07/07/2025
Espérez peu du canoniseur , et songez qu’un moine est toujours moine
... Point de béatification en vue, Léon XIV est en congé payé dans sa résidence secondaire, Castel Gandolfo, son Fort-de-Brégançon religieux . A quand des photos du pape en maillot de bain ?
Ciao
« A Jean Gal-Pomaret
31 janvier 1770
Le vieillard à qui M. de Pomaret a écrit 1 est pénétré des sentiments qu’il veut bien lui témoigner. Continuez, monsieur, à répandre l’esprit de conciliation dans des pays où la discorde a régné autrefois si cruellement. Quand les jésuites sont abolis dans le royaume, il faut bien qu’on vive en paix.
Espérez peu du canoniseur 2, et songez qu’un moine est toujours moine.
Permettez-moi de vous dire que vous prenez mal votre temps pour dire que le projet de la ville libre 3 n’a point eu lieu. On vous confie que l’édit est passé, qu’on vient d’envoyer cent mille livres pour travailler aux ouvrages ; mais il est de la plus grande importance que cela ne fasse pas de bruit dans votre province. Les derniers arrangements ne seront pris qu’au printemps.
Consolez-vous, espérez beaucoup ; un temps viendra où tous les honnêtes gens serviront Dieu sans superstition. Je ne verrai pas ce temps ; mais vous le verrez, et je mourrai avec cette espérance. »
1 Lettre du 11 janvier 1770 .
2 Le pape Ganganelli, qui avait été cordelier.
Gal-Pomaret a écrit : « On nous dit, monsieur, mille biens du pape actuel, mais il crée de nouveaux saints, et cela me fait voir en lui une toute autre tête, qu'une tête philosophe . » Gal-Pomaret comme V* appelant le pape « canoniseur » , ce qui est un néologisme, est injuste pour Clément XIV . Un certain nombre de béatifications furent prononcées sous son pontificat mais aucune canonisation ; voir Ludwig von Pastor « Geschichte der Päpste, 1938 »
3 Versoix .
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mon nom ferait plus de tort que de bien à l’ouvrage, et ne manquerait pas de réveiller des ennemis qui croiraient trouver trop de liberté dans les articles les plus mesurés
... On brasse beaucoup d'air (ce qui pourrai être agréable en période caniculaire ) de tous côtés à l'heure de désigner un.e candidat.e capable d'être élu.e à la mairie de Paris : https://www.leparisien.fr/elections/municipales/municipales-paris/
Quelques notables sont notablement indésirables, de vrais repoussoirs pour les postulants .
En cas de doute, il reste la bonne vieille méthode enfantine du tire-poils qui en vaut bien d'autres .
« A Jean Le Rond d'Alembert
31 de janvier [1770] 1
Rétablissez votre santé, mon très cher philosophe ; j’en connais tout le prix, quoique je n’en aie jamais eu : porro unum est necessarium 2, et sans ce nécessaire, adieu tout le plaisir, qui est plus nécessaire encore. Je me souviens que je n’ai pas répondu à une galanterie de votre part qui commençait par Sic ille vir 3: soyez sûr que vir ille n’a jamais trempé dans l’infâme complot dont vous avez entendu parler. Il n’est pas homme à demander ce que certaines personnes avaient imaginé de demander pour lui ; mais il désirerait fort de vous embrasser et de causer avec vous.
Je vous avais bien dit que l’aventure de Martin était véritable 4. Le procureur général travaille actuellement à réhabiliter sa mémoire : mais comment réhabilitera-t-on les Martins qui l’ont condamné ? le pauvre homme a expiré sur la roue, et le tout par une méprise. Qu’on me dise à présent quel est l’homme qui est assuré de n’être pas roué !
Voici l’édit des libraires 5, tel que je l’ai reçu ; c’est à vous à voir si vous l’enregistrerez. Pour moi, je déclare d’abord que je ne souffrirai pas que mon nom soit placé avant le vôtre et celui de M. Diderot dans un ouvrage qui est tout à vous deux. Je déclare ensuite que mon nom ferait plus de tort que de bien à l’ouvrage, et ne manquerait pas de réveiller des ennemis qui croiraient trouver trop de liberté dans les articles les plus mesurés. Je déclare, de plus, qu’il faut rayer mon nom, pour l’intérêt même de l’entreprise.
Je déclare enfin que si mes souffrances continuelles me permettent l’amusement du travail, je travaillerai sur un autre plan qui ne conviendra pas peut-être à la gravité d’un Dictionnaire encyclopédique 6.
Il vaut mieux d’ailleurs que je sois le panégyriste de cet ouvrage que si j’en étais le collaborateur.
