07/04/2022
je me charge encore, répondant de tout et faisant face à tout en quelque lieu que je soit
... Etat d'esprit du candidat-président ? Ce doit être; j'espère . C'est évidemment totalement hors de question pour les onze autres candidats qui ne travaillent que pour leurs bénéfices espérés .
Lequel des deux est Zemmour et l'autre Mélenchon ?
« A Etienne-Noël Damilaville
[2 ou 3 janvier 1767]
Je me flatte, mon cher ami, que vous avez donné les cent écus à M. Lambertad, desquels je me charge encore, répondant de tout et faisant face à tout en quelque lieu que je soit . Vous n'aurez qu'à mettre sur le petit agenda de vos bienfaisances sept cents livres pour le compte des Sirven et trois cents livres pour M. Lambertad . »
00:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/04/2022
Monsieur l’ambassadeur est parti extrêmement affligé
...
« A Pierre-Michel Hennin, Résident
de France
En son hôtel
à Genève
Vendredi au soir, 2è janvier 1767 à Ferney
Monsieur l’ambassadeur est parti extrêmement affligé, et Argatifontidas 1, un peu embarrassé. Vous allez être, mon cher conciliateur, chargé d’un lourd fardeau que vous porterez légèrement et avec grâce, car on ne peut nier que les trois Grâces ne soient chez vous 2. Je suppose que c’est vous, mon cher résident, qui m’avez envoyé un paquet de M. le duc de Choiseul ; voici la réponse 3, et voici encore des balivernes 4 pour M. le duc de Praslin.
Je vous prie de mettre tout cela dans votre paquet de la cour demain samedi.
Je pourrais bien dans quelques jours aller rendre à monsieur l’ambassadeur sa visite, à Soleure. Je vous prie, à tout hasard, de vouloir bien m’envoyer un passeport 5, car voilà les troupes qui vont border Versoy.
Maman et toute ma famille vous embrassent tendrement.
Nous sommes ici la victime des troubles de Genève, car nous n’avons point l’honneur de vous voir. Nous savons que le peuple vous aime, mais nous vous aimons sûrement davantage. »
1 Le chevalier de Taulès.
2 Allusion au tableau des Trois Grâces, de Carle Van Loo. (Note de Hennin fils.)
Voir lettre du 1er janvier 1766 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/04/21/c-est-etre-paye-dans-la-monnaie-qu-on-a-frappee-6311171.html
3 Elle manque .
4 L' « Essai sur les proscriptions », ou la dédicace des Scythes , ou les deux ensemble .
5 Le plan des médiateurs a été rejeté par le Conseil de Genève le 15 décembre 1766, la France établit alors le blocus de la République .
Voir réponse de Hennin : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1767/Lettre_6647
00:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
05/04/2022
on dit beaucoup de sottises, et je ne peux savoir encore la vérité
... Maladie et remède : suivre la presse pour avoir tous les avis et informations, comme ceci : https://www.cnews.fr/france/2022-04-04/presidentielle-202...
Mélenchon, artiste ubiquitaire a l'art de mentir par précipitation et/ou malveillance . Qu'il profite bien de ses dernières heures de vedette grassement entretenue, c'est son chant du cygne . A la fin de ses péroraisons jettera-t-il à ses fans sa cravate, comme Madonna sa culotte ? Non, trop bourgeois pour ça .
Je vous ai à l'oeil
« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental
Vendredi au soir, 2è janvier 1767
On prétend dans Ferney, mon cher ange, que j’ai eu hier une petite attaque d’apoplexie, vous voyez bien qu’il n’en est rien, puisque je suis toujours dictateur 1. J’en ai été quitte pour me mettre dans mon lit pendant trois heures, et je me suis tiré d’affaire tout seul. Je ne sais pas encore si je me tirerai aussi heureusement du danger où m’a mis ce misérable Jeannin, contrôleur du bureau de Saconnex, entre Ferney et Genève 2. J’étais certainement tombé dans l’apoplexie la plus complète quand j’ai été assez imbécile pour penser que ce coquin ne me ferait point de mal, parce que je lui avais fait du bien, parce que je l’avais logé et nourri, et que je lui avais prêté de l’argent. J’avoue donc qu’à soixante-treize ans je ne connais pas encore les hommes, du moins les hommes de son espèce.
