Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné
tout sera réglé aujourd’hui
... May be !
« A François Tronchin
[vers le 30 septembre 1759]
Monsieur Tronchin est supplié de vouloir bien faire dire à quelle heure il aura la bonté de se trouver aux Délices afin qu'on reçoive ses derniers ordres pour la muraille . S'il veut bien faire venir maître Matey, tout sera réglé aujourd’hui . »
16/10/2014 | Lien permanent
Je souhaite que vous ayez des confesseurs, et point de martyrs, c'est une façon fort ridicule d'aller au ciel par une éc
... Rien de nouveau sous le soleil !
Grands faits ! ah oui ! effectivement grands faits, se faire couper la tête, quel mérite ! j'en connais plus d'un qui s'en serait dispensé et même aurait inversé l'ordre des faits . Martyrs ! la belle affaire , régime perdant-perdant à coup sur .
Seuls gagnants, les chefs religieux qui vivent de la crédulité de leurs ouailles en leur faisant miroiter un avenir radieux en qualité ( par défaut ! ) de martyrs .
- Inch Allah !
- Mektoub !
« A Jean Ribote-Charron etc.
à Montauban 1
J'ai écrit à M. le maréchal de Richelieu, comme vous le désirez, monsieur . Je crois que s'il n'y a point eu de procès-verbal, l'affaire peut s'accommoder . Il laisse la plus honnête liberté, mais il ne veut pas qu'on en abuse . Je souhaite que vous ayez des confesseurs, et point de martyrs, c'est une façon fort ridicule d'aller au ciel par une échelle 2.
J'ai l'honneur d'être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur
Voltaire
gentilhomme ordinaire de la chambre du roi.
Au château de Ferney en Bourgogne par Genève
5è octobre 1761 . »
1 Une main étrangère a ajouté sur le manuscrit l'adresse de Ribote : « Chez M. Mantel et Delfau en foire / Bordeaux » et « débourser de Montauban » . La lettre contenant la requête de Ribote ne nous est pas parvenue , mais on connait celle qu'il adressa à Rousseau le 30 septembre 1761 ; ce dernier refusa d'intervenir . On a ici un des premiers épisodes concernant les relations de Voltaire avec les protestants du Midi ; voir le Pot-Pourri, chapitre VI et la notice de ce conte : voir : http://visualiseur.bnf.fr/CadresFenetre?O=NUMM-101503&M=tdm.
D'autre part, le même jour à minuit, Charlotte Constant de Rebecque écrivait à son mari : « Voltaire a reçu des reliques qui lui ont été envoyées par le pape pour son église, en attendant elles sont éparses sur la cheminée ; je compte aller à Ferney jeudi matin avec M. d'Albertas . On y joue Mérope lundi ; M. de Lauraguais est parti […]. » Le 28 septembre, Choiseul avait écrit à V* : « Le proverbe a raison qui mange chapon, chapon lui vient ; voilà ce que c'est que d'avoir de la foi . Notre très saint-père, acquiesçant à notre humble prière, m'a adressé cette relique pour votre église, avec l'authentique nécessaire pour que l'on ne puisse pas douter de la sainteté de l'ossement qui doit être mis dans votre cathédrale et de la vénération qui lui est due par les fidèles de votre paroisse ; confiez ce dépôt précieux à votre curé, brûlez ma lettre, je vous prie, et continuez d'aimer votre serviteur . »
2 L'échelle du gibet .
22/09/2016 | Lien permanent
je suis occupé de plus grands voleurs
... Peut nous dire le nouveau Garde des Sceaux lorsqu'on lui parle de son récent et fugace prédécesseur .
Question "grands voleurs", ceux en col blanc, notre nation en compte suffisamment pour en exporter plus qu'on n'en importe , au grand dam de notre PIB . Y a-t-il un lien avec l'engouement pour, par exemple, GTA* , matière qui n'est pas encore officiellement au programme scolaire (mais ne désespérez pas, gamers , futurs traders de tous pays !) ?
