Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

Je vous prie de vouloir bien , en attendant , me donner un passeport de votre main, je vous serai très obligé

... Afficher l'image d'origine

Queen Mum' a-t-elle besoin d'un passeport depuis le Brexit ?

 

 

 

« A Louis-Gaspard Fabry, Maire et subdélégué

à Gex

Ferney 6è novembre 1761

J'oubliai de vous dire , monsieur, quand j'eus l'honneur de vous voir ces jours passés, que j'avais écrit deux lettres à M. Dubu pour avoir des passeports pour mon blé ; il ne m'a point encore fait de réponse . Voici les neiges qui m'obligent à retourner aux Délices ; je n'y ai pas un sac de graine . Je vous prie de vouloir bien , en attendant , me donner un passeport de votre main, je vous serai très obligé . J'ai l'honneur d'être avec le plus tendre attachement, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire. »

 

Lire la suite

12/11/2016 | Lien permanent

Je ne veux point mourir sans avoir vu un vrai philosophe qui veut bien m'aimer

... L'appel est lancé !...

 

« A Claude-Germain Le Clerc de Montmercy

8 avril 1765

Plus monsieur de Montmercy m'écrit et plus je l'aime . Je n'ose lui proposer de venir philosopher dans ma retraite cette année . Je suis environné de maçons et d'ouvriers de toute espèce, mais je le retiens pour l'année 1766, supposé que les quatre éléments me fassent la grâce de conserver mon chétif corps jusque là . Je ne veux point mourir sans avoir vu un vrai philosophe qui veut bien m'aimer, et qui étant libre pourra faire ce petit voyage sans demander permission à personne . C'est avec de tels frères que je voudrais achever ma vie dans le petit couvent que j'ai fondé .

Quand il y aura quelque chose de nouveau dans la littérature, je vous prierai, monsieur, de m'en faire part , mais vos lettres me font toujours plus de plaisir que les ouvrages nouveaux . »

Lire la suite

21/07/2020 | Lien permanent

Les frères seraient bien abandonnés de Dieu s’ils ne profitaient pas des heureuses circonstances où ils se trouvent

... Frères ennemis, est-il besoin de le préciser, Hamon et Valls, en guéguerre pour avoir l'honneur de se faire battre en mai, si j'ose encore en croire les statistiques .

Qui va avoir le soutien de qui , et sera-ce bénéfique ?  Qui, se dressant sur ses petits ergots, va donner des consignes de vote , et de quel droit ? Il va y avoir encore quelques tractations/négociations/séances de lèche-bottes et petits discours insipides .

 http://www.europe1.fr/politique/hamon-et-valls-ce-q...

 

freres ennemis valls hamon.png

Hommes de gauche , méfiants, lorgnant à droite avant de traverser

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

30 janvier [1762]

Je m’étais trompé, mon frère ; ce n’était point le Despotisme oriental  que j’avais lu en manuscrit. Je viens de lire votre imprimé ; il y a de l’érudition et du génie. Il est vrai que ce système ressemble un peu à tous les autres ; il n’est pas prouvé . On y parle trop affirmativement quand on doit douter, et c’est malheureusement ce qu’on reproche à nos frères.

D’ailleurs je suis très fâché du titre . Il indisposera beaucoup le gouvernement, s’il vient à sa connaissance. On dira que l’auteur veut qu’on ne soit gouverné ni par Dieu ni par les hommes . On sera irrité contre Helvétius, à qui le livre est dédié 1. Il semble que l’auteur ait tâché de réunir les princes et les prêtres contre lui ; il faut tâcher de faire voir au contraire que les prêtres ont toujours été les ennemis des rois. Les prêtres, il est vrai, sont odieux dans ce livre ; mais les rois le sont aussi. Ce n’est pas le but de l’auteur, mais c’est malheureusement le résultat de son ouvrage. Rien n’est plus dangereux ni plus maladroit. Je souhaite que le livre ne fasse pas l’effet que je crains ; les frères doivent toujours respecter la morale et le trône. La morale est trop blessée dans le livre d’Helvétius, et le trône est trop peu respecté dans ce livre qui lui est dédié.

Les frères seraient bien abandonnés de Dieu s’ils ne profitaient pas des heureuses circonstances où ils se trouvent. Les jansénistes et les molinistes se déchirent, et découvrent leurs plaies honteuses ; il faut les écraser les uns par les autres, et que leur ruine soit le marchepied du trône de la vérité.

J’embrasse tendrement les frères en Lucrèce, en Cicéron, en Socrate, en Marc-Antonin, en Julien et en la communion de tous nos saint patriarches. »

1 En tête des Recherches sur l’origine du despotisme oriental, se trouve une Lettre de l’auteur à M. *** Helvétius. (Georges Avenel) . Voir lettre du 26 janvier 1762 à Damilaville : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2017/01/17/n...

