser, à côté de ce qu'ils ont engrangé  . Inaltérables ! ce qui ne les empêchera pas de trainer les pieds, de pousser des cris d'orfraie et jouer aux écorchés . A suivre !

Édito

 

 

 

« A Jacob Bouthillier de Beaumont 1

J’ai l’honneur de vous renvoyer, monsieur, la liste de la loterie que vous avez eu la bonté de me prêter.

Je vous supplierai de vouloir bien, à votre loisir, mander à vos correspondants de Paris de faire porter chez M. de Laborde, banquier du roi, mes trente-six billets de loterie, y compris les billets qui ont gagné les lots. M. de Laborde aura la bonté de joindre cette petite parcelle aux billets dont il a bien voulu se charger pour moi, et la petite masse sera réunie à la grande. Quand cette opération sera faite, je serais bien aise que vous voulussiez me faire savoir ce qui vous restera entre les mains.

J’aurais une autre affaire à vous proposer ; vous verrez, monsieur, si elle convient à vos arrangements.

Il s’agit de savoir si vous pourriez, à commencer au 1er de janvier, me faire toucher, tous les trois mois, un argent assez considérable que doit me payer un négociant nommé M. Sahler 2; il n’a pas toujours son argent prêt à l’échéance. Je consentirais à payer un demi pour cent par mois pour votre escompte ; mais je voudrais que le change fut toujours au pair : ce qui reviendrait au même pour vous, attendu que M. Sahler vous payerait en espèces.

Il restera à savoir si vous pouvez vous dégarnir, tous les trois mois, d’une somme d’environ quinze mille livres. J’écrirai à M. Sahler suivant votre réponse.

J’ai l’honneur d’être, avec tous les sentiments qui vous sont dus, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur . 

A Ferney 14è décembre 1765.»

2 Sahler est un négociant de Montbéliard . A propos de cette affaire, d'autres détails seront donnés dans la lettre au-même du 31 décembre 1777 .

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09/04/2021 | Lien permanent

Dira-t-elle bien non de la manière dont on dit oui ?

... Fermement et sans hésitation, le "NON à Poutine et sa guerre contre l'Ukraine" a mené la journaliste russe Marina Ovsiannikova en prison , ce qui prouve , s'il en était besoin , qu'un ex-petit agent du KGB reste un tordu ennemi de la liberté : https://www.francetvinfo.fr/monde/russie/vladimir-poutine...

Vlad' souviens toi de ce qui est arrivé au dernier tsar de toutes les Russies !

 

 

 

« A Henri-Louis Lekain

4 mars 1767

Je me flatte, mon cher ami, que vous aurez rétabli votre santé quand cette lettre vous parviendra. Je pense que, pour prévenir les éditions dont on me menace de tous côtés, vous devez au moins vous assurer de quatre ou cinq représentations avant Pâques . Mon libraire de Paris tiendrait alors la pièce toute prête pour la rentrée, supposé que cette pièce méritât d’être reprise ; sinon vous vous contenteriez de ces quatre ou cinq représentations, et il n’en serait plus parlé.

On dit que le public n’aime pas Dauberval, et que Grandval conviendrait mieux 1: c’est à vous à décider, et à faire ce que vous trouverez à propos. Sans vous rien ne se peut ni ne se doit faire. Prendrez-vous la peine, mon cher ami, d’adoucir la voix de Mlle Durancy, surtout dans les premiers actes ? Baissera-t-elle les yeux quand il le faut ? Dira-t-elle d’une manière attendrissante :

Si la Perse a pour toi des charmes si puissants,
Je ne te contrains pas, quitte-moi, j’y consens ;

J’en gémirai, Sulma : dans mon palais nourrie,
Tu fus en tous les temps le soutien de ma vie ;
Mais je serais barbare en t’osant proposer
De supporter un joug qui commence à peser,
etc. 2.

Pleurera-t-elle, et quelquefois soupirera-t-elle, sans parler ? passera-t-elle de l’attendrissement à la fermeté, dans les derniers vers du troisième acte ? Dira-t-elle bien non de la manière dont on dit oui ? Si elle fait tout cela, ce sera vous qu’il faudra remercier. La pièce est difficile à jouer . Elle a surtout besoin de deux vieillards qui soient naturels et attendrissants. Les succès dépendent entièrement des acteurs . S’il y en avait trois ou quatre comme vous, vos parts seraient au moins de vingt mille livres.

