31/05/2012
Eh bien les Anglais valent donc 40 livres pièce?
... May be !
Je ne sais pas comment Volti a estimé la valeur des perfides Anglais , je trouve qu'ils ne valent pas grand chose .
Je n'ai pas fait le calcul pour estimer les roastbeefs à l'unité .
Mais, bon, pour 40 livres j'espère que la bête est tendre, et que, même avec une sauce à la menthe et des haricots baignant dans la graisse , on n'en fera qu'une bouchée lors des jeux prochains .
Pour connaitre leur vraie valeur, je devrais sans doute m'adresser à la Mafia et autres margoulins qui truquent les matchs !
Cependant, les Ecossais, qui ont toute ma sympathie, montrent volontiers leurs pompons, sans sucer les bonbons anglais !
Il y en a au moins un qui ne plombe pas le bas de son kilt comme les jupettes de Liz !
God save qui il voudra !!
« A M. Jean-Robert TRONCHIN, de Lyon
26 février [1756]
Que dites-vous du départ du grand docteur Tronchin? Le docteur m'est venu voir sur la route il ne m'a pas dit où il allait mais je crois l'avoir deviné 1.
Le bruit d'un combat naval 2 a couru dans nos montagnes; mais elles sont trop éloignées de la mer. Il paraît que voilà la guerre de Rome et de Carthage. Les Carthaginois forcèrent les Romains à devenir meilleurs marins qu'eux; mais il y a encore bien loin de Brest à Londres. Le commerce souffrira beaucoup, les deux nations s'épuiseront en Europe pour quelques arpents de neige en Amérique. Il paraît qu'il n'y a qu'une petite décoration de changée à Versailles. Eh bien les Anglais valent donc 40 livres pièce? Des dissensions pour un vieux conseiller du grand conseil 3, des guerres ridicules chez les Algonquins, des billets de confession 4, etc., tout cela fait que je me trouve fort bien à Monrion et aux Délices. »
2 Dès juin 1755, l'Angleterre, avec son premier ministre Newcastle, alors officiellement en temps de paix, lance des opérations navales militaires « préventives », et fin 1755, ce sont près de 300 navires qui sont déjà capturés avec 7500 hommes . La Guerre de 7 ans commencera officiellement après que Louis XV ait réclamé la restitution de ces prises .
4 Ce dont V* se moquait déjà dans sa lettre du 24 octobre 1753 à la comtesse de Lutzelbourg : « On songe à Paris à de misérables billets de confession, et on ne songe ni à la petite vérole, ni à l'autre . »
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30/05/2012
de tous ceux qu'on a amusés, en est-il un seul qui daigne vous rendre le même service?
... Je ne sais si toi, Volti , qui est mort il y a tout juste 334 ans, t'amuses en voyant notre monde actuel, mais, bien que je t'aime, je ne veux pas avancer le moment où je pourrais te rendre ce service que tu nous offres encore .
Permets que je reste ton débiteur encore un peu !
A ton esprit éclatant Volti
Et une pensée particulière pour Mam'zelle Wagnière ...
« A M. LE COMTE D'ARGENTAL.
