25/12/2020
quelque horreur qu’il inspire, on le tolère, et il se fait un revenu du mépris qu’il inspire
... C'est Boïko Borissov ( et toute sa clique de partisans et protégés ), la corruption faite homme, celui que jamais on ne voudra pour cadeau d'étrennes, et qui , bien que puant , est accueilli dans les palais gouvernementaux sans froncements de nez affichés : j'aimerais penser qu'il y en a sous les masques, mais la politique internationale et le commerce font avaler toutes les couleuvres : https://plus.lefigaro.fr/tag/boiko-borissov
Père Noël fiche lui une paire de baffes de ma part !
Maquignons célèbres
« A François Achard Joumard Tison, marquis d'Argence etc.
au château de Dirac
près d'Angoulême
30 auguste 1765.1
J’ai trop tardé, mon cher monsieur, à vous remercier de la justice que vous avez bien voulu rendre aux Calas, et de la générosité avec laquelle vous avez daigné confondre les calomnies de ce malheureux Fréron. On m’a dit qu’on avait été indigné de sa feuille ; mais, quelque horreur qu’il inspire, on le tolère, et il se fait un revenu du mépris qu’il inspire. J’aurais voulu vous envoyer une petite lettre de remerciement qu’on doit imprimer à la suite de la vôtre 2 ; mais je n’ai pu en avoir encore un exemplaire.
Mlle Clairon m’a fait oublier les maladies qui persécutent ma vieillesse. Elle a joué dans Tancrède et dans Oreste sur mon petit théâtre que vous connaissez. J’ai vu la perfection en un genre pour la première fois de ma vie . Elle est actuellement en Provence, vous auprès d’Angoulême ; ainsi je passe ma vie dans les regrets.
V. »
1 L'édition Supplément au recueil place la lettre en 1763, bien que le manuscrit soit bien daté ; elle est rectifiée par Beuchot .
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