Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

02/09/2010

Celui qui vous amusera le plus en quelque genre que ce soit aura toujours raison avec vous

Ce n'est pas à soixante-seize ans que Volti va se laisser impressionner par une femme, fût-elle la marquise du Deffand à la langue acérée. Il la connait comme sa poche .

Mais, Le chat a toujours raison !: http://www.deezer.com/listen-3040151

http://www.deezer.com/listen-2161737

 

Et sans transition, revenons à l'actualité politique française , qui me semble se répéter depuis des siècles .

 "Il y a actuellement entre les souverains chrétiens une cordialité qui ne se trouve pas entre les ministres"

Que je traduis par ... exactement la même chose ! 

Souverains sont les présidents des différents états, chrétiens quand ça les arrange (chanoine Sarko), cordiaux comme des larrons en foire (pouvoir et fric sont reconnus bons ), maîtres de ministres qui se détestent (- Qui va gicler ? -Lui/Elle ! mais pas moi, je suis le/la meilleur(e) !).

http://www.deezer.com/listen-2161743

 

 

« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise du Deffand

 

 

2è septembre 1770

 

 

Je vous envoie, Madame, par votre grand-maman [i] la petite drôlerie en faveur de la divinité contre le volume énorme du Système de la nature [ii], que sûrement vous n'avez pas lu. Car la matière a beau être intéressante ; je vous connais, vous ne voulez vous ennuyer pour rien au monde ; et ce terrible livre est trop plein de longueurs et de répétitions pour que vous pussiez en soutenir la lecture. Le goût chez vous marche avant tout. Celui qui vous amusera le plus en quelque genre que ce soit aura toujours raison avec vous . Si je ne vous amuse pas, du moins je ne vous ennuierai guère. Car je réponds en vingt pages à deux gros volumes.

 

Je me flatte que votre grand-maman s'est enfin réconciliée avec Catherine seconde ; tant de sang ottoman doit effacer celui d'un ivrogne qui l'aurait mise dans un couvent [iii] . Et après tout ma Catau vaut beaucoup mieux que Moustapha . Avouez, Madame, que dans le fond du cœur vous êtes pour elle. Des lettres de Venise disent que la canaille musulmane a tué l'ambassadeur de France et presque toute sa suite, que l'ambassadeur d'Angleterre s'est sauvé déguisé en matelot [iv] et que Moustapha a donné une garde de mille janissaires au baile de Venise ; je veux ne point croire ces étranges nouvelles. Mais si malheureusement elles étaient vraies, votre grand-maman elle-même ferait des vœux pour que Catherine fût couronnée à Constantinople.

 

Le Roi de Prusse est allé en Moravie rendre à l'Empereur [v] sa visite familière. Il y a actuellement entre les souverains chrétiens une cordialité qui ne se trouve pas entre les ministres.[vi]

 

Voilà, Madame, tout ce que sait un vieux solitaire qui voit avec horreur les jours s'accourcir et l'hiver s'approcher. Conservez votre santé, votre gaieté, votre imagination et votre bonté, pour votre très vieux et très malingre serviteur, qui vous est bien tendrement attaché pour le reste de ses jours. »

i La duchesse de Choiseul qui a quarante ans de moins .

ii Dieu, réponse au Système de la nature ; le Système de la nature ou les lois du monde physique et du monde moral présenté explicitement comme étant de M. Mirabeau était en fait du baron d'Holbach ; cf. lettre à Cramer du 5 juin 1770.

iii Son mari Pierre III qu'on lui reprochait d'avoir fait tuer.

iv Ces nouvelles , fausses, concernaient François-Emmanuel Guignard, comte de Saint-Priest, et John Murray.

v Joseph II (fils de Marie-Thérèse) dont Frédéric fait un grand éloge.

 

vi Ministres des cultes.