Enfin ma dernière déclaration est que si les entrepreneurs veulent glisser dans l’ouvrage quelques-uns des articles auxquels je m’amuse, ils en seront les maîtres absolus quand mes fantaisies auront paru. Alors ils pourront corriger, élaguer, retrancher, amplifier, supprimer tout ce que le public aura trouvé mauvais ; je les en laisserai les maîtres.
Vous pourrez, mon très cher philosophe, faire part de ma résolution à qui vous jugerez à propos : tout ce que vous ferez sera bien fait ; mais surtout portez-vous bien. Mme Denis vous fait ses compliments ; nous vous embrassons tous deux de tout notre cœur. »
1 Ed. Kehl ; Renouard qui restitue les deuxième et troisième phrases du premier paragraphe omises par Kehl.
2 Luc, X, 42 : https://saintebible.com/luke/10-42.htm
Pourtant une seule chose est nécessaire .
3 Faisant allusion aux difficultés que V* éprouve à rentrer à Paris, dans la lettre du 11 décembre 1769 de d'Alembert : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome46.djvu/523
On trouve « Hiccine vir patriae natus » c'est-à-dire « Cet homme né pour sa patrie » ; V* change la formule non le sens : « ainsi cet homme là... »
4 Ce n'est pas ce qu'en dit ici V* qui confirme la vérité , voir lettre du
9 août 1769 à Dompierre d'Hornoy : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/02/16/on-dit-que-vous-etes-un-des-meilleurs-acteurs-que-nous-ayons-c-est-dommage.html
5 Le prospectus pour l'Encyclopédie révisée, que V* nomme édit par allusion à la solennité du ton des libraires .
6 Cette allusion aux Questions sur l'Encyclopédie devient tout à fait claire .
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Éthis de Novéau
... Rien de nouveau ...
« A Éthis de Novéau 1
[Ferney 30 janvier 1770]2
[Pas de texte disponible.]
1 Commissaire provincial des guerres à Besançon.
2Manuscrit olographe signé , passé à la vente chez Charavay le 17 avril 1880, puis une seconde fois le 25 mai 1882 .
Voir aussi 7111 https://c18.net/vll/vll_pages.php
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Il faudra craindre les oppositions de ceux qui sont intéressés à rendre éternelle la tyrannie dont on se plaint
... Serais-je qualifié de mal pensant, médisant infect si je voyais les marchands d'armes - tous les marchands d'armes, de tous pays - comme des profiteurs intéressés à ce que les conflits n'aient point de fin , que les dictateurs règnent éternellement ? J'aimerais bien me tromper à ce sujet . But business is business every where, all the time ! L'ONU n'est plus qu'une coquille creuse qui constate, dénonce et ne peut rien : c'est tout ; par exemple récent : https://www.slate.fr/monde/genocide-gaza-onu-rapport-mult...
« A Charles-Frédéric-Gabriel Christin fils
Avocat en Parlement
à Saint-Claude
Le solitaire mande au petit philosophe, son ami, que l’édit pour la fondation de Versoix 1 va paraître ; alors le moment pourra être favorable pour présenter la requête 2. Je crois qu’il faudra en envoyer des copies collationnées à tous les ministres. Une affaire si délicate ne peut être jugée que dans le conseil du roi. Il faudra craindre les oppositions de ceux qui sont intéressés à rendre éternelle la tyrannie dont on se plaint. Vos ennemis sont sans doute instruits de la démarche des communautés. Il serait bon de répandre le bruit qu’on a renoncé à l’entreprise ; on frapperait le coup plus sûrement. Je désire autant que vous le succès de cette affaire.
Pour la babiole des Choudens, j’ai mandé à Balleidier 3 de faire tout ce qu’il voudrait ; je serai mort avant que cette affaire soit entièrement jugée.
J’attendrai avec bien de l’impatience que vous veniez ici faire vos pâques.
Je vous embrasse bien tendrement, mon cher ami.
30è janvier 1770.»
1 La chute de Choiseul empêcha qu'un édit officiel ne fut rendu ; voir pourtant la Gazette de France du 5 novembre 1770, et Caussy N.
2 Pour les serfs du mont Jura, contre les privilèges des communautés religieuses du Jura, la requête Au Roi en son Conseil, rédigée par Christin, revue par V*, publiée à Genève, 1770 : https://artflsrv03.uchicago.edu/philologic4/toutvoltaire/navigate/894/1/
3 Procureur à Gex ; pour l'affaire Choudens, voir : https://journals.openedition.org/rde/6070
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06/07/2025
vous savez que les mots et les idées changent souvent chez les Français, et vous vous en apercevez tous les jours
... Pas mieux !
« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand
À Ferney 28 janvier 1770 1
Qui moi, madame ! que je n’aie point répondu à une de vos lettres ; que je n’aie pas obéi aux ordres de celle qui m’honore depuis si longtemps de son amitié ! de celle pour qui je travaille jour et nuit, malgré tous mes maux ! Vous sentez bien que je ne suis pas capable d’une pareille lâcheté. Tout ours que je suis, soyez persuadée que je suis un très honnête ours.
Je n’ai point du tout entendu parler de M. Craford 2. Si j’avais su qu’il fût à Paris, je vous aurais suppliée très instamment de me protéger un peu auprès de lui, et de faire valoir les sentiments d’estime et de reconnaissance que je lui dois.
Vous m’annoncez, madame, que M. Robertson veut bien m’envoyer sa belle histoire de Charles-Quint, qui a un très grand succès dans toute l’Europe, et que vous aurez la bonté de me la faire parvenir. Je l’attends avec la plus grande impatience ; je vous supplie d’ordonner qu’on la fasse partir par les guimbardes 3 de Lyon. C’était autrefois un bien vilain mot que celui de guimbarde ; mais vous savez que les mots et les idées changent souvent chez les Français, et vous vous en apercevez tous les jours.
Vous avez la bonté, madame, de m’annoncer une nouvelle cent fois plus agréable pour moi que tous les ouvrages de Robertson. Vous me dites que votre grand-papa, le mari de votre grand-maman, se porte mieux que jamais ; j’étais inquiet de sa santé, vous savez que je l’aime comme monsieur l’archevêque de Cambrai aimait Dieu, pour lui-même. Votre grand-maman est adorable. Je m’imagine l’entendre parler quand elle écrit . Elle me mande qu’elle est fort prudente . De là je juge qu’elle n’a montré qu’à vous les petits versiculets de M. Guillemet 4.
Si je retrouve un peu de santé dans le triste état où je suis, je vais me remettre à travailler pour vous. Je ne vous écrirai point de lettres inutiles, mais je tâche de faire des choses utiles 5 qui puissent vous amuser. C’est à vous que je veux plaire ; vous êtes mon public. Je voudrais pouvoir vous désennuyer quelques quarts d’heure, quand vous ne dormez pas, quand vous ne courez pas, quand vous n’êtes pas livrée au monde. Vous faites très bien de chercher la dissipation, elle vous est nécessaire comme à moi la retraite.
Adieu, madame ; jouissez de la vie autant qu’il est possible, et soyez bien sûre que je suis à vous, que je vous appartiens jusqu’au dernier moment de la mienne .
V.»
1 Original, initiale, date et corrections autographes ; minute partiellement autographe ; éd. Kehl . Les deux manuscrits sont d'une main inconnue jusque là sauf la date du second qui est de Wagnière .
2 Ou Grawford .
3 Les voitures publiques servant ua transport des marchandises . La suite s'explique par le fait que le mot s'était employé pour désigne injurieusement des femmes de mauvaise vie .
4 Contenus dans la lettre du 1er janvier 1770 à la duchesse de Choiseul : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/06/12/qu-ils-goutent-en-concurrence-le-plaisir-de-faire-du-bien-ma-6551343.html
5 Les Choses utiles et agréables ; voir lettre du 26 janvier 1770 à La Harpe : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/07/04/l-aventure-de-cette-pauvre-novice-qui-en-se-mettant-une-cord-6553752.html
11:59 | Lien permanent | Commentaires (0)
on m’assure que ce qui pourrait trop alarmer est très sagement déguisé
... Paroles de préfet prudent face aux déclarations des organisateurs de la manifestation contre l'autoroute A69 , méfiance justifiée quand on entend certains qui prônent la violence et la destruction : https:www.ladepeche.fr/2025/07/05/autoroute-a69-sil-faut-bruler-des-machines-on-le-fera-12808027.php
J'aimerais bien voir leur tête quand des manifestants viendront brûler leurs bagnoles , seront-ils toujours aussi stoïques ? Crétinos !!
« A Nicolas-Claude Thieriot
26è janvier 1770
Mon ancien et oublieux ami, je crois que vous vous êtes coupé la gorge et la bourse en laissant répandre un faux bruit que j’ai quelque part à cette pièce que vous m’avez envoyée 1, laquelle est, dites-vous, de l’abbé de Châteauneuf et de Raymond le Grec. Vous sentez bien que si on se borne à s’ennuyer aux ouvrages des morts, on se plaît fort à siffler ceux qui sont attribués aux vivants , mais il y a remède à tout. Je sais que vous avez une copie très informe de cette comédie. Je sais, à n’en pouvoir douter, qu’il y en a une beaucoup plus ample et beaucoup plus correcte entre les mains de M. d’Argental. C’est sur celle-là qu’il faudrait vous régler. La copie que vous m’avez envoyée n’aurait certainement pas passé à la police. Plus le monde est devenu philosophe, plus cette police est délicate . Les mots de dévotion seraient d’autant plus mal reçus que la dévotion est plus méprisée ; mais on m’assure que ce qui pourrait trop alarmer est très sagement déguisé dans l’exemplaire de M. d’Argental. Informez-vous-en : faites comme nous pourrez.