 

 

Lire la suite

23/01/2017 | Lien permanent

J'ai bien peur que les annuités, les loteries, les rentes ne soient pas meilleures que nos troupes

... Politiciennes .

 Dur de trouver quelque chose à se mettre sous la dent au rayon surgelé

DSCF1920 rien sous la dent.png

 

 

« A Jean-Louis Labat, baron de Grandcour

à Genève

1er janvier [1758]

Mon cher baron, je vous souhaite la bonne année à vous, à toute votre famille et au grand Tronchin .

Rendez-moi je vous prie un petit service . Vous avez auprès de monsieur votre fils un précepteur qui est un jeune homme d'un très grand mérite . Pourrait-il se donner la peine, à votre prière, de faire ce que je demande par le papier ci-joint ?1 Je vous serai très obligé .

Si Luc a gagné deux ou trois batailles pour ses étrennes mandez-le moi .

J'ai bien peur que les annuités, les loteries, les rentes ne soient pas meilleures que nos troupes . Qu'en pensez-vous baron ?

Aimez toujours un peu le Suisse

V. »

1 Ce papier n'est pas connu .

 

Lire la suite

03/03/2013 | Lien permanent

N'êtes-vous pas bien aise que l'affaire de Pologne soit accommodée

... Pour s'en faire une idée, voir : https://fr.euronews.com/infos/europe/pologne

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental

[Vers le 15 janvier 1768]

N'êtes-vous pas bien aise que l'affaire de Pologne soit accommodée à la plus grande gloire de Dieu et de la raison ? Joseph Bourdillon 1, professeur en droit,public, n'a pas laissé de servir dans ce procès ; puissé-je réussir comme lui dans celui des Sirven ! Puissé-je surtout venir un jour vous dire combien je vous aime, combien je vous suis attaché pour le reste de ma languissante vie !

1 Sur Bourdillon , qui n'est qu'un prête-nom de V*, voir lettre du 25 août 1768 à Vorontsov : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2023/04/13/je-suis-idolatre-de-trois-choses-de-la-liberte-de-la-toleran-6438089.html

Lire la suite

16/08/2023 | Lien permanent

je n’en suis pas moins sensible à toutes les choses obligeantes que vous me dites, et que je voudrais bien mériter

... A vos commentaires ...

https://www.universfreebox.com/wp-content/uploads/2021/01/fibre-optique90-800x450-c-default.jpg

 

 

« À Gay de Noblac

Au château de Ferney, près Genève, 9 octobre [1766] 1

Les maladies qui affligent ma vieillesse, monsieur, ne m’ont pas permis de répondre plus tôt à la lettre que vous avez bien voulu m’écrire le 4 septembre ; je n’en suis pas moins sensible à toutes les choses obligeantes que vous me dites, et que je voudrais bien mériter ; je les dois aux bontés dont M. le maréchal de Richelieu, votre gouverneur, m’honore. Je ne suis pas assez vain pour croire les mériter, mais je suis assez reconnaissant pour être honteux de vous avoir remercié si tard.

J’ai l’honneur d’être avec tous les sentiments que je vous dois, monsieur, votre très-humble et très-obéissant serviteur.

Voltaire. »

1 L'édition Beuchot indique que le destinataire est un avocat de Bordeaux ; sa lettre n'est pas connue .

Lire la suite

11/01/2022 | Lien permanent

Les choses dans ce monde prennent des faces bien différentes ; tout ressemble à Janus ; tout, avec le temps, a un double

... Les paris sont ouverts: combien de temps avant l'éclatement de la Nouvelle Union Populaire écologique et sociale ? Pas chiche de tenir un quinquennat !

NDLR- Rédigé le 7 mai pour parution le 3 mai 2022 .

 

 

« A Philippe-Antoine de Claris, marquis de

Florian

rue d'Anjou, au Marais

à Paris

14è janvier 1767 1

Mon cher grand écuyer de Babylone, il est juste qu’on vous envoie les Scythes et les Persans : cela amusera la famille . Notre abbé turc 2 y a des droits incontestables. Vous pourrez prier Mlle Durancy à dîner : elle trouvera son rôle noté dans l’exemplaire que je vous enverrai ; voilà pour votre divertissement du carnaval. Nous répétons la pièce ici ; elle sera parfaitement jouée par M. et Mme de La Harpe, et j’espère qu’après Pâques M. de La Harpe vous rapportera une pièce intéressante et bien écrite.

Nous remercions mon Turc bien tendrement. Mme Denis et moi, nous l’aimons à la folie, puisqu’il a du courage et qu’il en inspire 3 ; c’est une énigme dont il devinera le mot aisément.