  

http://www.deezer.com/listen-2554494

 

 

   Moustapha d'hier, Moustapha de nos jours, toujours les mêmes guignols escrocs :

moustapha.gif

Allez, mes Welches, Dieu vous bénisse, vous êtes la chiasse du genre humain

 " Le petit nombre des prédestinés qui ont du goût n'influe point sur la multitude "

 http://www.deezer.com/listen-6857846

Et pour mon père, homme de goût, en souvenir de lui : http://www.deezer.com/listen-509890

 

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

 

2 septembre 1767

 

Nous nous apprêtons à célébrer la convalescence [i] ; il y aura comédie nouvelle [ii], souper de quatre-vingts couverts ; c'est bien pis que chez M. de Pompignan [iii]; et puis, nous aurons bal et fusées.

 

J'envoyai par le dernier ordinaire un Ingénu par M. le duc de Praslin pour amuser la convalescente et vous aurez, mes anges, pour votre hiver des tragédies de MM. de Chabanon et de La Harpe [iv]. Cela n'est pas trop mal pour des habitants du mont Jura, mais en vérité vous autres Welches, vous êtes des habitants de Montmartre. Je vous assure que Guillaume Tell et les Illinois [v] sont aux Danchet et aux Pellegrin ce que les Pellegrin et les Danchet sont à Racine ; je ne crois pas qu'il y ait une ville de province dans laquelle on pût achever la représentation de ces parades qui ont été applaudies à Paris. Cela met en colère les âmes bien nées. Cette barbarie avancera ma mort. Le fond des Velches sera toujours sot et grossier . Le petit nombre des prédestinés qui ont du goût n'influe point sur la multitude ; la décadence est arrivée à son dernier [sic !] période .

 

Vivez donc, mes anges, pour vous opposer à ce torrent de bêtises de tant d'espèces qui inondent la nation. Je ne connais depuis vingt ans aucun livre supportable, excepté ceux que l'on brûle, ou dont on persécute les auteurs. Allez, mes Welches, Dieu vous bénisse, vous êtes la chiasse du genre humain. Vous ne méritez pas d'avoir eu parmi vous de grands hommes qui ont porté  votre langue jusqu'à Moscou. C'est bien la peine d'avoir tant d'académies pour devenir barbares ! Ma juste indignation, mes anges, est égale à la tendresse respectueuse que j'ai pour vous, et qui fait la consolation de mes vieux jours.

 

Tout Ferney se réjouit de la convalescence.

 

V. »

 

i De la comtesse d'Argental.

ii Le 4 sera joué Charlot ou la Comtesse de Givry, ainsi que La femme qui a raison.

iii Allusion au banquet de vingt-six couverts offert par Pompignan en 1763 et dont V* parle dans la Lettre à M. de l'Ecluse et dans la Relation du voyage de M. le marquis de Pompignan.

iv Ils travaillent alors chez V*.

v Guillaume Tell de Le Mierre , représenté à Paris le 17 décembre 1766; Hirza ou les Illinois de E.-L. Billardon de Sauvigny joué le 27 mai 1767.
tell.jpg

  

 

Si quid novisti rectius istis candidus imperti (Si tu sais quelque projet plus judicieux que ceux-là, fais m'en part clairement)

« J'ai goûté la vengeance de le consoler »

vengeance-chat.jpg

Vengeance, toi qui inspire beaucoup plus que la consolation, tu viens, semble-t-il, plus vivement que la consolation . Ah ! faibles humains que nous sommes !

Les douceurs de la vengeance :

http://www.deezer.com/listen-968446

http://www.deezer.com/listen-5104504

http://www.deezer.com/listen-3736373

 

Consoler son ancien tourmenteur, délice de connaisseur en vengeance, être du bon côté de la vie, -cette fois-ci,- comme ça fait du bien ! Ah ! que je t'approuve, Volti, et que cette formule me plait ! Ah ! qu'elle me console des conn... quotidiennes !

http://www.deezer.com/listen-4153561

http://www.deezer.com/listen-6200931

http://www.deezer.com/listen-961191

 

 

 

 

« A François Tronchin

conseiller d'État à Genève.