* Grand Theft Auto
« A Gabriel Cramer
[juillet- août 1762]
Je ne soupçonne rien mon cher Gabriel, mais voici une lettre pour M. des Franches 1 dont votre prudence et votre amitié feront l'usage convenable . Il y a un garçon jardinier appartenant à notre vigneron, qu'on a soupçonné parce qu'il avait retrouvé dans un bosquet de charmille le chapeau d'un domestique nommé Joseph 2 dont on avait proprement décousu le beau bord d'argent . M. des Franches pourrait envoyer chercher le vigneron et ce garçon qu'on dit débauché . Ayez la bonté d'en parler à M. des Franches, je suis occupé de plus grands voleurs . Je refonds dans l'Histoire générale ce qu'il y a de plus intéressant dans l'histoire de l'indigne guerre de 1741, après quoi je viens aux jésuites, cela sera curieux .
J'espère avoir demain quelques Calas, et quelques feuilles cornéliennes . Vale amice .
V. »
1 Horace-Bénédict Perrinet Des Franches, homme de loi genevois ; voir aussi : http://encycloge.org/geneve-et-la-vie-internationalecatherine-courtiau-jean-claude-favez-jacques-freymond-alexandre-hayines-lamuniere-catherine-santsch.html
et pages 8-10 : http://www.archivesfamillepictet.ch/bibliographie/documents/VoltaireetRousseau.pdf
et page 14 : http://www.archivesnationales.culture.gouv.fr/chan/chan/fonds/EGF/SA/InvSAPDF/T_etat_sommaire/T151_200.pdf
et page 184 : https://hal.inria.fr/file/index/docid/548896/filename/YL_Amortissement.pdf
2 Peut-être Navatier ; voir une lettre de V* à Caire du 13 août 1768 , et dans Besterman, une lettre de Maillet à V* du 12 octobre 1768, ainsi que l'appendice de 1764 sur la dot de Marie Corneille et celui de mars 1766 sur un prêt fait par V* .
24/06/2017 | Lien permanent
Je tremble toujours pour la Tolérance, quoi qu’on die, quoi qu’on die
"Je tremble toujours pour la Tolérance" : oui, et pour les "maisons de tolérance", qui tremble de nos jours ?
Maisons de tolérance,-je traduis pour les jeunots-,= bordels (nous sommes très riches en périphrases et euphémismes en France, comme "technicien de surface" pour balayeur !) .
J'ai donc entendu ces jours-ci qu'un député avait (re)lancé l'idée d'ouvrir des maisons closes, -ce qui est paradoxal dans les termes, mais Marthe Richard avait, elle, fait fermer les maisons closes ouvertes- pour protéger les artisan(e)s du sexe tarifé .
Je crois savoir qu'il y a une autre appellation pour le "protecteur" de ces dames (et messieurs): maquereau, proxénète .
L'Etat , et ça n'étonnera personne, sera directement le releveur de compteur national, comme il l'est déjà par la voie du fisc qui prend sans barguigner sa part de la comptée du "pain de fesses".
Sans oublier l'URSSAF qui ne doit pas appliquer des tarifs plancher pour ceux et celles qui passent une partie de leur vie professionnellle à regarder le plafond !
Pour autant que je sache, ces travailleurs et travailleuses ne désirent pas se retrouver en maisons. Ils et elles savent mieux que moi pourquoi. A suivre ...
« A Gabriel Cramer
[Février-Mars 1764]
Voici copie. Que Dieu répande ses bénédictions sur ce petit recueil de Guillaume Vadé, et de Jérôme Carré [Les Contes de Guillaume Vadé, recueil d’écrits mis sur le compte de Guillaume Vadé et Jérôme Carré.]. Ce sont mes deux bons amis ; monsieur Gabriel et moi nous leur servons de père. Tout Paris donne la préférence aux Trois manières de Jérôme sur la Reine Berthe [Ce qui plait aux dames] de Guillaume. Pour moi, je ne décide point, je ne veux point faire de jaloux.