Votre protégée 3 me fait saigner le cœur ; c’est assurément une femme de mérite. Elle est actuellement en Suisse, au milieu des neiges ; elle n’en peut sortir, et certainement je ne la ferai pas revenir par la route de Genève, pour la faire passer devant les bureaux où elle est guettée. J’ai le plus grand soin d’elle dans la retraite où elle est. Elle ne manque de rien, et il ne ne lui en coûte rien. Tout ce qui est dangereux, encore une fois, c’est que ce scélérat de Jeannin a déclaré le véritable nom de cette personne. Heureusement cette déclaration n’est pas juridique ; mais elle peut le devenir. Il n’y a rien que je ne fasse pour faire chasser ce monstre, et je compte que vous ne perdrez pas un moment pour dresser vos batteries, et pour exiger de M. de La Reynière 4 qu’on le révoque sur-le-champ, sans lui donner jamais d’autre emploi. Il ira prendre, s’il veut, celui de garçon du bourreau . Il n’est guère propre qu’à cela. Si j’étais plus jeune, je le ferais mourir sous le bâton.
Mme Denis est toujours dans la ferme résolution de ne point payer le prix de son carrosse et de ses chevaux, et moi dans le dessein invariable d’aller mourir hors de France, si on fait cet affront à ma nièce : car si elle est condamnée à perdre ses chevaux et son carrosse, elle est visiblement condamnée comme complice de votre protégée et comme convaincue d’avoir envoyé en France des livres abominables ; elle serait détestée et déshonorée dans un pays de bêtes brutes où la superstition a établi son domicile. Il n’y aurait, en ce cas, d’autre parti à prendre qu’à brûler le château que j’ai bâti.
Voilà, mon divin ange, tout ce que l’état le plus douloureux du monde me permet de vous écrire sur cette abominable aventure. Je vais répondre actuellement dans une autre lettre à tout ce que vous me mandez sur Les Scythes. Ces deux lettres partiront pour Genève demain samedi, 3 janvier, avant que j’aie reçu celles que Mme Denis et moi nous attendons de vous sur cette cruelle affaire.
Monsieur l’ambassadeur a quitté, comme vous savez, Genève incognito ; il a passé deux jours chez moi. Je pourrais bien aller lui rendre sa visite, et ne revoir jamais Ferney. Le bon de l’affaire est que je lui ai prêté tous mes chevaux, et que je n’en ai pas même pour envoyer chercher un médecin ; tant mieux, je guérirai plus vite . Mort ou vif, mon très cher ange, je vous idolâtre toujours de tout mon cœur.
Votre protégée m’écrit qu’elle part dans le moment à cheval pour retourner à Paris. Vous voyez qu’elle a le courage de son frère ; mais ils ne sont pas heureux dans cette famille-là, ni moi non plus, ni les Genevois non plus ; les affaires empirent de quart d’heure en quart d’heure. Milord Abington, qui est haut comme un chou, a déjà tué un sentinelle 5, à ce qu’on vient de me dire ; mais on dit beaucoup de sottises, et je ne peux savoir encore la vérité, parce que les portes de Genève sont fermées. »
1 Car il dicte ses lettres .
2 Voir lettre du 29 décembre 1766 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2022/03/31/la-destitution-de-cet-homme-est-l-objet-le-plus-important-de-cette-affaire.html
3 Mme Lejeune.
4 Laurent Grimod de La Reynière , fermier-général:: https://fr.wikipedia.org/wiki/Laurent_Grimod_de_La_Reyni%C3%A8re
5 Mot couramment employé au masculin . Pour l'affaire Abington, dont le détail nous échappe, voir lettre du 2 janvier 1767 à Cramer : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2022/04/04/j-ai-a-lui-parler-6374982.html
10:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
J'ai à lui parler ...
... disent chacun des candidats à la présidence désappointés de n'avoir pas de débat public avec celui qu'ils veulent évincer . Patience, votre logorrhée peut attendre le premier tri de ce dimanche . Dix éliminés au premier tour, plus rapide qu'à Koh Lanta, ici le totem maléfique est un petit bulletin très puissant , et le verdict irrévocable .
https://www.lesechos.fr/politique-societe/
« A Gabriel Cramer
Caro, je vais je crois partir . J'ai payé hier trois cent cinquante louis, je donnerai les cinquante qui me restent . Il n'a qu'à venir les chercher chez moi, ils seront prêts à dîner demain samedi . J'ai à lui parler . Je passerai par Berne pour aller chez monsieur l'ambassadeur .
Je ne sais ce que c'est que la sentinelle de milord Abington 1. Mandez-moi donc des nouvelles .
Vendredi [2 janvier 1767] au soir . »
1 Allusion au fait qu'Abington tient Pitt au courant des évènements de Genève, et spécialement des mouvements des troupes françaises dans le Pays de Gex ; voir Genève, Suppl. 149, p. 15 . Voir aussi lettre du 2 janvier 1767 à d'Argental : http://www.monsieurdevoltaire.com/2015/04/correspondance-annee-1767-1.html
Voir :Willoughby Bertie Abington : https://books.google.fr/books?id=7Z0_EAAAQBAJ&pg=PA2&lpg=PA2&dq=abington+gen%C3%A8ve+1766+1767&source=bl&ots=A9Zzg8tQ_Z&sig=ACfU3U2X9gbzgtQN7sbDOE2clL5uu5G47w&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwja_YnJ6_r2AhWGxoUKHVMYCvwQ6AF6BAgOEAM#v=onepage&q=abington%20gen%C3%A8ve%201766%201767&f=false
et la participation britannique dans les troubles genevois : https://research-repository.st-andrews.ac.uk/bitstream/handle/10023/18002/Whatmore_2017_History_SavingRepublics_AAM.pdf?sequence=1&isAllowed=y
00:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
04/04/2022
Je corrige toujours mes ouvrages et ils n'en sont pas meilleurs pour cela
... En toute fière humilité .