Si vous voyez M. Diderot, faites mes compliments à ce digne soutien de la philosophie, à cet immortel vainqueur du fanatisme. »
1 Le Dépositaire.
Il faut comprendre que je vous ai envoyée .
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05/07/2025
Sæpe premente deo, fert deus alter opem / Souvent lorsqu’un dieu vous opprime , un autre dieu vous porte secours .
...Actuellement peut-on citer ces noms de dieux [sic] quand on est Ukrainien : Poutine vs Trump ?
« A monsieur
Monsieur le Président de
Ruffey
à Dijon
Germain-Gilles-Richard de Ruffey
26è janvier 1770 à Ferney
Sæpe premente deo, fert deus alter opem.1
Votre lettre, mon cher président, a servi d’antidote à celle que j’ai reçue du président de Brosses. Il persécute 2 toujours ma pauvre vieillesse, malgré tous les pardons que je lui demande de n’être pas encore mort. Il me menace même d’un petit procès dans l’autre monde. Mais comme il ne sera pas président en ce pays-là, j’espère bien lui montrer les dents, s’il m’en reste.
On m’a envoyé un petit livret d’un de vos académiciens sur les moulins économiques 3, qui m’a paru très bien fait, et j’espère que le nouveau contrôleur général 4 fera venir bientôt l’eau au moulin.
J’ai reçu aussi une introduction à l’histoire de Bourgogne, par M. Mille 5. L’auteur me paraît très instruit ; j’espère beaucoup de son ouvrage, et je m’y intéresse d’autant plus que vous m’avez fait bourguignon.
Est-ce que M. le président de La Marche n’a point d’enfant mâle 6, puisqu’il renonce à la terre de la Marche, qui est la terre de son nom ?
Quoi qu’il en soit, je me tiendrai toujours très bien entre les mains de M. de Neuilly 7 ou de monsieur son neveu. Cette famille est celle de l’honneur et de la probité. On n’en peut pas dire autant de tout le monde, mais bien de vous, mon cher président, qui avez donné tant de preuves de votre générosité.
On ne peut vous être attaché plus tendrement que je le suis, et avec des sentiments plus vrais et plus respectueux.
V. »
1Ovide, Tristes, I, II, 4 : Souvent lorsqu’un dieu vous opprime , un autre dieu vous porte secours .
2 Cette persécution consistait à informer Voltaire qu’on avait instruit le président de nouveaux abus de jouissance dans le bois de Tournay. (Th. F.)
3 Mémoire sur les avantages de la mouture économique et du commerce des farines en détail, par Edme Béguillet. — Dijon. 1769, in-8°.
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Edme_Beguillet
et : https://data.bnf.fr/fr/see_all_activities/15563279/page1
4 L’abbé Terray, nommé le 23 décembre 1769.
5 Il ne peut s'agir ici que d'une préface ou d'un spécimen de l'ouvrage puisque dans une lettre à Mille du 13 septembre 1771 V* vient seulement de recevoir le livre ; voir lettre : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1771/Lettre_8366
L'Abrégé chronologique de l’Histoire ecclésiastique, civile et littéraire de Bourgogne, par Mille, parut en 1772 et 1773, trois volumes in-8°. Il s’arrête à l’époque carolingienne. On ignore pourquoi la suite n’a point paru. — Antoine-Étienne Mille, écuyer, né a Dijon le 1er décembre 1735, mort à Paris le 31 janvier 1787, était avocat au parlement et au grand conseil. Son ouvrage, fort hostile aux moines, fut vivement attaqué par le continuateur de dom Plancher (dom Merle, bénédictin bourguignon) et par dom Rousseau et dom Jourdain, bénédictins de Saint-Germain des Prés. Voltaire l’en félicita par sa lettre du 13 septembre 1771 .
6Il n'en a pas et est veuf ; voir lettre du 19 décembre 1764 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2020/02/19/je-vous-supplie-de-me-mander-en-quel-etat-est-cette-tracasserie-theatrale79.html
7 Jacques-Philippe Fyot de Neuilly, frère de l'ami de collège de V* , frère de l’ancien premier président de La Marche, ancien ambassadeur à Gênes, puis premier président démissionnaire du parlement de Besançon, mort en 1774. Parmi les lettres du président de Brosses sur l’Italie, un grand nombre lui sont adressées.
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