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Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

Pour les comédiens de Paris, je leur conseille de mettre sur leur porte : Maison à louer

... les piétons -quelques uns seulement à vrai dire- ont tenu leur rôle, sans toucher de cachet, et ont apporté de l'eau (de la Seine, réputée encore imbuvable) au moulin d'Anne Hidalgo . Grand bien leur fasse, qu'ils retournent faire de la figuration ailleurs s'ils ne veulent pas profiter gratis pro Deo de la pollution augmentée par les bouchons dus à l'interdiction de circuler sur berges . Plan à la Gribouille !

http://www.rtl.fr/actu/debats-societe/paris-rassemblement...

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Mais en attendant cet idéal .... chat bouge pas beaucoup

 

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

[vers le 15 mars 1763]

[…] On dit que Mlle Clairon l'hémoroïssse 1 viendra bientôt voir le sauveur Tronchin à Genève ; nous la prierons de jouer sur notre petit théâtre quand elle se portera bien . Ce sera une de nos singularités d'avoir eu Clairon et Lekain dans notre bassin des Alpes . Pour les comédiens de Paris, je leur conseille de mettre sur leur porte : Maison à louer [...] »

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11/03/2018 | Lien permanent

je suis fâché qu’au lieu d’en faire des prêtres vous n’en ayez pas fait des hommes

... Pan ! dans les dents .

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« A Sébastien Dupont

Avocat au

Conseil souverain d'Alsace etc.

à Colmar

16 auguste 1765. 1

Mon cher ami, j’ai langui longtemps ; et je suis toujours étonné de vivre. Quand mes forces sont un peu revenues, Mlle Clairon est arrivée ; on a joué des tragédies sur mon petit théâtre de Ferney ; mon ermitage a été tout bouleversé. Je n’ai point écrit. Je réponds enfin à une ancienne lettre de vous, où vous me dites que vous mettez vos enfants dans l’Église. Je vous souhaite les biens de l’Église, à vous et à vos enfants ; mais je suis fâché qu’au lieu d’en faire des prêtres vous n’en ayez pas fait des hommes. La fortune force toujours nos inclinations. J’ai toujours le château de Montbéliard pour point de vue ; et vous pouvez être bien sur qu’une de mes plus grandes consolations sera de vous y voir.

L’impératrice de Russie a écrit une lettre charmante au neveu de l’abbé Bazin 2, et m’a chargé de la lui rendre. Elle a fait présent de quinze mille livres à M. Diderot, et de cinq mille livres à Mme Calas , le tout avec une politesse qui est au-dessus de ses dons. Vous voyez bien qu’elle n’a pas fait tuer son mari, et que jamais, nous autres philosophes, nous ne souffrirons pas 3 qu’on la calomnie. Bonsoir, mon cher ami. Mme Denis vous fait mille compliments ; frère Adam aussi.

Voltaire. »

1 Sur le manuscrit le mois est de la main de Wagnière et l'année de Dupont.

3 Mot qui manque dans toutes les éditions et qui est ajouté au dessus de la ligne sur le manuscrit (bien que ce soit boiteux avec le jamais précédent ).

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10/12/2020 | Lien permanent

il ne serait point de l’équité du roi de bannir un homme de sa patrie, pour avoir été assassiné

 

 

 

« A René Hérault

Ce 5è mai 1726 à Calais à neuf heures du matin
chez monsieur Dunoquet, trésorier des troupes.

J’arrive à Calais, Monsieur, fort reconnaissant de la permission que j’ai de passer en Angleterre,[« la permission d’aller incessamment en Angleterre » demandée par V* à Maurepas, suite aux coups de bâtons reçus de la part du chevalier de Rohan, et n’ayant pu obtenir réparation par duel, fut mis à la Bastille la nuit du 17 au 18 avril] très respectueusement affligé d’être exilé à cinquante lieues de la cour. D’ailleurs pénétré de vos bontés et comptant toujours sur votre équité.