« A Jacques Lacombe
2è janvier 1767 à Ferney
Si vous faites, monsieur, une seconde édition du Triumvirat et des Proscriptions, voici les corrections nécessaires . Je vous enverrai peut-être par le premier ordinaire la tragédie des Scythes qui est de moi , bonne ou mauvaise, mais à laquelle on me reconnaitra aisément par l'épître dédicatoire à M. le duc [de] Choiseul et à M. le duc de Praslin . Je vous prie de n'en tirer que sept cent cinquante exemplaires . Je corrige toujours mes ouvrages et ils n'en sont pas meilleurs pour cela .
Je vous avertis qu'il faut que cette pièce soit imprimée en huit jours, parce que MM. Cramer de Genève vont débiter leur édition dans les pays étrangers, et peut-être dans les provinces de France . Vous n'avez pas un moment à perdre . Je vous enverrai la pièce par la poste, le paquet ne sera pas gros, l'impression est d'un caractère très menu . Je vous prie de faire dire à M. Dorat que j'ai trouvé de très beaux vers dans son poème de la déclamation .
Vous me mandâtes dans votre dernière lettre que Rousseau venait gouverner Genève . Je vous promets qu'il ne sera jamais assez hardi pour oser s'y montrer . Je vous embrasse du meilleur de mon cœur, et je compte sur votre amitié .
ERRATA
pour la tragédie du Triumvirat
Page5, vers 8è : Oserait-il vous faire une pareille injure ?
corrigez
L'ingrat ! Il vous doit tout, et vous fait cette injure !
Page6, vers 47 : goûter la folle ivresse . Corrigez , chercher la folle ivresse
Page 9, après ce vers : Des vainqueur de Pompée et de vos oppresseurs
mettez ainsi
Mais que résolvez-vous ?
FULVIE
De me venger.
AUFIDE
Sans doute.
Vous le devez Fulvie.
FULVIE
Il n'est rien qui me coûte,
Il n'est rien que je craigne, et dans nos factions, etc.
Page 20, vers 7è : Ces funestes édits . Corrigez : ces malheureux édits .
Page 29, vers 6è : J'irai chercher Pompée . Corrigez : J'irais chercher Pompée .
Page 71, vers 7è : Séjour des meurtriers. Corrigez séjour de meurtriers .
Page 83, vers 7è : Les monstres . Corrigez : Ces monstres .
Page 108, ligne 1re : non fu si tanto . Corrigez : non fu si santo .
Page 138, ligne 12 : Ceux de Mintiane . Corrigez : ceux de Minturne .
Page 158, après ces mots : massacrèrent par une piété mal entendue,
ajoutez
Il y a au moins de la piété dans ces meurtres, et cela est bien consolant .
Page 171, ligne 9 : cent cinquante mille . Corrigez ; quatre-vingt mille.
Dans l'histoire des proscriptions mettez à chaque article la proscription dont il s'agit, en titre d'abord, celles des juifs, ensuite celle de Mithridate, celles de Sylla et de Marius, puis celles du triumvirat, celle des juifs sous Trajan, celle de Théodose, etc.1 »
1 Tous les changements demandés seront apportés à l'édition, mais les noms de Choiseul et Praslin figureront sous forme d'anagrammes . Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k312278f.texteImage
18:20 | Lien permanent | Commentaires (0)
quelques hommes ont cru que la barbarie était un de leurs devoirs . On les a vus abuser de leur état jusqu'à se jouer de la vie de leurs semblables, en colorant leur inhumanité du nom de justice
... Et dire que les Russes de Poutine ne sont pas les seuls à agir ainsi : monde effrayant . Et dire que dans le même temps , des extrémistes français , candidats à la présidence, viennent prôner leurs haines superflues !
« A Etienne-Noël Damilaville
2 Janvier 1767 1
Vous devez être actuellement bien instruit, mon cher et vertueux ami, du malheur qui m’est arrivé 2 . C’est une bombe qui m’est tombée sur la tête, mais elle n’écrasera ni mon innocence ni ma constance : je ne peux rien vous dire de nouveau là-dessus, parce que je n’ai encore aucune nouvelle.