A Monrion, 26 février [1756]
Moi, vous avoir oublié, mon cher ange! Ah! cela est bien impossible! Il y a plus de trois semaines que j'envoyai à Mme de Fontaine le petit ouvrage 1 dont vous me parlez, pour vous être donné sur-le-champ. Si vous avez quelqu'un de la famille à gronder, c'est à Mme de Fontaine qu'il faut vous adresser. Je n'ai point reçu cette lettre où vous me chantiez pouilles; apparemment que vos gens, voyant que vous me grondiez, n'ont pas cru que la lettre fût pour moi. Je reçois très-régulièrement toutes celles qu'on m'écrit par M. Tronchin 2. Ne craignez point, mon cher ange, de m'écrire par cette voie. Il me semble qu'il faudrait faire à présent quelque tragédie maritime; on n'a encore représenté des héros que sur terre je ne vois pas pourquoi la mer a été oubliée. La scène serait sur un vaisseau de cent pièces de canon. Vous m'avouerez que l'unité de lieu y serait exactement observée, à moins que les héros ne se jetassent dans la mer. En vérité, je ne trouve rien de neuf sur la terre, ce sont toujours les mêmes passions, et des aventures qui se ressemblent. Le théâtre est épuisé, et moi aussi et puis, quand on s'est tué à travailler deux ans de suite à l'ouvrage le plus difficile que l'esprit humain puisse entreprendre, quelle en est la récompense? Les comédiens, daignent-ils seulement remercier du présent qu'on leur a fait?3 On amuse la cour deux heures; mais, de tous ceux qu'on a amusés, en est-il un seul qui daigne vous rendre le même service? La parodie nous tourne en ridicule; un Fréron nous déchire; voilà tout le fruit d'un travail qui abrège la vie. C'est à ce coup que vous m'allez bien gronder. Vous auriez tort, mon cher ange; ne voyez-vous pas que si mon sujet était arrangé à ma fantaisie, j'aurais déjà commencé les vers?
Mais quelle est donc la maladie de Mme d'Argental ? que veut donc dire son pied ? Si la comédie ne la guérit point, que pourra Fournier 4? Son état m'afflige sensiblement Quand vous irez à la Comédie, mon cher et respectable ami, faites, je vous prie, pour moi les remerciements les plus tendres à Gengis-kan 5. Il est vrai que je ne pouvais mieux me venger de l'auteur 6 de Mérope, opéra, qu'en vous en envoyant un petit échantillon. Je crois qu'à présent on doit trouver ses vers fort mauvais à Versailles. Je suis toujours attaché à Mme de Pompadour je lui dois de la reconnaissance, et j'espère qu'elle sera longtemps en état de faire du bien. Adieu, mon cher ange; je vous embrasse tendrement. »
4 Ou Fournié, médecin du duc d'Orléans. Médecin nommé dans la lettre du 13 janvier 1754 à d'Argental :
23:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
Vous voyez que dans ce monde on ne dit pas un mot de vrai
... Et pourtant, il est des nouvelles d'une importance si capitale qu'elles ne peuvent être que vraies . Jugez-en : http://lci.tf1.fr/insolite/a-pekin-les-mouches-sont-limit...
Personnellement, je ne suis pas étonné de ce dictat, la mouche chinoise étant comme chacun le sait, perfide et colonisatrice ; travaillant 24h sur 24, 7 jours sur 7, vous voyez sans hésiter sa capacité de nuisance .
Deux par toilette, pas plus, cette règle me rappelle les ordres du défunt et non regretté Grand Timonier, et je l'approuve, car si on est assez laxiste pour dire "en moyenne 2 par toilette", supposons que nous ayons un groupe de 10 toilettes et que ces malignes mouches se réunissent dans un seul WC, nous aurions un attroupement de 20 mouches, ce qui est fort mal vu par les autorités depuis les évènements de Tien An Men . Fera-t-on là aussi appel aux chars ? A quand un édit sur le poids, la taille, le volume maximum de ce que l'on va déposer en ces lieux ? ça ne saurait tarder, le chinois étant essentiellement comptable, ... quand il n'est pas blanchisseur au Far West .
« A M. Pierre PICTET,
Professeur en droit.
[février 1756]
Mille remerciements et mille respects à vos dames. Vous voyez que dans ce monde on ne dit pas un mot de vrai 1. Oui, sans doute, il faut être pyrrhonien,2 et ne songer qu'à vivre doucement. Pour moi, je ne fais que supporter la vie; je souffre continuellement. »
1 Allusion à la prétendue destruction de Philadelphie. Voir la lettre du 12 février à Pictet : .http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2012/05/25/les-ministres-ont-leurs-raisons-dans-lesquelles-il-ne-m-appa.html
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28/05/2012
On ne peut mieux prendre son temps pour être dévot
... Que le lundi de Pentecôte !