M. de Thibouville a la bonté de se charger de bien des détails. Portez-vous bien ; je vous embrasse de tout mon cœur.

V. »

1 L'édition Lekain atténue : On dit que Grandval conviendrait mieux que d'Auberval [...]

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11/08/2022 | Lien permanent

Songez bien, encore une fois, que, si nous n’avons pas le bonheur d’obtenir une évocation, nous aurons pour nous le cri

... J'espère que c'est ce que pensent les Ukrainiens, n'en déplaise à Jo Biden .

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

22 Décembre 1766.

Mon cher ami, l’autre Sémiramis ne valait pas celle-ci 1 . Le Ninus 2 n’était qu’un vilain ivrogne ; j’admire sa veuve, je l’aime à la folie. Les Scythes deviennent nos maîtres en tout . Voilà pourtant ce que fait la philosophie. Des pédants chez nous poursuivent les sages, et des princesses philosophes accablent de biens ceux que nos cuistres voudraient bannir 3.

Que M. de Beaumont fasse comme il voudra, mais je veux avoir son mémoire, je veux donner aux Sirven la consolation de l'imprimer 4. Songez bien, encore une fois, que, si nous n’avons pas le bonheur d’obtenir une évocation, nous aurons pour nous le cri de l’Europe, qui est le plus beau de tous les arrêts. Je compte toujours que M. Chardon sera le rapporteur. Pour moi, si j’étais juge, je condamnerais le bailli de Mazamet à faire amende honorable, à nourrir et à servir les Sirven le reste de sa vie.

Je doute fort que le roi permette la convocation des pairs au parlement de Paris ; ou je me trompe fort, ou il en sait beaucoup plus qu’eux tous . Il apaise toutes les noises en temporisant.

Genève est un peu plus difficile à mener que notre nation, mais à la fin on en viendra à bout.

Je me suis aperçu qu'il y a bien des fautes dans la scène du Scythe ; mais en gros je voulais savoir comment vous et Platon l'avez trouvée 5 .

J’embrasse tendrement le favori de ma Catherine 6. Je vais écrire à ma Catherine, et lui dire tout ce que je pense d’elle.

Mandez-moi des nouvelles de la pomme de Guillaume Tell : vous êtes Normand 7, vous devez vous intéresser aux pommes 8. Oh ! comme je vous embrasse !

Je vous prie, mon cher ami, de m’envoyer une lettre de change sur Lyon, de cinquante louis, dont voici la quittance. L’affaire de Lamberta traîne un peu en longueur ; mais elle se fera, malgré le dérangement où l’on est 9. »

1 Catherine II. V* envoie la copie de sa réponse à Damilaville ( lettre du même jour à Catherine II : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2022/03/24/j... )

2 Pierre III, son mari qu'elle avait fait tuer .

3 D'après la copie Beaumarchais , l'édition de Kehl met brûler .

4 L'édition de Kehl pour éviter de dramatiser, affaiblit le texte en mettant le lire .

5 Ce paragraphe manque dans la copie Darmstadt .

6 Diderot. .

7 Damilaville était né près de Saint-Clair-sur-Epte.

8 Cette phrase manque aussi dans la copie Darmstadt .

9 Tout ce paragraphe est omis dans la copie Darmstadt .

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26/03/2022 | Lien permanent

il ne doit point parler de lui . Son intérêt particulier nuirait au bien général qu'on doit toujours envisager

... Consigne valable pour tous les chefs d'Etats et gouvernements qui ont à négocier avec des despotes type Poutine ou Mohammed ben Salman, et quelques autres tristes sires du même tonneau .

Quelques remarques pour Emmanuel Macron et les Français : https://www.lepoint.fr/societe/en-direct-14-juillet-suive...

 

 

« A Johann Rudolph Frey 1

Au château de Ferney par Genève

20è février 1767

Monsieur,

Pour répondre à la confiance dont vous m'honorez, souffrez que je vous dise que le manuscrit de votre ami 2 ne doit point paraître, à mon avis, dans l'état où il est . Je pense qu'il ne doit point parler de lui . Son intérêt particulier nuirait au bien général qu'on doit toujours envisager . Il donnerait d'ailleurs trop de publicité à une aventure qu'il doit ensevelir dans l'oubli .

