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Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

Vous savez si j'aime la tolérance . Il est certain que dans ces vastes hôpitaux de fous qu'on appelle le monde, il n'y a

... Yeah ! No comment !

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« A Pierre Pictet 1

[1763-1764 ?]2

Il y a près d'un mois, mon cher voisin 3 que j'ai écrit sur le confesseur et martyr dont vous me parlez . Vous savez si j'aime la tolérance . Il est certain que dans ces vastes hôpitaux de fous qu'on appelle le monde, il n'y aurait autre chose à faire que se supporter les uns les autres . M. le duc de Villars est le vrai protecteur de l'indulgence et vous croyez bien que c’est à lui d'avoir quelque pouvoir sur M. le maréchal de Richelieu . On se moquera de mes prières et on respectera les siennes . Je présente mes respects à toute votre famille .

V. »

1 La moitié de l'adresse a été déchirée, les noms manquants sont indubitablement Pictet et saint Jean .

2 L'édition Havens B. place la lettre en 1766, mais le ton de la référence à Richelieu suggère de la placer plus tôt .

3 Ce mot a été vigoureusement biffé sur le manuscrit pour ne pas laisser d'indication sur l'identité du destinataire .

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04/01/2019 | Lien permanent

au milieu des acclamations publiques distinguez les sentiments de votre très humble et très obéissant serviteur

... Eddy Mitchell, qui est un vrai chanteur, un grand rockeur, et qui a ma préférence sur tous  : https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=de...

Quel bonheur d'entendre un chanteur qui est compréhensible .

Eddy Mitchell - Destination Terre (2000, Carboard Sleeve, CD ...

 

 

 

« A Anne-Rose Calas

Vous devez, madame, être accablée de lettres et de visites . Genève est comme Paris, il bat des mains à vos juges . L'Europe attendrie bénit la justice qu'on vous a rendue . J'ai embrassé Donat Calas en versant des larmes de joie . Vous avez suspendu tous les maux de M. Debrus et les miens . Nous n'avons senti que votre félicité au milieu de nos douleurs . J’embrasse Pierre de tout mon cœur . Souffrez que je vous en dise autant, aussi bien qu'à mesdemoiselles vos filles . Ne m’oubliez pas, je vous en supplie auprès de M. de Lavaysse, et au milieu des acclamations publiques distinguez les sentiments de votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire.

17è mars 1765 à Ferney 1. »

1 Mme Calas a écrit le nom de Voltaire et la date sur la manuscrit original .

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06/06/2020 | Lien permanent

si vous pouvez vous échapper un moment, ce dont je doute fort

... Adeptes du monde virtuel, esclaves des écrans , gogos décérébrés , je ne vous salue pas . Facebook vous tient, son clone  Meta accroit son emprise sur votre temps et votre argent . Ne venez pas pleurer que votre train de vie est amputé, vous lui avez fourni vous mêmes la tronçonneuse .

Les dangers du métavers, cet univers virtuel qui supprimera toute frontière  entre réalité et virtuel

Les bombes russes ne sont pas virtuelles

 

« Au chevalier Pierre de Taulès, etc.

à l’hôtel de France

à Genève

Vous avez eu, monsieur, le temps de lire le petit écrit sur les commissions royales 1 qu'on prétend de M. Lambert, conseiller au Parlement, je vous supplie de me le renvoyer, et si vous pouvez vous échapper un moment, ce dont je doute fort, je vous demande de mettre parmi vos œuvres de bienveillance, celle de venir voir un pauvre malade qui vous est tendrement attaché . Recevez mes respects, et présentez-les, je vous prie , à Son Excellence .

V.

Mardi au matin [décembre 1766]. »

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16/03/2022 | Lien permanent

il sera ad natus promptus heriles

... Ministre ? Syndicaliste ? Bureau de parti politique ? ... Oui ! pour tous, ce me semble .