Je viens d’écrire à Maurival, ou plutôt de lui faire écrire ; et dès que j’aurai sa réponse j’agirai fortement auprès du prince dont il dépend. Ce prince m’écrit tous les quinze jours ; il fait tout ce que je veux. Les choses dans ce monde prennent des faces bien différentes ; tout ressemble à Janus ; tout, avec le temps, a un double visage. Ce prince ne connait point Maurival, sans doute ; mais il connaît très bien son désastre. Il m’en a écrit plusieurs fois avec la plus violente indignation, et avec une horreur presque égale à celle que je ressens encore. Il y a des monstres qui mériteraient d’être décimés. Je vous prie de me dire bien positivement si le premier mémoire que vous eûtes la bonté de m’envoyer de la campagne 4 est exactement vrai. En cas que le frère de Maurival veuille fournir quelques anecdotes nouvelles, vous pourrez nous les faire tenir sous l’enveloppe de M. Hennin, résident du roi à Genève.

Vous savez que nous sommes actuellement environnés de troupes, comme de tracasseries. Nous mangeons de la vache : le pain vaut cinq sous la livre ; le bois est plus cher qu’à Paris. Nous manquons de tout, excepté de neige. Oh ! pour cette denrée, nous pouvons en fournir l’Europe. Il y en a dix pieds de haut dans mes jardins, et trente sur les montagnes. Je ne dirai pas que je prie Dieu qu’ainsi soit de vous. Florianet5 a écrit une lettre charmante, en latin, à père Adam. Je vous prie de le baiser pour moi des deux côtés. J’embrasse de tout mon cœur la mère et le fils. »

 

1 L'édition de Kehl rattache une partie de cette lettre à une autre très postérieure du 3 avril 1767 .

2 L’abbé Mignot, neveu de Voltaire, travaillait à son Histoire de l’empire ottoman, qui vit le jour en 1771. quatre volumes in-12 : https://data.bnf.fr/fr/14572485/vincent_mignot/

Et voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Mignot

3 Il s’était remué plus que d'Argental pour l’affaire Lejeune et les Recueils nécessaires .

4 Il s'agit du mémoire que V* a utilisé pour écrire la « lettre à lui-même » dont le texte est donné à propos de la lettre du 14 juillet 1766 à Damilaville : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/10/06/v... . Celui-ci répond en gros que les informations que V* a reçues reposent sur des « bruits publics », mais seraient « très difficiles à prouver ».

Lire la suite

03/05/2022 | Lien permanent

Qui n’a jamais rien écrit contre ce qu’il doit respecter n’a point de rétractation à faire

... Entendez-vous, comprenez-vous ô ministres de tout poil ?

 

 

« A Gay de Noblac

30 mai 1768 1

Vous écrivez, monsieur, à M. de Voltaire, par votre lettre du 19 mai, que vous avez fait un petit ouvrage sur sa rétractation, et que vous le dédiez au chapitre de Saint-André. Il est trop malade pour avoir l’honneur de vous répondre. Je suis obligé de vous dire qu’il respecte fort le chapitre de Saint-André ; mais nous ne savons ici ce que c’est que cette rétractation prétendue. Les gazettes des pays étrangers sont souvent trompées par les nouvellistes de Paris, et trompent le public à leur tour : elles deviennent quelquefois les échos de la calomnie . Elles immolent les particuliers au public. M. de Voltaire, en s’acquittant le jour de Pâques, dans sa paroisse, d’un devoir auquel personne ne manque dans ce diocèse, entouré de protestants, avertit les assistants du danger de la reine, et fit prier Dieu pour elle. Il donna aussi quelques ordres qui regardaient la police. C’est sur cela, monsieur, que quelques plaisants de Paris ont écrit qu’il avait fait un sermon. Qui n’a jamais rien écrit contre ce qu’il doit respecter n’a point de rétractation à faire. Il sait, monsieur, que jeunes gens 2 inconsidérés mettent tous les jours sous son nom des brochures qu’il ne lit point. Son âge d'environ soixante-quinze ans devrait le mettre à l’abri de ces imposteurs. Occupé dans la plus profonde retraite du soin de soulager ses vassaux et de défricher des campagnes incultes, il n’a jamais daigné seulement confondre ces bruits populaires ; et moi, monsieur, je dois taire ce qu’il ne fait pas. Toute la province rend depuis douze ans le même témoignage que moi. Il n’appartient qu’à ses calomniateurs de se rétracter. On doit laisser les citoyens en repos, et surtout un homme de son âge. Il m’a dit qu’il vous remerciait de vos intentions, mais qu’il vous serait encore plus obligé de votre silence.