Je tremble toujours pour la Tolérance, quoi qu’on die, quoi qu’on die [cf. Les femmes savantes]; et je conseille à M. Gabriel de glisser Jérôme et Guillaume dans Pierre.[envoyer les Contes dans un colis contenant l’Histoire de l’Empire de Russie sous Pierre le Grand.] »
27/03/2010 | Lien permanent
Vous savez que je dis toujours ce que je pense.
http://www.deezer.com/listen-5423426
« A Pierre Lullin
[30 janvier 1766]
Vous verrez, monsieur, que je dois être plus content de la lettre de M. Freudenreik 1 que de la vôtre 2. J'envoie à Paris la copie dont j'ai l'honneur de vous dépêcher la minute . Je ne m'ingère point dans les affaires qui ne me regardent pas, mais je dois repousser les calomnies qui m'offensent et qui outragent vos seigneurs autant que moi-même.
Si dans les premiers moments on m'avait aidé à détruire ces bruits dangereux qui ont irrité tant de citoyens, vous ne seriez pas où vous en êtes. On se conduisit alors très mal, et on me devait plus d'égards. Vous savez que je dis toujours ce que je pense.
Votre très humble et très obéissant serviteur.
V. »
1 Voir lettre du même jour au même : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2010/01/30/5...
Pierre Lullin, futur premier syndic de Genève,est conseiller au Petit Conseil et secrétaire d'Etat, V* le reçut à Ferney.
Voir aussi page 62 : http://www.archivesfamillepictet.ch/bibliographie/documen...
2 Lullin a écrit le 29 : « ... Mesgrs ont été étrangement surpris de l'imputation. ... Cette calomnie retomberait plutôt sur eux que sur vous ; et leur intégrité est trop connue pour qu'on puisse croire qu'aucun particulier influe jamais sur leurs jugements. D'aileurs ... vous connaissez mieux que personne ce qu'exige la bienséance, qui ne vous aurait jamais permis de vous ingérer dans une affaire qui vous est entièrement étrangère. »
Voir lettre D13141 page 62, et suivantes : http://www.archivesfamillepictet.ch/bibliographie/documen...
29/01/2011 | Lien permanent
Je remets à Monsieur Robert Tronchin la maison sur le territoire Saint-Jean nommée les Délices
Amours, délices et orgues sont féminines au pluriel .
Délices et orgue, sont déjantés au Brigitte Fontaine :
http://www.deezer.com/listen-3134153
Délices de Hollywood, de Véronique Sanson ( qui sante des sansonnettes ! ) :
http://www.deezer.com/listen-662938
En quête de plus d'espace dans son château de Ferney, Volti abandonne (à perte) ses "prétendues Délices" , il va à nouveau se retrouver , si on l'en croit, ouvrier toutes mains .
Espace , Zen attitude :
http://www.deezer.com/listen-4959226
Sérénissime , pour quitter la "parvulissime république de Genève"
http://www.deezer.com/listen-4959219
« A Jean-Robert Tronchin
Je remets à Monsieur Robert Tronchin la maison sur le territoire Saint-Jean nommée les Délices avec toutes les dépendances suivant l'accord fait entre nous 1.
Fait au château de Ferney 12 janvier 1765
VOLTAIRE. »
1 Pour l'achat des Délices : cf . Lettre du 13 février 1755 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2010/02/13/j...
L'achat de la maison sur Saint-Jean, qu'il nommera les Délices, se fit sous le nom de Tronchin, -un catholique ne pouvant se rendre propriétaire sur la République de Genève,- en prenant toutes les garanties ; V* « prête 87 200 livres de France à l'acquéreur réel, lequel ne viole la loi en aucune manière » écrit-il à François Tronchin le 7 février 1755.
Et page 204 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k80033k/f205.image.p...