 

 

« A Pierre-Michel Hennin

Ma foi, monsieur, je crois que vous faites une bonne acquisition. Vous formerez ce jeune homme, il sera ad natus promptus heriles 1. Je vais écrire à M. le maréchal de Richelieu. Je suis d'ailleurs à vos ordres comme Gallien, et comme toute notre maison, et comme tout le pays . C'est-à-dire que vous avez mon cœur.

V.

9 auguste [1767]; aoust est bien welche. 2»

1 Horace, Epîtres, II, ii, 6 , inexactment cité . Traduction : docile aux commandements du maître .

2 Manuscrit olographe ; édition Correspondanace inédite, 1825 . Hennin a écrit le même jour à V* : lettre 6971 de https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k411361p/texteBrut

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19/03/2023 | Lien permanent

Lisbonne engloutie par un tremblement de terre, ... voilà un terrible argument contre l'optimisme. Il est honteux, dans

 Tsunami

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« A M. BERTRAND.

Aux Délices, 30 novembre [1755]

Mes peines d'esprit, mon cher monsieur, sont aussi grandes que celles dont mon cœur est tourmenté. M. Polier de Bottens, instruit des chagrins que me donne l'édition de ce malheureux ouvrage 1 si falsifié et si défiguré, me mande qu'il m'a prévenu par ses bons offices, et qu'il a assemblé le corps académique pour empêcher le débit de cette œuvre de ténèbres dans Lausanne. Il me mande aussi qu'il a écrit d'office à M. E. membre du conseil souverain de Berne, pour le prier de faire à Berne les mêmes démarches qu'il a faites à Lausanne. On me confirme que l'édition qui paraît est celle de Maubert. Je ne puis rien savoir de positif sur tout cela dans ma solitude, et dans mes quatre rideaux, au milieu de mes souffrances. J'aurais souhaité, en effet, qu'on eût pu prévenir le débit de cette rapsodie à Berne comme on l'a fait à Genève mais ce que je souhaite encore, c'est qu'il n'y ait point d'éclat. Je m'en rapporte, monsieur, avec confiance à votre amitié et aux bontés de Leurs Excellences, à qui M. de Paulmy 2 m'a recommandé. Il est certain que l'ouvrage, tel qu'il est, n'est pas le mien mais comme il y a, en effet, quelques morceaux qui m'appartiennent, tout estropiés qu'ils sont, et que j'ai fait à la vérité quelque chose sur ce sujet, il y a près de trente ans, vous sentez que le contre-coup retombe sur moi.
Vous savez l'horrible événement de Lisbonne, de Séville, et de Cadix. La ville de Lisbonne engloutie par un tremblement de terre, cent mille âmes ensevelies sous les ruines, Séville endommagé, Cadix submergé pendant quelques minutes par le même tremblement voilà un terrible argument contre l'optimisme. Il est honteux, dans des événements aussi épouvantables, de songer à ses affaires particulières.
Je vous embrasse tendrement. »


 



 

1 La Pucelle .

 

2 Le marquis de Paulmy, depuis la fin de 1748 jusqu'à celle de 1751, avait été ambassadeur en Suisse.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Antoine-Ren%C3%A9_de_Voyer_de_Paulmy_d%27Argenson

 

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21/04/2012 | Lien permanent

Cette misérable édition court les provinces et les pays étrangers

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http://www.dailymotion.com/video/xdle1a_hallelujah-messia...

 

 

Ce jour est un beau jour !

"monsieurdevoltaire" et son auteur(e) LoveVoltaire reçoivent leur 10 000ème visiteur !!!

Comme indiqué, 100% de satisfaction pour tous ceux qui ont reçu cette Lumière mise en ligne par une personne lumineuse et attachante .

Plus fan de Volti qu'elle, tu meurs !

Soyez lui fidèle !

PS : mettre un commentaire est un encouragement pour le metteur en ligne, pensez-y !