J’ai l’honneur d’être, etc. »

1 Minute autographe ; édition Supplément au recueil . V* a porté sur le manuscrit : « Réponse à M. Gay de Noblac à Bordeaux ».

2 Sic. Il faudrait sans doute ajouter l'article de ou les ; quoique le mot gens s'emploie encore assez souvent sans article au XVIIIè siècle ; dans ce cas , la phrase aurait un ton plaisant .

Lire la suite

20/01/2024 | Lien permanent

on fourre dans l'inventaire bien des choses qui ne m'appartiennent pas 

... Telle est le constat de Harry , --qui semblerait bien avoir été contaminé par nos grèvistes en stoppant ses fonctions princières ,--  comptant les millions qui lui restent .

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

20è novembre 1764

Vous êtes les anges des Corneille, comme vous êtes les miens ; ainsi je compte que Mme Dupuits n'est pas trop téméraire en suppliant monsieur d'Argental de vouloir bien faire rendre le paquet ci-joint à M. Corneille . Le marquis est bien arrivé , et il a bien promis d'envoyer les feuilles qu'on demande ; et je ne doute pas que le prince et le marquis 1 n'ordonnent à leurs principaux officiers de faire les recherches nécessaires dans leur chancellerie , moyennant quoi l'héritier du nom de Corneille peut se flatter de recevoir dans quelques mois un paquet scellé du grand sceau .

Mes anges m'avaient tenu le cas secret sur les Lettres secrètes ; je ne les ai point lues . C'est un nommé Robinet, qui est allé exprès à Amsterdam . Je ne crois pas que son entreprise lui paye son voyage . Il prétend aussi faire imprimer ma correspondance avec le roi de Prusse ; en ce cas, il publiera de bien mauvais vers . Vous croyez bien que j'entends les miens car ceux d'un roi sont toujours bons .

Il me paraît que je ressemble assez à un homme dont le bien est à l'encan ; on vend tous mes effets comme si j'étais décédé insolvable , et on fourre dans l'inventaire bien des choses qui ne m'appartiennent pas ; mais comme je suis mort ce n'est pas la peine de me plaindre .

Dieu bénisse les vivants et qu'il accorde à mes anges la vie sempiternelle le plus tard qu'il pourra . »

1 A savoir Gabriel et Philibert Cramer !

Lire la suite

14/01/2020 | Lien permanent

Il faut finir par cultiver son jardin . Tout le reste, excepté l'amitié, est bien peu de chose ; et encore cultiver son

...

DSCF5224.JPG

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'ArgentaI

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

1er juin [1763] 1

Dans l'idée que M. de Courteilles aura laissé des ordres pour faire rendre à mes anges les paquets à eux adressés sous son enveloppe, je hasarde cette Olympie et cette Zulime, avertissant mes anges que je leur en ai déjà envoyé sous le couvert de M. le duc de Praslin avec une lettre à cachet volant pour M. le président de Mesnières . Comme depuis quelque temps la lettre de Jean-Jacques à Christophe a excité l'attention de ceux qui sont chargés de l'inspection de la poste , et qu'à cette occasion on a saisi plusieurs imprimés, j'ai craint, et je crains encore pour mes pauvres Olympie, et pour mes chétives Zulime . Je suis comme le lièvre qui tremblait qu'on prit ses oreilles pour des cornes .

Vous ai-je dit que toute la cour de l’Électeur palatin et les étrangers qui y sont, lui ont redemandé Olympie, qu'il l'a fait rejouer deux fois quoique les princes n'aiment pas à voir deux fois la même chose ? On prétend à Manheim que je n'ai jamais rien fait ni de moins mauvais ni de plus théâtral . Ne sera-ce donc qu'aux bords du lac Léman et sur ceux du Rhin que j'obtiendrai un peu d'indulgence ? J'en reviens toujours à Candide . Il faut finir par cultiver son jardin .

Tout le reste, excepté l'amitié, est bien peu de chose ; et encore cultiver son jardin n'est pas grand-chose .

Vanité des vanités et tout n'est que vanité, excepté de vivre tout doucement avec les personnes auxquelles on est attaché .

La nièce à Pierre, la nièce à François, et le vieux François baisent le bout de vos ailes .

V. »

1 L'édition de Kehl, suivie de toutes les autres , amalgame une partie de cette lettre avec les lettres du 10 juin et du 13 juin 1763 aux mêmes , avec des coupures et des collages ; voir : http://www.monsieurdevoltaire.com/2014/06/correspondance-annee-1763-partie-20.html

Lire la suite

01/06/2018 | Lien permanent

Page : 61 62 63 64 65 66 67 68 69 70 71