Esprit (saint dans un corps sain ou inversement) es-tu là ?
Si oui, tire la langue (de feu, même si je ne fume plus depuis belle lurette) et donne moi le don des langues (étrangères, surtout si elles sont dans des corps agréables ) .
« A M. DE CIDEVILLE.
A Monrion, près Lausanne, 19 février [1756]
L'oncle et la nièce font mille compliments aux deux philosophes de la rue Saint-Pierre; ils envoient à M. l'abbé du Resnel 1 ce petit sermon qui leur est tombé entre les mains, et qui pourra les amuser en carême. On ne peut mieux prendre son temps pour être dévot. Mais M. l'abbé du Resnel et M. de Cideville seront encore plus persuadés de l'attachement des deux ermites que de leur dévotion 2.
Brisons ma lyre et ma trompette;
Laissons les héros et les rois
Je ne veux chanter qu'Henriette,3
Qu'elle seule anime ma voix.
Muses, désormais, pour écrire,
Je n'ai besoin que de mon cœur;
Mais vous justifierez l'auteur,
Si l'indiscret ose en trop dire.
Eh ! pourquoi craindre que l'Altesse
S'offense des plus tendres soins?
Faut-il, parce qu'elle est princesse,
Que qui la voit l'en aime moins?
Était-ce un crime volontaire
Que de se rendre à tant d'appas?
Mon droit d'aimer ne vient-il pas
D'où lui venait celui de plaire?
Quand on voit l'aimable Henriette,
L'indifférence disparaît;
Quelque respect qui nous arrête,
Est-on maître de son secret?
Les égards que le rang impose
N'étouffent point le sentiment:
Ils font qu'on l'exprime autrement,
Et ne changent rien à la chose. »
1 Jean-François du Resnel du Bellay : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_Du_Resnel...
2 Ici se termine, dans l'original autographe, le billet d'envoi du Poeme sur le Désastre de Lisbonne, à Cideville et à du Resnel. Quant aux vingt-quatre vers imprimés par nos prédécesseurs, comme y faisant suite, ils sont écrits d'une écriture grosse et assez laide sur les seconde et troisième pages de la lettre. Cette écriture ne m'a pas semblé être celle de Cideville; peut-être est-ce celle de Mme Denis. Dans tous les cas, j'ignore si ces vers, adressés à une princesse Henriette, sont du chantre de Henri. (CL.)
3 Cette princesse Henriette ne serait-elle pas Louise-Henriette de Bourbon-Conti, mariée au duc d'Orléans en 1743 et qui mourra en 1759 ?
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On veut en imposer au public, et on a raison Qui vult decipi, decipiatur
... Eh oui, que ceux qui veulent être couillonnés soient couillonnés, c'est aussi simple que ça .
Il suffit de se gaver de téléréalité débile pour suivre le premier chien coiffé (oups, j'ai failli écrire Coppé ! que c'est beau le subconscient ! ). Je dois avouer mon régal à voir ces chiens se battre pour un os/hochet de chef de parti déchu . Leur souci de faire du bien à la France est éclatant . Bravo, continuez, vous touchez au but !
« A M. DE GAUFFECOURT,
A Genève.
A Monrion, 19 février 1756.
Mon cher philosophe, je vous enverrai par la première poste mon sermon 1, quoique je désespère de vous convertir. Mais enfin j'aurai fait mon devoir , il faut tâcher de gagner à Dieu une belle âme comme la vôtre. Sans le concile d'Embrun,2 je prendrais tout à l'heure l'appartement de M. de Cornabé; mais j'aimerais mieux que vous restassiez à Genève. Le docteur Apollon-Esculape Tronchin 3 a couché chez moi, et nous n'avons pas été la dupe de son voyage. L'aventure de Versailles 4 me paraît une cassade 5. On veut en imposer au public, et on a raison Qui vult decipi, decipiatur 6. Souvenez-vous toujours des deux ermites qui vous seront éternellement attachés, et donnez-nous de vos nouvelles quand vous serez à Paris.