Il faut absolument retoucher le style en plusieurs endroits . Je pense encore que pour rendre ce morceau plus intéressant il faudrait y joindre quelques réflexions sur les abus qui partent de la même source . Les maladies dont je suis accablé ne me permettent pas de travailler à présent, mais si je me rétablis je me ferai un vrai plaisir de chercher à mériter votre confiance ; je sais quel est votre mérite .

J'ai l'honneur d'être, avec les sentiments respectueux qu'il m'inspire, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire

gentilhomme ordinaire

de la chambre du roi . »

2 Peut-être Isaac Iselin . Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Isaak_Iselin

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17/07/2022 | Lien permanent

je pourrais bien aller me faire enterrer ailleurs que dans la terre à pot du pays de Gex

... A titre personnel ....

 

« A Gabriel Cramer

[février-mars 1767]

Je vous supplie , mon cher Caro, de me renvoyer le discours de M. Thomas et l'autre brochure, qu'il faut que je fasse relier avec d'autres pièces détachées .

Avez-vous songé à donner volume par volume la nouvelle Histoire générale ? Je vous avertis que je ne veux point mourir sans en avoir vu au moins deux tomes imprimés ; d'ailleurs, votre guerre m'ennuie si prodigieusement que je pourrais bien aller me faire enterrer ailleurs que dans la terre à pot du pays de Gex . »

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05/08/2022 | Lien permanent

Je commence à croire que vous serez libres . Conservez bien ce trésor qu'on ne trouve que parmi les rochers et dans les

... Encouragement pour une bonne partie de la population mondiale , il serait bon que ce futur ne soit pas trop lointain .

 

 

« A Paul-Claude Moultou fils

à Genève

J'ai été malade, mon très cher philosophe, comme tout le monde l'a été dans notre ville sainte et damnée ; mais je ne suis pas mort comme le conseiller Mallet 1. J’écrirai au jeune avocat toulousain dès que j'existerai . Je commence à croire que vous serez libres . Conservez bien ce trésor qu'on ne trouve que parmi les rochers et dans les marais .

L'affaire des Sirven est toujours prête à être rapportée et ne se rapporte point . N'importe, je vous réponds que je ne me découragerai pas plus que vous . Je vous embrasse en Platon, en Aristide, et naturellement en Paul .

V.

20 [septembre 1767 ] au soir . »

1 Abraham Mallet est mort ce 20 septembre 1767 ; «  I.9.2.3.1.2 - Abraham MALLET est né en 1716. Il épouse Andrienne GUINAND et décède en 1767. » ; voir : https://www.genea-bdf.org/BasesDonnees/genealogies/mallet.html

et : https://gw.geneanet.org/felins11?lang=fr&m=N&v=MALLET

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02/05/2023 | Lien permanent

J'ai bien peur que cette affaire ne s'en aille en fumée

... C'est ce que les parlementaires de l'opposition de gauche auraient dû pressentir s'ils n'étaient pas aussi bornés et menés par un gugusse comme Mélenchon .

Exit pour la deuxième fois  : RIP ((Requiescat in pace ) pour le  RIP (Référendum d'Initiative Partagée ) : https://www.liberation.fr/politique/retraites-le-conseil-...

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

23 septembre 1767

Le malade de Ferney est bien en peine du malade de Paris, et il attend avec impatience de ses nouvelles. Il soupçonne qu'on a fait une faute dans la dernière lettre, où il est question de la Comtesse de Givry. On a fait dire à Charlot dans la dernière scène: Ô destins inouïs ! et c'est à la belle Julie de le dire. Le malade des champs recommande à la bonté du malade de la ville, la comtesse, Charlot, Julie, et l'intendant faiseur de contes. Puisse cette pièce vous amuser autant qu'elle nous amuse, et être utile à l'enchanteur Merlin

Que faut-il faire pour Sirven ? J'ai bien peur que cette affaire ne s'en aille en fumée. »



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03/05/2023 | Lien permanent

Ce maraud et ses semblables veulent absolument que Dieu soit aussi méchant qu'eux. Vous savez bien que les hommes ont to

... La liste des marauds est horriblement longue , ceux qui se réfèrent à un dieu tout aussi longue, et le peuple est sommé d'obéir à ces guignols . Dieu, s'il existait, devrait ouvrir sa boîte à baffes sans tarder .