 

 

 

 


« A Nicolas-René Berryer de Ramenoville

A Versailles ce 13 juin 1748



Je pense, monsieur, q
ue l'édition dont on vous avait parlé, il y a quelque temps, n'est point celle dont il est question ; mais c'est probablement une édition en six volumes faite à Trévoux, et que j'ai trouvée si mauvaise, si infidèle, et si pleine de fautes que j'ai supplié instamment M. Pallu [intendant de Lyon] de la supprimer autant qu'il pourrait. Cette misérable édition court les provinces et les pays étrangers avec beaucoup d'autres, et en cela il n'y a que du papier perdu. Voilà l'édition qui n'a pas mon approbation,[le 12, Ramenoville lui écrit :  « Il y a déjà du temps … qu'on m'avait prévenu du livre que vous m'annoncez dans votre lettre d'hier, et auquel on m'avait dit que vous ne donniez pas votre approbation ...»] mais celle dont je me plains, et que je défère à votre justice a toute mon indignation, et aura certainement la vôtre. Jamais rien n'a été imprimé de plus punissable. L'édition de Trévoux en 6 volumes est intitulée à Londres chez Nourse 1746 ; celle-ci porte : à Amsterdam par la compagnie.[édition prévue en 12 volumes in-12, imprimée à Rouen, publiée par le libraire Machuel en 1748] Voici , Monsieur, un petit mémoire que j'ai l'honneur de vous envoyer à ce sujet [Mémoire au sujet de l'édition en douze volumes faite à Rouen, avec le titre , Amsterdam par la Compagnie des libraires, ce mémoire étant joint à la lettre]. J'envoie le pareil à M. le comte de Maurepas, et j'attends vos ordres et les siens avant que de faire aucune démarche.

J'ai l'honneur d'être respectueusement,
Monsieur,
votre très humble et très obéissant serviteur,

Voltaire »

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13/06/2010 | Lien permanent

il faut attendre patiemment le jugement du conseil

... pour les Catalans indépendantistes . Auront-ils la satisfaction d'obtenir ce qu'ils demandent ? Ce serait la plus grosse boeufferie imaginable (ce qui ne m'étonnerait pas au pays des toros tués en abattoirs/arènes ) . L'Espagne est-elle vraiment un si grand pays qu'elle puisse se diviser à l'envi ? Combien de cheffaillons en mal de gloriole sont derrière cette hérésie ?

 

catalogne indépendante.png

 

 

« A Philippe Debrus

Pierre et Donat devraient avoir écrit à Élie il y a longtemps . Si leur lettre n'est pas encore partie, il faut la mettre sous l'enveloppe de M. Damilaville, directeur des vingtièmes, quai Saint-Bernard .

Il y a trois mois que je dis qu'on ne rendra à Mme Calas ses filles, qu’après la révision du procès 1: je crains même que des sollicitations trop réitérées n'indisposent M. le comte de Saint-Florentin . Je souhaite de me tromper .

On ne fait que des démarches inutiles ; il faut attendre patiemment le jugement du conseil, je réponds qu'il sera favorable . Ne soyons point fâchés que ce jugement soit différé, nous en aurons plus de temps d'instruire les juges, et de les solliciter ; ne parlons point surtout de l'affaire de Sirven 2; tenons nous-en à la nôtre . Si nos avocats peuvent avoir une lettre de Louis telle que je l'ai désirée, rien ne servira mieux notre cause .

Mille compliments à monsieur Debrus et à tous ses amis .

1er décembre [1762]3. »

1 Le 7 décembre 1762 la duchesse d'Anville [ Marie-Louise-Nicole de La Rochefoucauld ] annonce à V* qu'elle a obtenu de Maurepas leur sortie du couvent qui sera effective le 8 décembre . Voir : https://archive.org/stream/jeancalasetsaf1858coqu/jeancalasetsaf1858coqu_djvu.txt

3 L'édition Lettres inédites supprime la date et place cette lettre entre le 17 octobre et le 25 décembre 1762 .

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13/10/2017 | Lien permanent

Je m'en tiendrai à celle là, ou il n'y en aura point du tout .