Je suis obligé, monsieur, de vous dire que je n’irai à Londres que lorsque j’aurai rétabli ma santé assez altérée par les justes chagrins que j’ai eus. Quand même je serais en état de partir, je me donnerais bien garde de le faire en présence d’un exempt,[quand Hérault avait écrit au gouverneur de la Bastille de « faire sortir le sieur Voltaire », il avait précisé que « l’intention du roi et de S. A. Mgr le duc est qu’il soit conduit en Angleterre. Ainsi le sieur Condé l’accompagnera jusqu’à Calais, et le verra embarquer et partir de ce port ».] afin de ne pas donner lieu à mes ennemis  de publier que je suis banni du royaume. J’ai la permission et non pas l’ordre d’en sortir. Et je n’ose vous dire qu’il ne serait point de l’équité du roi de bannir un homme de sa patrie, pour avoir été assassiné [Rohan Chabot avait attiré V*dans un traquenard à la porte de l’hôtel de Sully et fait battre à coups de gourdin. Aucun des amis titrés de V* , y compris le duc de Sully qui avait servi d’appât, ne prit ouvertement parti de V* contre un descendant de la grande famille de Rohan.] . Si vous le voulez, monsieur, je vous notifierai mon départ lorsque je pourrai aller en Angleterre. D’ailleurs les ordres du roi qui me sont toujours respectables me deviendront chers quand ils passeront par vos mains. Je vous supplie d’être persuadé du respectueux attachement avec lequel je suis, indépendamment de tout cela, votre très humble et très obéissant serviteur.

Voltaire »

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05/05/2010 | Lien permanent

il semble que vous m'ayez fait un de vos concitoyens

... Aurait pu dire Manuel Valls dans le même temps qu'il montrait son attachement pour le PS en fichant le camp aux frais de la princesse (vous et moi, joyeux contribuables) pour supporter le Barça en Allemagne !

Monsieur Valls vous êtes un grand jean-foutre et plus de trois millions et demi de chomeurs vous font une bronca monumentale bien méritée ; vous êtes bien mal placé pour vous gausser de l'autre bling-bling, Sarkozy . Deux têtes aussi vides que le ballon qu'elles suivent .

Il y a vraiment quelque chose de pourri dans ce royaume de France !

 

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 Comme larrons en foire ! et vous voudriez qu'on vous croie ?

 

 

« A Ivan Ivanovitch SCHOUVALOV
Aux Délices par Genève,

7è juin 1760.
Monsieur, par une lettre de M. de Keyserling votre ami, reçue aujourd'hui en même temps que la vôtre, je vois que vous avez eu la bonté de partager toutes mes inquiétudes, et je me flatte qu'elles sont calmées. Les ordres qu'on a donnés à Hambourg mettront probablement un frein à l'avidité des libraires; j'aurai le temps de consacrer tous mes soins au désir de vous plaire ; je pourrai attendre en paix les nouvelles instructions dont Votre Excellence m'a flatté. On se conformera en tout à vos volontés, tant dans la rédaction du second volume que dans les corrections nécessaires au premier. Ce qui n'était d'abord pour moi qu'une occupation agréable devient aujourd'hui mon principal devoir; il semble que vous m'ayez fait un de vos concitoyens, en me chargeant d'écrire une histoire qui doit faire voir combien votre pays est respectable. Le jeune M. de Voronzof m'a fait l'honneur de venir plusieurs fois dans ma retraite 1, et a augmenté mon zèle pour votre patrie. Tous les jeunes gens de votre cour que j'ai vus m'ont paru fort au-dessus de leur âge; mais M. de Voronzof m'a paru au-dessus d'eux. J'en excepte toujours M. de Soltikoff, car je ne peux donner à personne la préférence sur lui. Le mérite de tant de voyageurs de votre pays est une meilleure réfutation des injures atroces du philosophe 2 que tout ce que je pourrais dire. Je souhaite passionnément que les Autrichiens et les Français secondent cette année vos nobles efforts, et nous procurent une paix glorieuse devenue nécessaire à l'Europe.
J'ai l'honneur d'être, avec les sentiments les plus respectueux
et un attachement inviolable,

monsieur

de Votre Excellence

le très humble et très obéissant serviteur

Voltaire»

1 Le 30 mai, l'envoyé de France Montpéroux avait informé Choiseul que Vorontsof faisait un court séjour à Genève .

2 Des éditions changent du philosophe en de certaines gens .

 

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08/06/2015 | Lien permanent

jamais la dispute n’a convaincu personne ; on peut ramener les hommes en les faisant penser par eux-mêmes, en paraissant

...

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Forget-me-not !

 

 

« A François Achard Joumard Tison, marquis d'Argence

Je vous conjure, mon cher monsieur, de ne point disputer avec les gens entêtés . La contradiction les irrite toujours, au lieu de les éclairer ; ils se cabrent, ils prennent en haine ceux dont on leur cite les opinions ; jamais la dispute n’a convaincu personne ; on peut ramener les hommes en les faisant penser par eux-mêmes, en paraissant douter avec eux, en les conduisant comme par la main, sans qu’ils s’en aperçoivent. Un bon livre qu’on leur prête, et qu’ils lisent à loisir, fait bien plus sûrement son effet, parce qu’alors ils ne rougissent point d’être subjugués par la raison supérieure d’un antagoniste. Cette méthode est la plus sûre, et on y gagne encore l’avantage de se procurer le repos.