Amazon.fr - Et l'homme créa Dieu à son image: La science à la rescousse du  bonheur - Gagnon ing., Romain, Dallaire M. Ps., Yvon - Livres

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« A Claude-Henri de Fuzée de Voisenon

19 octobre [1767]

Je n'osais me plaindre de votre silence, mon cher ancien évêque de Montrouge, mais j'en étais affligé. Vous sentez bien que, dans la décadence où nous sommes, et dans la barbarie dont nous approchons, vous m'êtes nécessaire pour me consoler. Si Mme de Saint-Julien prend des cuisiniers à l'Opéra, vous pourriez bien prendre des marmitons à la Comédie française. Si vous aviez été homme à venir faire un pèlerinage à Ferney, vous auriez été étonné d'y voir des tragédies mieux jouées qu'à Paris. Nous avons depuis un an M. et Mme de La Harpe, et M. de Chabanon, qui sont d'excellents acteurs. Il y a des rôles dont la descendante de Corneille se tire très bien, et elle récite quelquefois des vers comme l'auteur de Cinna les faisait. Mme Denis a joué supérieurement dans une bagatelle intitulée La Comtesse de Givry, ou Charlot. Monsieur l'évêque de Montrouge 1 aurait donné sa bénédiction à toutes nos fêtes.

Je ne sais si vous êtes docteur de Sorbonne . Si vous l'êtes, vous ne prendrez pas assurément le parti de Riballier contre Marmontel. Ce maraud et ses semblables veulent absolument que Dieu soit aussi méchant qu'eux. Vous savez bien que les hommes ont toujours fait Dieu à leur image. Je vous parle votre langage de prêtre. Je suis trop vieux et trop hors de combat pour vous parler la langue de la bonne compagnie, qui vous est plus naturelle que celle de l'Église.

Conservez-moi vos bontés, comme vous avez conservé votre gaieté. Mme Denis et tout ce qui est à Ferney vous fait ses compliments de tout son coeur. »

 

1 Voisenon lui-même, nommé ainsi par plaisanterie car on le voit également beaucoup chez le duc de La Vallière dans son château de Montrouge, si bien que Voltaire l'appelle plaisamment « Monseigneur de Montrouge ».

Voir : https://www.academie-francaise.fr/les-immortels/claude-henri-de-fusee-de-voisenon

et : https://fr.wikipedia.org/wiki/Claude-Henri_de_Fus%C3%A9e_de_Voisenon

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25/05/2023 | Lien permanent

Il faut bien, quelque philosophe que l'on soit, ne pas négliger absolument ses affaires temporelles

... Hier, il y a deux cent quarante cinq ans, Voltaire cessait de se soucier des affaires temporelles et nous laissait son oeuvre extraordinaire et sa pensée remarquable : https://www.france-pittoresque.com/spip.php?article7857

VIVE   VOLTAIRE

Je meurs en adorant Dieu, en aimant mes amis, en ne haïssant pas mes ennemis, en détestant la superstition.

 

« A Etienne-Noël Damilaville

31 octobre 1767 1

Je reçois, mon cher ami, une lettre d'un des nôtres, nommé M. Dupont, avocat au conseil souverain d'Alsace, qui me mande vous avoir adressé des papiers d’affaires très importants pour moi . Il faut bien, quelque philosophe que l'on soit, ne pas négliger absolument ses affaires temporelles .

Je vous enverrai de petites notes sur La Comtesse de Givry, supposé qu'on la réimprime. Je crois que le parti de faire des notes est plus convenable que celui de faire un discours en forme sur Henri IV . Cette besogne est ébauchée autant que ma faible santé l'a pu permettre, mais je ne veux pas faire un travail inutile ; ainsi je vous prie de me mander si en effet on prépare une nouvelle édition . »

1 Copies contemporaines : Darmstadt B. ; B.H. . L'édition de Kehl amalgame quelques mots de la présente lettre et de celle du 4 novembre 1767 et au début de celle du 2 novembre .

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31/05/2023 | Lien permanent

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