... Telle est la conclusion du gouvernement,  après sa récente décision de sursoir à l'exécution des projets de lois  qui ont soulevé la colère .

Gilets jaunes et tous concitoyens, n'ayons aucune illusion, nous paierons "intérêts et capital" . La non violence d'un Gandhi n'a pas cours au pays qui a vu sévir Collot d'Herbois, Fouché, Lazare Carnot et autres vrais terroristes à côté desquels Robespierre fait figure de tendre . Combien de temps faudra-t-il pour qu'enfin on comprenne que la colère populaire actuelle n'est qu'une folie et que ceux qui l'entretiennent sont des malfaisants et des profiteurs ?

 

 

« A Gabriel Cramer

Jeudi [8 décembre 1763 ?] 1

Demain j'enverrai à monsieur caro le reste de l'errata .

Je le prie de m'envoyer une dédicace à l'Académie afin qu'elle lui soit présentée avant qu'elle soit publique . Je m'en tiendrai à celle là, ou il n'y en aura point du tout .

M. le duc de Choiseul est très content de la Tolérance ainsi que tous ceux qui l'ont lue . Je ne conçois pas pourquoi votre cheval de Lyon rue 2.

Souvenez-vous je vous en supplie de Madianite 3.

1 V* a d'abord écrit vendredi .

2 Ce « cheval » est l'ami de d'Alembert, Claude Bourgelat, vétérinaire et adjudicataire de la ferme des fiacres de Lyon ; voir lettre du 13 décembre 1763 à d'Alembert : « P.S. Vous remarquerez que, si vous n'avez pas de Tolérance, c'est la faute de votre ami Bourgelat qui, dans son hippomanie, a rué contre les Cramer . Ces Cramer […] n'ont pu obtenir de lui qu'il laissât passer les ballots par Lyon . […] Le grand écuyer Bourgelat s'est en cela conduit comme un fiacre . »

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05/12/2018 | Lien permanent

pour moi, je suis trop petit pour ne me pas défendre

... Qu'on se le dise !

 

 

« A Louise-Dorothée von Meiningen, duchesse de Saxe-Gotha

14è auguste 1767, à Ferney.

Madame,

Je suis pénétré jusqu'au fond du cœur des lettres dont Votre Altesse sérénissime m'honore 1. Vos bontés devraient sans doute bannir de mon esprit toute idée d'un La Beaumelle. S'il n'était question que de moi, je n'y penserais pas; mais daignez songer, madame, que je dois répondre au tribunal de l'Europe des vérités que j'ai dites dans le Siècle de Louis XIV, siècle heureux, où toute la branche Ernestine, dont vous êtes aujourd'hui l'ornement, était la meilleure alliée de la France. Je trahirais lâchement mon devoir si je laissais subsister les calomnies que La Beaumelle réimprime contre presque tous ceux qui ont illustré ce beau siècle. Je sais que Votre Altesse sérénissime est trop instruite et trop juste pour se laisser séduire par ces impostures, mais combien de lecteurs, madame, ne sont ni justes ni éclairés ! Considérez, madame, qu'il n'y a pas une seule cour qui ne s'empresse de réfuter, dans les papiers publics, les mensonges des gazettes. Ces combats durent quelquefois des mois entiers. Voudriez-vous ravir aux particuliers le droit de se défendre? Non, sans doute, et ce n'est pas même comme simple particulier que je dois agir, mais comme un homme qui a été chargé de la cause publique. Je dirai plus encore. Votre Altesse sérénissime sait avec quelle insolence La Beaumelle a parlé de votre auguste maison. Voudriez-vous que je l'oubliasse, parce que vous lui pardonnez? Je ne le puis, madame. La vérité ne pardonne point mais elle ne punit qu'en se montrant. C'est par sa lumière qu'elle confond ceux qui veulent l'obscurcir. Les princes auxquels ce misérable a jeté de la boue feront ce que leur grandeur et leur clémence pourront leur dicter; mais, pour moi, je suis trop petit pour ne me pas défendre.