V. »
2 Voir : http://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_%C3%A9v%C3%AAques_et_archev%C3%AAques_d%27Embrun
En 1727, lors du concile d'Embrun, dirigé par Mgr de Tencin, futur évêque de Lyon et cardinal, l'archevêque Soanen fut destitué pour son attitude et prosélytisme janséniste . Voir : http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rhef_0300-9505_1930_num_16_70_2534
V* fait encore allusion à sa froide réception par le cardinal lors de son séjour à Lyon , d'autant plus qu'il qualifiait le concile d'Embrun de « petit concile » dans son Siècle de Louis XV, ce qui vexait fort le cardinal .
4 Je ne sais s'il s'agit de quelque propos sur l'inoculation du duc de Chartres, que Tronchin vint pratiquer en avril 1756. Lorsque le duc d'Orléans parla de ce projet au roi, Louis XV lui répondit qu'il était le maître de ses enfants. (Beuchot.)
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27/05/2012
On dit de Dieu qu'il ne fait point le mal, mais qu'il le permet
... Perhaps !
Et avec ça, faut-il vous l'emballer ?
Et parfois, il retient les coups des humains , happy end !
« A Madame la margrave de BAIREUTH
A Monrion, près de Lausanne, 17 février 1756.
Madame, vous êtes de ces divinités qui ne sont faites que pour répandre des grâces. On dit de Dieu qu'il ne fait point le mal, mais qu'il le permet. Mme la princesse de Nassau-Sarrebruck a envoyé à Paris certain ouvrage sur la religion naturelle, et je peux jurer à Votre Altesse royale que je n'en avais jamais donné de copie qu'à vous seule. Le roi votre frère 1 ne s'est jamais dessaisi de l'original. C'était un poème très-informe. Je l'ai beaucoup corrigé depuis 2, et voici comme il commence
Souveraine sans faste et femme sans faiblesse,
Vous dont la raison mâle et la ferme sagesse
Sont pour moi des attraits plus chers, plus précieux,
Que ces feux séduisants qui partent de vos yeux,
Digne ouvrage d'un Dieu, connaissons notre maître, etc.
Après ce petit début, Votre Altesse royale ne peut manquer de prendre le sermon et le prédicateur sous sa protection. Le roi votre frère ajoute à sa gloire, qui semblait ne pouvoir plus croître. Il fait des traités qui valent mieux que des victoires. Il écarte les étrangers de sa patrie. Il affermit le trône des autres, et il assure le sien. Ce n'est pas tout, il m'envoie ma Mérope tournée par lui en opéra. Tout cela est beau, mais il lui manque de m'aimer.
Que Votre Altesse royale daigne s'amuser d'un autre sermon 3 que j'ai l'honneur de lui envoyer. Qu'elle juge entre Pope et moi. Je souhaite que tout soit bien à jamais pour elle. Je me mets aux pieds de monseigneur et aux vôtres avec le plus profond respect et le zèle éternel de
Frère VOLTAIRE. »
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26/05/2012
ce point, qui, quoique frivole en lui-même, devient important dans un dictionnaire
... La taupe du Vatican !... Déterre les secrets du Vatican !
Ô mon dieu !! toutes ces taupinières sont prises pour des montagnes par les lilliputiens du parvullissime saint Siège .
Benoit flippe, les cardinaux ont les jetons, les gardes suisses ont des fuites (voyez les fentes de leurs culottes ), les bonnes soeurs jettent leurs strings au diable, les curés font la messe à la tequila .
Quel évènement mondial , universel ! Jamais la papauté ne s'en remettra !
