18/07/2014
Du requin au thon, ou les métamorphoses d'un maillot jaune
était un au-dessus »
« Aujourd'hui, le de Messine
Voilà l'image qui m'est venue immédiatement à l'esprit quand j'ai entendu un commentateur de l'étape de ce jour ( 18 juillet 2014, St Etienne-Chamrousse ) s'exclamer admirativement à propos de Nibali : « Aujourd'hui le requin de Messine était un ton au -dessus », un thon oui, mais un thon jaune, évidemment .
Je ne sais qui est l'auteur de ce jeu de mots involontaire, tout ce que je peux dire c'est que Gérard Holtz n'y est pour rien, il n'a pas le niveau pour ça !
Mathématiquement nous avons l'égalité suivante :
THON = Vincenzo NIBALI
REQUIN DE MESSINE
Et pour les fans de cyclisme , amusez-vous : http://fr.wikipedia.org/wiki/Surnoms_de_coureurs_cyclistes
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Il faut extirper l'infâme, du moins chez les honnêtes gens
... A mes yeux, sont d'honnêtes gens celles et ceux qui sont indemnes de la contamination par l'Infâme . Pour les autres, sans vouloir leur mort, je souhaite quand même leur disparition à la mode Voltaire, par la conviction .
« A ma belle philosophe Louise-Florence-Pétronille de Tardieu d'Esclavelles d'Epinay
[vers le 1er juin 1759]1
Si Dieu vous a inspirée, si vous avez fait usage de votre imprimerie de poche, vous avez fait une action très méritoire . Il faut extirper l'infâme, du moins chez les honnêtes gens . Elle est digne des sots, laissons-là aux sots . Mais rendons service à notre prochain . Ma chère philosophe , je n'irai point à Lausanne si vous daignez venir aux Délices.
1 Manuscrit olographe sur une carte à jouer . Pour la date, si les lettres du 20 mai 1759 [http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2011/05/14/edifiez-vous-ma-belle-philosophe-tant-qu-il-vous-plaira-soye.html et : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2014/07/17/c-est-une-belle-chose-que-la-sante-5412558.html] ont été correctement datées, elle résulte des considérations suivantes : Le Sermon des cinquante, qui n'est qu'une brochure doit avoir été imprimé à cette époque ou avant par Mme d'Epinay peut-être sur la presse de Gauffecourt à Montbrillant . De plus , la lettre du 18 mai 1759 où Frédéric II parle à V* de l'infâme peut l'avoir atteint à ce moment : « Vous dicterez encore, des Délices, des lois au Parnasse ; vous caresserez encore l'infâme d'une main, vous l’égratignerez de l'autre . » . Et enfin, V* quitta les Délices le 3 juin pour Lausanne .
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