La reconnaissance que je dois à toutes vos bontés, madame est le sentiment le plus profond qui m'occupe. Vous êtes ma protectrice et ma consolation. Je suis également dévoué à la vérité et à Votre Altesse sérénissime, avec le plus profond respect et la plus vive reconnaissance.

Votre vieux Suisse. »

1 La duchesse a écrit à V* le 10 août 1767 où elle blâme sévèrement ses attaques contre La Beaumelle .

Voir : https://www.persee.fr/doc/dhs_0070-6760_2002_num_34_1_2489

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03/04/2023 | Lien permanent

tout le monde est content de moi hors les filles.

http://www.deezer.com/listen-2296931

"si la douane des pensées le permet.", vous pourrez lire ce que j'ai noté sur le livre d'or du Centre des Monuments Nationaux .

C'est ce que je pensais il y a plus de dix jours, j'étais encore dans le monde des illusions, le monde des Bisounours comme me dit LoveV !

Foin d'illusions, il me reste des certitudes : le livre d'or dort !!

Vous qui laissez un message au CMN oubliez tout espoir! à moins que vous n'écriviez des louanges dithyrambiques sur un site, un document d'information, ou que vous soyez à la recherche d'un livre, d'une brochure qui, oh! miracle, figure dans la liste de ce qui est disponible en boutique !

Je vous invite à aller sur

 



 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental


27 juillet 1768


Vous savez, mon cher ange,que vos ordres me sont sacrés, et que le souffleur de la Comédie aura son petit recueil si la douane des pensées le permet. J'ai adressé le paquet à Briasson le libraire, et l'ai prié de le faire rendre au dit souffleur. Le succès de cette affaire dépend de la chambre syndicale. Vous savez que j'ai peu de crédit dans ce monde. J'espère en avoir un peu plus dans l'autre, grâce aux bons exemples que je donne.[allusion à ses Pâques; cf. lettres à d'Argental du 22 avril, du 1er mai à d'Alembert, du 25 juin aux d'Argental]


Je ne suis pas revenu de ma surprise quand on m'a appris que ce fanatique imbécile d'évêque d'Annecy [Biord], soit-disant évêque de Genève, fils d'un très mauvais maçon, avait envoyé au roi ses lettres et mes réponses [au sujet de la communion de V* considérée comme une comédie et du sermon fait à la messe, cf. lettre du 25 juin ]. Ces réponses sont d'un Père de l'Eglise qui instruit un sot. Je ne sais si vous savez que cet animal-là a encore sur sa friperie un décret de prise de corps du parlement de Paris, qu'il s'attira quand il était porte-Dieu à la Sainte-Chapelle basse [le 6 février 1769, à son neveu d'Hornoy, il demandera des précisions sur cette affaire ; cf. lettre du 24 juin à Mme Denis . Le parlemnt poursuivit les prêtres qui refusaient les sacrements à qui ne présentait pas de « billet de confession »]. En tout cas, je suis très bien avec mon curé, j'édifie mon peuple ; tout le monde est content de moi hors les filles.


Que Dieu vous ait en sa sainte garde, mes chers anges ! Je ne sais ce que c'est que la vie éternelle, mais celle-ci est une mauvaise plaisanterie.


A propos j'ai coupé la tête à des colimaçons, leur tête est revenue au bout de quinze jours ; le tonnerre les a tués [voir sa brochure Les colimaçons du révérend père l'Escarbotier, 1768]. Dites à vos savants qu'ils m'expliquent cela. »

 

 

http://www.voltaire-integral.com/Html/27/12_Colimacons.html

 

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27/07/2010 | Lien permanent

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