Moi, je vous le dis, j'y vois clairement un lien direct avec la reprise de Secret Story !*
LA VOIX a encore frappé !
Misère sur notre pauvre monde ...
*NDLR : je me fiche aussi absolument des prétendus secrets de gugusses et de nanas décérébrés sur TF1 que des cacochymes du Vatican .
« A M. BRIASSON,
Libraire à Paris.
A Monrion, 13 février [1756]
Avant de travailler à l'article France, il serait bon que quelque homme, zélé pour la gloire du Dictionnaire encyclopédique, voulût bien se donner la peine d'aller à la Bibliothèque royale et d'y consulter les manuscrits des Xè et XIè siècles, s'il y en a dans le jargon barbare qui est devenu depuis la langue française. On pourrait découvrir peut-être quel est le premier de ces manuscrits qui emploie le mot français, au lieu de celui de franc. Ce serait une chose curieuse de fixer le temps où nous fûmes débaptisés, et où nous devînmes sauvages français, après avoir été sauvages francs, sauvages gaulois, et sauvages celtes.
Si le roman de Philomena 1, écrit au Xè siècle en langue moitié romance, moitié française, se trouve à la Bibliothèque du roi, on y rencontrera peut-être ce que j'indique. L'histoire des ducs de Normandie, manuscrite, doit être de la fin du XIe siècle, aussi bien que celle de Guillaume au court nez. Ces livres ne peuvent manquer de donner des lumières sur ce point, qui, quoique frivole en lui-même, devient important dans un dictionnaire. On verra si ces premiers romans se servent encore du mot franc, ou s'ils adoptent celui de français.
En vérité, ils n'y a que les gens qui sont à Paris qui puissent travailler avec succès au Dictionnaire encyclopédique; cependant, quand je serai de retour à ma maison de campagne 2, près de Genève, je travaillerai de toutes mes forces à Histoire. Je ne doute pas que M. de Montesquieu n'ait profité, à l'article Goût 3 de l'excellente dissertation qu'Addison a insérée dans le Spectateur,4 et qu'il n'ait fait voir que le goût consiste à discerner, par un sentiment prompt, l'excellent, le bon, le mauvais, le médiocre, souvent mis l'un auprès de l'autre dans une même page. On en trouve mille exemples dans les meilleurs auteurs, surtout dans les auteurs de génie, comme Corneille. A propos de goût et de génie, l'Éloge de M. de Montesquieu, par M. d'Alembert, est un ouvrage admirable; il y a confondu les ennemis du genre humain.
Mille sincères et tendres compliments à M. d'Alembert, à M. Diderot, et à tous les encyclopédistes. »
1 M. Raynouard, dans son Choix des poésies originales des troubadours, 1817, tome II, page 293, prouve que ce roman est du XIIè siècle. Voir : http://books.google.fr/books?id=GAQ0AAAAIAAJ&printsec=frontcover&hl=fr#v=onepage&q=philomena&f=false
Voyez ce qui en est dit dans les Mémoires de l'Académie des inscriptions, tome XXI, pages 137 et 146, (Beuchot.)
3 D'Alembert et Jaucourt ayant engagé Montesquieu à travailler à l'Encyclopédie, ce fut pour ce dictionnaire que l'auteur de l'Esprit des lois composa l'Essai sur le Goût, opuscule auquel la mort l'empêcha de mettre la dernière main. -Voir page 105 : http://books.google.fr/books?id=1SEvAAAAMAAJ&pg=PA140&dq=essai+sur+le+go%C3%BBt+montesquieu&hl=fr&sa=X&ei=p0_BT4auJ4Sd8gOXyajqCg&ved=0CE8Q6AEwBA#v=onepage&q=essai%20sur%20le%20go%C3%BBt%20montesquieu&f=false
La section première de l'article GOUT, du Dictionnaire philosophique, parut dans le tome VII de l'Encyclopédie. (CL.)
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