 

Au Chêne à Lausanne 2 septembre [1757]

 

Premièrement mille obéissances, mille tendres compliments à tout Tronchin de tout sexe et de tout âge.

 

Ensuite je vous dirai que dans une lettre de Vienne du 24 août nous lisons ces paroles : Nous recevons la confirmation d'une glorieuse victoire remportée par le colonel Janus à Landshut en Silésie avec cinq ou six bataillons contre huit mille Prussiens commandés par deux généraux. La perte de l'ennemi passe trois mille hommes, tandis que la nôtre , ce qui est peu croyable, mais ce qui est très vrai, n'est que de dix-sept morts, et de quatre-vingt-un blessés [i]. Cette nouvelle a besoin dans mon église d'un nouveau sacrement de confirmation.

 

Or, mes amis, ouvrez les yeux et les oreilles. Le roi de Prusse m'écrit qu'il ne doute pas que je ne me sois intéressé à ses succès et à ses malheurs, et qu'il lui reste de vendre cher sa vie etc.[ii] La margrave de Bareith m'écrit une lettre lamentable [iii], et je suis actuellement à consoler l'un et l'autre [iv]. Je ne hais pas ces petites révolutions [v]; elles amusent et elles exercent; elles affermissent la philosophie.

 

Mme Denis vous embrasse. Elle s'occupe à faire une maison très agréable de la maison du Chêne . Nous espérons vous y posséder quelque jour. Nous y avons déjà mangé des gélinottes.

 

Je me flatte que la tracasserie de Servet [vi] est anéantie, du moins elle l'est par mon silence. Je ne songe qu'à vivre et à mourir tranquille soit au Chêne soit aux Délices pourvu que ce soit auprès de vous

Si quid novisti rectius istis

candidus imperti [vii]... et vale.

 

V. »

i Dans les nouvelles de Vienne datées d'août, parues dans le Mercure d'octobre, on décrira une victoire remportée à Landshut par le colonel Janus et donnera les mêmes chiffres que V* pour les pertes. Le Nouvelliste suisse et le Journal encyclopédique d'août signalent aussi l'occupation de Landshut.

ii Le 12 août, il semble que Frédéric lui ait écrit : « Je vous remercie de la part que vous prenez à mes succès et à mes malheurs. J'ai à peu près toute l'Europe contre moi, il ne me reste qu'à vendre cher ma vie et la liberté de ma patrie... »

iii Le 19 août.

iv Le 29 août à d'Alembert :  « J'aurais été attendri si je n'avais songé à l'aventure de ma nièce et à ses quatre baïonnettes (à Francfort) ; à Constant d'Hermenches le 12 septembre : « J'ai été attendri de sa lettre et je me suis souvenu que je l'avais aimé » ; mais à d'autres, comme à la comtesse Bentinck le 2 novembre ou à Dupont le 5 novembre : « J'ai goûté la vengeance de le consoler » ; cf. lettre de « consolation » adressée à Frédéric le 15 octobre.

v C'est son refrain, il trouve la situation « curieuse », « singulière », « extraordinaire ».

vi C'est-à-dire la polémique à propos de « l'âme atroce » de Calvin et du « meurtre de Servet » dont V* a parlé dans l'Essai sur les mœurs et dans la lettre du 26 mars à Thiriot, publiée dans le Mercure de mai ; cf. lettre à Thiriot du 20 mai et lettre à Le Fort du 6 septembre.

vii Si tu sais quelque projet plus judicieux que ceux-là, fais m'en part clairement.

consolation de la philosophie.jpg

01/09/2010

Ce monarque est comme le soleil qui luit également pour les colombes et pour les vipères

colombes-28-05-2008.jpg

http://www.deezer.com/listen-5971819  : que disent-elles ?