Et lettre MMCLXIV page 206, à de Brenlès, lettre MMCLXVII à Thieriot, lettre MMCLXXI à Thieriot, etc...
Nouvelle de dernière minute (pour moi, alors que ça date un peu ) : Michael Youn vient de récupérer un peu de ce qu'on lui avait volé (y compris son Hummer, ce qui me met de mauvaise ... Humeur ! ) : il a eu plus de chance que Brassens, que, cependant , je mets mille coudées au dessus de l'autre amuseur
http://www.deezer.com/listen-2305236
05/01/2011 | Lien permanent
vous devez avoir pitié d'un homme blesssé qui crie ne pouvant parler . Songez que je meurs
http://www.deezer.com/listen-8684135 : Ce soir je crie !
... ... ... ...http://www.deezer.com/listen-4299591 : Ne crie plus !
Je crie vers toi :http://www.deezer.com/listen-7020550
Quand je crie à l'aide : http://www.deezer.com/listen-6916502
Lire : http://www.pileface.com/sollers/article.php3?id_article=331
que je vous recommande chaudement, impérativement, expressément, durablement, indubitablement .
« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental
[à Monsieur le comte Dargental]
[vers le 25 mars 1778]
Pardon, mon ange, ma tête de quatre-vingt-quatre ans n'en a que quinze, mais vous devez avoir pitié d'un homme blesssé qui crie ne pouvant parler . Songez que je meurs ; songez qu'en mourant j'ai achevé Irène, Agathocle, Le Droit du seigneur, et fait quatre actes d'Atrée . Songez que Molé m'a mutilé indignement, sottement et insolemment 1; qu'il ne veut point jouer son rôle dans le Droit du seigneur, etc. Je suis mort et il faut que je coure chez les premiers gentilshommes de la chambre . Voyez s'il ne m'est pas permis de crier . Cependant j'avoue que je ne devrais pas crier si fort 2.
Je suis à vous, mon ange, à toute heure . »
1 Entre la troisième et quatrième représentation, selon Wagnière, V* s'est aperçu qu'on a modifié sans son autorisation le texte d'Irène.
Voir : avertissement de Moland dans http://www.voltaire-integral.com/Html/07/07IRENE.html
2 Sans doute le même jour il écrit ce billet à Thibouville : « J'étais au désespoir, je l'avoue . Je me croyais méprisé et avili par les amis les plus respectables . La constance de leurs bontés guérit la blessure horrible de mon cœur ... Que j'aie la consolation de vous voir avant que vous sortiez ! »
27/03/2011 | Lien permanent
Venez passer un été ou un automne dans le pays de la liberté
... Où l'on est tellement libre qu'on peut , au son de rien, se mettre en grève dans l'académie toulousaine afin de bénéficier d'un "pont", jugé comme étant dû par ces professeurs qui hurlent au charron dès qu'ils doivent apparemment rogner leurs sacro-saints congés . Et, on voudrait avec de tels chacals donner l'exemple de l'amour du travail aux enfants !
Ce que les profs traduisent par : "Si je pense qu'éduquer est mal payé, j'essaye d'en faire le moins possible pour le maximum d'avantages ".
Bast' !
« A Nicolas-Claude Thieriot
19 mai [1760]1
Je prie mon ancien ami de me faire avoir les si et les mais, et les pourquoi . Cela pourra faire un petit recueil à faire pouffer de rire ; on m'a envoyé les qui et les quoi 2. J'ignore quelle est la bonne âme qui a vengé ainsi les pauvres philosophes . Je leur conseille à tous de prendre de ma recette, de se moquer de leurs ennemis . Ce monde est une guerre, celui qui rit aux dépens des autres, est le victorieux .