Je suis très édifié, monsieur, de voir que vous érigez un hôpital, et que, par les justes mesures que vous avez prises, vous guérirez trois cents personnes par année. Nous ne sommes dans ce monde que pour y faire du bien.

Je vois que l’affaire des jésuites a effarouché quelques esprits ; mais tout sera calmé par la sagesse du roi. Vous savez sans doute qu’on a condamné au bannissement l’abbé de Caveyrac, qui avait fait l’apologie de la Saint-Barthélemy, et qui s’était mis à faire celle des jésuites. Vous savez que ces pères ne sont plus à Versailles ; leur éloignement semble dissiper tout esprit de faction : mais ce qu’il y a de plus heureux, c’est que les finances sont en très bon état ; les voisins de la France s’y intéressent autant que les Français ; le crédit public renaît , jamais on n’a été plus en droit d’espérer des jours heureux.

Il faut qu’il y ait eu quelques manœuvres secrètes de la part des jésuites, qui ont donné un peu d’alarmes, et qui ont peut-être fait saisir, dans le bureau des postes, des paquets indifférents qui ont pu être soupçonnés d’avoir quelques rapports à ces tracasseries. C’est un mal très médiocre dans la félicité publique.

Je ne sais ce que c’est que la Lettre du quakre ; j’en ai entendu parler, mais je ne l’ai point vue, et, sur ce qu’on m’en a dit, je serais fâché qu’on l’attribuât à mes amis ou à moi.

Vous savez, monsieur, avec quels sentiments je vous suis dévoué pour la vie. 

14è mars 1764 .»

 

 

 

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11/04/2019 | Lien permanent

Vous rendez tant de justice, messieurs, aux ouvrages qu'on fait, que j'ose vous prier de la rendre à ceux qu'on ne fait

...

 

« A la « Gazette littéraire de l'Europe »

24 décembre 1764

Vous rendez tant de justice, messieurs, aux ouvrages qu'on fait, que j'ose vous prier de la rendre à ceux qu'on ne fait point . J’ai appris dans ma retraite que depuis plus d'un an on imprime sous mon nom, dans les pays étrangers, des écrits auxquels je n'ai pas la moindre part . J'ignore si je dois cet honneur à la malignité d’un éditeur ou à l'intérêt très mal entendu d'un libraire . Tout ce que je puis déclarer, c'est que je regarde comme des faussaires tous ceux qui se servent ainsi d'un nom connu pour débiter des livres qui ne sont pas faits pour l'être . N'étant pas à portée de réprimer une pareille licence, je puis et je dois au moins m’en plaindre , et je m’adresse à vous, messieurs, comme à des hommes à qui l’honneur de la littérature doit être plus cher qu'à personne.

J'ai l'honneur d'être , etc. »

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27/02/2020 | Lien permanent

vous connaissez l'opiniâtreté de sa docilité

 

Voilà bien une formule qui fait tilt et qui me ravit , ce qui est normal quand on fréquente Volti, lui que l'on a dit doté "d'une faiblesse herculéenne" !

grandir.jpg

Mise en ligne hier soir d'une lettre à d'Argental du 20 octobre 1764 , rédigée le 20 août 2011 pour parution le 20 octobre 2010 .

http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2011/08/20/un-fripon-arme-des-armes-de-la-calomnie-et-de-la-vraisemblan.html

 

En souvenir de mes dociles années martiales ...

zen bushido.jpg

... où il n'est pas question d'utiliser les armes de la calomnie .

De "The Zen Way to the Martial Arts"
Par Taisen Deshimaru,Penguin/Arkana


 

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21/08/2011 | Lien permanent

nous vous aimons comme si nous avions le bonheur de vous voir tous les jours .

... Chère Mam'zelle Wagnière .

 

 

« A François Tronchin , conseiller

d’État

à Genève

[vers le 30 décembre 1760]

Mon cher confrère, il est vrai qu'il n'est pas trop bien à un brave officier de notre régiment de n'avoir pas vu la descendante 1 de notre général . Mme Denis et moi nous maudissons l'hiver qui nous prive de vous . Mais nous vous aimons comme si nous avions le bonheur de vous voir tous les jours .

Mille respects à madame Tronchin . »

 

1Marie-Françoise Corneille, que Tronchin n'a pas encore rencontrée .

 

PS : Mon retour à une connexion internet est prévue pour le 8 janvier 2016; d'ici là , vive la médiathèque, à bas FREE !