 http://www.deezer.com/listen-3092126

http://www.deezer.com/listen-2750094

J'adore certaines chansons rétro :

http://www.deezer.com/listen-1126332

 

Et fidèle à Bach, sans qui le monde ne serait que ce qu'il est : http://www.deezer.com/listen-1239806

 

 

 

couple_viperes_aspic_atra.jpg

 

 

 

 

Colombes et vipères pour Volti, Bégonias et Vipères, pour vous : http://www.deezer.com/listen-3845044

(oui, un peu, beaucoup sopo ! ce n'est pas sans me rappeler une femme de président ... chanteuse ! un petit clic de plus va vous réveiller ...)

http://www.deezer.com/listen-263432

Réveillés ?

Alors, progressons ! 

Et dans la lignée de Volti qui ne craignit pas de se moquer des religions et de leurs pontifes, Jean Ferrat , homme et poète humoriste , à écouter attentivement en se réjouissant : http://www.deezer.com/listen-2748560 , il y a le ton,  il y a du sens, il y a de l'engagement ; " le monde sera beau" comme il dit dans une autre chanson, à condition que des hommes tels que lui et Volti soient plus nombreux.

 

 

 

 

 

« A François Duvergé de Saint-Étienne

 

Aux Délices 1er septembre [1760]

 

Tout malade que je suis, Monsieur, je suis très honteux de ne répondre qu'en prose et si tard à vos très jolis vers [1]. Je félicite le roi de Pologne d'avoir toujours près de lui un gentilhomme qui pense comme vous. Cela fait presque pardonner la protection qu'il a prodiguée à un malheureux tel que Fréron [2]. Ce monarque est comme le soleil qui luit également pour les colombes et pour les vipères.

 

Lorsque j'ai demandé, Monsieur, votre adresse à Mme la marquise des Ayvelles [3], je me flattais de vous faire de plus longs remerciements ; ma mauvaise santé ne me permet pas une plus longue lettre, mais elle ne dérobe rien aux sentiments d'estime et de reconnaissance avec lesquels j'ai l'honneur d'être, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.

 

Voltaire. »

1 Epître sur la comédie de l'Ecossaise, qui sera imprimée dans le Mercure d'octobre 1760.

2 Stanislas, roi de Pologne, était le parrain du fils de Fréron.

3 Marie-Béatrice du Châtelet.

il faut des années avant que les gens d'esprit aient repétri les sots

 http://www.deezer.com/listen-260909

 http://www.deezer.com/listen-5124411

Priez pauvres sots ! http://www.deezer.com/listen-5478497

sots.jpg

 

 

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Caricatures_de_Mahomet_du_jo...

 Les sots, précurseurs des fanatiques traversent les âges et se multiplient sans cesse, hélas ! 

 

 

 « Pierre-Robert Le Cornier de Cideville

 

A Bruxelles le 1er septembre 1742

 

Alla, illah alla Mohammed rezoul, alla.[i]

 

 Ce Mahomet, mon très aimable ami, m'a fait bien coupable envers vous ; il m'a rendu paresseux. Me voilà enfin tranquille à Bruxelles, et je profite de ce petit moment de loisir pour m'entretenir avec vous. Je pars demain pour aller trouver à Aix-la-Chapelle le roi qui a changé deux fois le système de l'Europe [ii], et qui pourtant n'est pas puni de Dieu, car il est aux eaux sans avoir besoin des les prendre, et les médecins sont au nombre des puissances dont il se moque. Si notre Mahomet, mon cher ami, eût été représenté devant lui, il n'en eût pas été effarouché comme l'ont été nos prétendus dévots [iii]. Il ne veut pas faire jouer Zaïre, parce qu'il y a trop de christianisme à ce qu'il dit dans la pièce. Vous jugez bien que le miracle de Polyeucte n'est pas de son goût et que celui de Mahomet lui plaît davantage [iv].