Venez passer un été ou un automne dans le pays de la liberté . Il faut voir ses amis avant de mourir, car, après, il n'y a pas moyen . »
1 Pour le jour, il semble que V* ait d'abord écrit 16 .
2 Il existe encore d''autres satires monosyllabiques sur Jean-Jacques Le Franc de Pompignan ; toutes sont de V* sauf les Si et les Pourquoi de l'abbé Morellet qui parurent avec les Quand ; voir lettre du 25 mars 1760 à Gabriel Cramer : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2010/03/27/la-lettre-a-laquelle-je-reponds-est-d-un-cuistre-de-ministre.html
Voir : http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/andre-morellet
et : http://theses.univ-lyon2.fr/documents/getpart.php?id=lyon2.1998.oferret&part=4919
15/05/2015 | Lien permanent
Dieu me laisse la grâce de pouvoir, à la fin du mois, venir me réjouir avec vous de la paix que nous allons avoir avec l
... Et le reste du monde ?
Je suis fan de cette petite fille géniale !
« A Claude-Philippe Fyot de La Marche
Aux Délices, 8 septembre 1762
Voilà le mois de septembre venu, monsieur, et je voudrais déjà être à La Marche, mais une descente de pairs du royaume et une fluxion sur les yeux et sur les oreilles me retiendront aux Délices probablement jusqu'à la fin du mois . M. le duc de Villars est ici ; nous attendons M. le duc de Richelieu ; Mme Denis et Mlle Corneille répètent leurs rôles, et moi je ne joue que celui de malade . Dieu me laisse la grâce de pouvoir, à la fin du mois, venir me réjouir avec vous de la paix que nous allons avoir avec les Anglais et de celle que probablement votre parlement aura avec le conseil .
Je suis fort content malgré les critiques de l'estampe d'Othon que M. Le Monnier 1 m'envoie . Je vous renouvelle mes remerciements et je vous prie de permettre que j'insère ce petit billet dans ce paquet . Pardonnez à un pauvre homme, moitié sourd, moitié aveugle, s'il vous écrit si laconiquement ; vous savez combien il serait bavard s'il vous disait à quel point il est pénétré pour vous d'attachement et de respect .
V. »
1 Louis-Gabriel Monnier : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis-Gabriel_Monnier
05/08/2017 | Lien permanent
we have few beds, but you will not sleep on two chairs
... dit , rassurant, le directeur de La Santé au couple Fillon . Pour y échapper, François va-t-il être obligé, pour se disculper , lui , et du coup sa douce et tendre et dure à cuire, de faire valoir le devoir conjugal de Pénélope comme un travail qui mérite rétribution, who knows ?
« A James Boswell
[25 décembre 1764] 1
Sr ,
You will do us much honour and pleasure, we have few beds, but you will not sleep on two chairs . My uncle, tho very sick, hath guess'd at yr merit . I know it more, because I have seen you longer. 2»
1 Boswell a noté sur l'original : « Answer by M. de Voltaire in the character of his nièce » (« réponse de M. de Voltaire, dans le caractère de sa nièce ». Six jours plus tard, Boswell écrit à Rousseau : « J'ai été chez M. de Voltaire . Sa conversation est la plus brillante que j’aie jamais entendu . J'avais avec lui un entretien très sérieux . Il me parlait de sa religion naturelle d'une manière dont j'étais frappé . » La présente lettre écrite par V* au nom de sa nièce répond en effet à une lettre de Boswell du 25 décembre à celle-ci dans laquelle il la prie de solliciter pour lui de son oncle la permission de passer encore une nuit sous son toit, de façon à profiter de sa compagnie .
Voir : https://www.whitman.edu/VSA/visitors/boswell.html
et : https://www.persee.fr/doc/bude_0004-5527_1966_num_1_3_4141
2 « Monsieur, / Vous nous ferez beaucoup d'honneur et de plaisir . Nous avons peu de lits, mais vous ne dormirez pas sur deux chaises . Quoique malade, mon oncle se doute de votre mérite . Je le connais d'autant mieux que je vous ai vu plus longtemps . »
27/02/2020 | Lien permanent