J’ai éclairci tout avec le prince Galitzine : il n’y avait point de lettre de lui ; tout est parfaitement en règle ; et, dans quelque endroit que je sois, les Sirven auront de quoi faire leur voyage à Paris, et de quoi suivre leur procès. Vous pourrez, en attendant, envoyer copie du factum à Mme Denis, si M. de Beaumont ne le fait pas imprimer à Paris, mais sans doute M. de Beaumont le fera imprimer . C’est perdre ce procès-là que de ne pas donner au moins communication du factum aux personnes qui peuvent nous protéger .
Voilà pour les affaires de discussion, venons maintenant à celles de littérature 3.
Vous aurez les Scythes incessamment, à condition qu’ils ne seront point joués ; et la raison en est que la pièce est injouable avec les acteurs que nous avons.
On m’a envoyé de Paris une pièce très singulière, intitulée le Triumvirat ; mais ce qui m’a paru le plus mériter votre attention dans cet ouvrage, et celle de tous les gens qui pensent, c’est une histoire des proscriptions 4. Elles commencent par celles des Hébreux, et finissent par celles des Cévennes . Ce morceau m’a paru très curieux. Cette histoire finit par ces mots :
« Il est vrai qu'il n’est plus de nos jours de persécutions générales ; mais on voit quelquefois de cruelles atrocités . La société, la politesse, la raison inspirent des mœurs douces ; cependant quelques hommes ont cru que la barbarie était un de leurs devoirs . On les a vus abuser de leur état jusqu'à se jouer de la vie de leurs semblables, en colorant leur inhumanité du nom de justice ; ils ont été sanguinaires sans nécessité ; ce qui n'est pas même le caractère des animaux carnassiers . Toute dureté qui n'est pas nécessaire est un outrage au genre humain . Puissent ces réflexions satisfaire les âmes sensibles et adoucir les autres 5. »
Il me semble que la tragédie n’est faite que pour amener ce petit morceau . La pièce d’ailleurs n’est point convenable à notre théâtre 6, attendu qu’il y a trop peu d’amour.
Adieu, mon cher ami . Vous devinez le triste état dans lequel nous sommes, Mme Denis et moi. Nous attendons de vos nouvelles ; écrivez à Mme Denis, au lieu d’écrire à M. Souchay, et songez, quoi qu’il arrive, à écraser l’infâme »
1 Copie contemporaine Darmstadt B. qui dérive de La Correspondance littéraire ; l'édition de Kehl donne une lettre fortement mutilée ; voir : http://www.monsieurdevoltaire.com/2015/04/correspondance-annee-1767-1.html
2 L’aventure Lejeune et ses suites qui vont jusqu'à provoquer un froid avec d'Argental.
3 Depuis mais sans doute M. de Beaumont, ce passage omis sur la copie Beaumarchais-Kehl manque dans toutes les éditions .
4 L'essai « Des conspirations contre les peuples ou les proscriptions » à la suite d'Octave ; voir : https://fr.m.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome26.djvu/11
5 Depuis Cette affaire finit par ces mots, passage très abrégé puis biffé sur la copie Beaumarchais et manquant dans toutes les éditions .
6 C'est-à-dire au théâtre des « Welches ».
11:25 | Lien permanent | Commentaires (0)
On dit que le goût du public est entièrement changé
... Il n'est qu'à voir les galipettes des courbes d'intentions de vote pour les candidats à la présidentielle pour s'en convaincre . Ils sont bien les seuls à ne pas l'avouer . Ils nous réservent de bons motifs de rigolade .
« A P. de Valigny
Au château de Ferney [1766-1767]1
Je suis si vieux et si malade, monsieur, que je n'ai pu vous répondre plus tôt . Vous êtes, ce me semble, du pays de Maynard 2 ; vos vers en ont la grâce . Je suis bien loin de mériter tout ce que vous me dites de séduisant 3; je n’y reconnais qu'une chose de vraie : c’est le vif intérêt que je prends aux progrès des jeunes gens dans les lettres .
Vous voulez, monsieur, faire une pièce de théâtre, et Henri IV est votre héros . Je suis très peu propre à décider , dans ma retraite, du succès que doit avoir une pièce de théâtre à Paris . On dit que le goût du public est entièrement changé . Le mien, qui ne l'est pas, est trop suranné et trop hors de mode .
Je suis, etc. »
1 L'édition P. de V[aligny] de Henri IV ou la Réduction de Paris a servi de source à la copie et donc a été suivie, datée approximativement par le fait que la pièce est en projet .
2 François de Maynard est né à Toulouse en 1582 ; voir : https://www.academie-francaise.fr/les-immortels/francois-maynard
et : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Maynard
et : https://www.google.fr/search?hl=fr&tbo=p&tbm=bks&...:"P.+de+Valigny"
00:09 | Lien permanent | Commentaires (0)