 

Nos jansénistes de Paris, et surtout nos jansénistes convulsionnaires ne pensent point ainsi ; les bonnes gens ont cru que l'on attaquait saint Médard et M. saint Pâris. Il y a eu même de vos graves confrères conseillers au parlement de Paris, qui ont représenté à leurs chambres que cette pièce était toute propre à faire des Jacques Clément et des Ravaillac. Ne trouvez-vous pas que ce sont là de bonnes têtes ? Ils croient sans doute qu'Harpagon fait des avares, et enseigne à prêter sur gages.

 

 Il y a une chose qui me fait de la peine , mon cher ami, et je vous la dirai, c'est que le gros de notre nation n'a point d'esprit. Le petit nombre d'illustres précepteurs que les Français ont eu dans le siècle passé n'a pu encore rendre la raison universelle. Corneille, Racine, Molière, La Bruyère, Bossuet, Fénelon etc. , ont eu beau faire, le faux, le petit, le léger, sont le caractère dominant. Cependant il y a toujours le petit nombre des élus à la tête desquels je vous place. Ceux-là conduisent à la longue le troupeau : dux regit examen, mais ce n'est qu'à la longue ; et il faut des années avant que les gens d'esprit aient repétri les sots. Le Tartuffe essuya autrefois de plus violentes contradictions ; il fut enfin vengé des hypocrites. J'espère l'être des fanatiques, car enfin Mahomet est Tartuffe le Grand ; nous en raisonnerons à Paris, c'est là ma plus chère espérance, car vous y viendrez à ce Paris, et moi j'y serai dans deux ou trois mois.

 

Tout ce griffonnage, mon cher ami, avait été écrit il y a huit jours. J'ai été voir le roi de Prusse avant de finir ma lettre [v]. J'ai courageusement résisté aux belles propositions qu'il m'a faites. Il m'offre une belle maison à Berlin et une jolie terre, mais je préfère mon second étage dans la maison de Mme du Châtelet. Il m'assure de sa faveur et de la conservation de ma liberté, et je cours à Paris à mon esclavage, et à la persécution. Je me crois un petit Athénien qui refuse les bontés du roi de Perse. Il y a pourtant une petite différence. On était libre à Athènes, et je suis sûr qu'il y avait beaucoup de Cideville. Sans celà comment aurait-on pu aimer sa patrie ? C'est beaucoup qu'il y en ait un en France, et que je puisse me flatter d'avoir bientôt la consolation de l'embrasser.

 

Mme du Châtelet fait toujours ici sa malheureuse guerre de chicane [vi], et on craint à tout moment d'en voir une véritable et universelle. Quel acharnement ! ne faudra-t-il pas faire la paix après la guerre ? Eh ! morbleu que ne fait-on la paix tout d'un coup !

 

Adieu, Mme du Châtelet vous fait mille compliments. Je vous regrette, je vous aime, je voudrais passer avec vous ma vie.

 

V.

 

A Bruxelles , 10 septembre 1742 »

 

 

 

i Il n'y a de dieu qu'Allah et Mahomet est son prophète.

ii Frédéric.

iii On avait exigé que V* retire sa pièce (jouée pour la première fois le 9 août à Paris) ; elle fût retirée après la troisième représentation ; « on a remarqué, écrit un journaliste, que toutes les religions paraissaient être attaquées dans cette tragédie, sous prétexte de blâmer celle de Mahomet. »

iv Le 16 août, la Comédie française joua Polyeucte à la place de Mahomet.

v Il est parti le même jour, 1er septembre ; il rendra compte au cardinal de Fleury , le 10 août, des entretiens qu'il a eu avec Frédéric pendant deux jours.

vi Procès intenté par Mme du Châtelet pour être reconnue héritière du marquis de Trichâteau, toujours pas terminé ; cf. lettre du 19 janvier 1742 à Cideville.

 

plantu mahomet.jpg