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30/12/2015 | Lien permanent

il faut dans une terre connaître le caractère de ses vassaux

... Qui, de l'électeur ou de l'élu, est le vassal de l'autre ? Je pense que c'est l'élu qui est le plus dépendant, asservi par son ambition, et le plus vénal .

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« A Louis-Gaspard Fabry, Maire et

subdélégué

à Gex

Ferney ce 18è juin 1761

Monsieur, il m'est extrêmement important pour maintenir le bon ordre dans la terre de Ferney, de savoir qui sont ceux qui ont osé déposer la calomnie en question le 9 juin dernier, devant le sieur Castin qui se dit official de Gex ; je sais bien qu'il a fait une procédure très illégale et très répréhensible en procédant contre les séculiers, sans intervention de la justice du roi, je sais encore qu'il a manqué  aux lois, en faisant comparaître un nommé Brochu qui était décrété de prise de corps, je sais de plus qu'il n'est nullement en droit d'exercer la charge d'official attendu qu'il est curé . Ce n'est pas de toutes ces procédures méprisables et punissables que je suis inquiet , mais je le suis beaucoup de savoir qu'il y a dans mes terres des malheureux assez lâches et assez ingrats pour déposer des calomnies absurdes contre leur bienfaiteur ; ils sont coupables même d'avoir comparu, car aucun séculier ne doit répondre en pareil cas à aucun juge d'église . Je vous aurais monsieur la plus sensible obligation si vous vouliez bien m'apprendre leurs noms, il faut dans une terre connaître le caractère de ses vassaux .

Si vous voulez monsieur joindre à cette bonté, celle de me renvoyer les plans que vous avez bien voulu permettre que je misse entre vos mains, et dont j'ai besoin pour mes ouvriers, vous me ferez un sensible plaisir . Je vous renouvelle mes remerciements et mon attachement . J'ai l'honneur d'être dans ces sentiments,

monsieur,

votre très humble et très obéissant serviteur.

Voltaire .»

 

 

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15/05/2016 | Lien permanent

n'étant point de la paroisse, je ne dois pas entrer dans les querelles des curés

... Pas plus que celles des imams, des rabbins, des gourous, des dirigeants potentiels de l'UMP ! dis-je au bistro en face de l'église .

 

soutane.jpg

 

 

« A M. Élie BERTRAND.

Lausanne, 4 septembre [1757] part le six

Plus la robe dont vous me parlez, monsieur, est salie ailleurs 1, plus la vôtre est pure. Je conseille aux gens en question de faire laver la leur, mais je ne gâterai pas la mienne en me frottant à eux. La robe royale est plus dangereuse encore; elle est trop souvent ensanglantée. S'il y a quelques nouvelles touchant les barbaries du meilleur des mondes possibles, vous me ferez un grand plaisir de soulager un peu ma curiosité. Vous ne me parlez point de la réponse que vous m'aviez annoncée dans votre précédente. Je vous demande en grâce de me dire si elle paraitra et, en cas qu'elle paraisse, je vous supplie instamment de faire ajouter que je n'ai aucune connaissance de cette dispute historique et critique, et que la lettre 2 qui m'est attribuée dans le Mercure de France, et sur laquelle cette dispute est fondée, n'est point du tout conforme à l'original. Ce que je vous dis est la pure et l'exacte vérité , en un mot, n'étant point de la paroisse, je ne dois pas entrer dans les querelles des curés.
Je suis très-fâché de la destitution de M. de Paulmy 3 plût à Dieu qu'il fût resté en Suisse . Il aurait écrit des lettres intelligibles et agréables.
Mille tendres respects à M. et Mme de Freudenreich. Si vous voyez M. l'avoyer Steiger, je vous supplie de lui dire que Mme de Fontaine lui fait ses compliments, et que je lui présente mon respect.
Je vous embrasse, mon cher philosophe, du meilleur de mon cœur.

V. »

1 Le 2 septembre Élie Bertrand a écrit : « J'ai quelquefois honte de ma robe, monsieur, quand je vois gens qui la portent se déshonorer par des cabales, dont l'envie est la première cause et que la malignité soutient . » Ici, V* fait allusion sans doute à Jacob Vernet .

2 La lettre à Thieriot, du 26 mars 1757; page 194 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411355v/f197.image

3 En fait le marquis n'a pas perdu sa place .Le marquis de Paulmy, devenu le successeur du comte d'Argenson son oncle, le 2 février 1757, comme ministre de la guerre, remplit ces fonctions jusqu'au 22 mars 1758. Il avait été ambassadeur en Suisse, de 1748 à 1751.

 

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16/12/2012 | Lien permanent

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