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31/12/2015

Il aurait donc quelquefois raison ! Il m'a paru un fou qui a beaucoup de bons moments .

...  Mais à qui pensè-je en choisissant ce titre ?

A Fanfoué notre président , qui correspond peu ou prou à la première affirmation ?

A Gérard 2par2 qui est digne de la seconde ?

Trouvez bon que je vous laisse donner un nom qui vous plaise pour ce "Il" et n'en parlons plus jusqu'à l'année prochaine .

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

A Ferney pays de Gex par Genève

31 décembre 1760 1

Les plus aimables et les plus difficiles de tous les anges c'est vous, monsieur et madame . Si vous n'êtes pas contents de Mathurin 2 qui nous paraît assez plaisant et tout neuf ; si vous avez la cruauté de l'appeler vieux, quoique je sois prêt à lui donner trente ans ; si vous voulez que Colette en soit amoureuse (ce que je ne voulais pas ) si vous avez l’injustice de soutenir que le marquis et Acanthe ne s'aimaient pas depuis 14 mois, quoiqu'ils disent formellement le contraire, et peut-être assez finement ; si vous n’êtes pas édifiés de voir un sage qui parle de ne pas succomber, et qui perd la gageure ; si vous n'aimez pas un débauché qui se corrige ; si vous ne trouvez pas le caractère d'Acanthe très original ; je peux être très fâché, mais je ne peux être ni de votre avis, ni vous aimer moins .

Je vous supplie mes chers anges, de me renvoyer les deux copies , c'est-à-dire la première qui n'était qu'un avorton, et la seconde que je trouve un enfant assez bien formé, qui vous déplait .

Madame d'Argental est bien bonne de daigner se charger de faire un petit présent à la muse limonadière 3. Je l'en remercie bien fort . C'est la seule façon honnête de se tirer d'affaire avec cette muse .

Je suis très fâché que Fréron soit au Fort-l'Evêque . Toutes les plaisanteries vont cesser ; il n'y aura plus moyen de se moquer de lui .
L'ami des hommes est donc à Vincennes ? Ses ouvrages sont donc traités sérieusement ! Il aurait donc quelquefois raison ! Il m'a paru un fou qui a beaucoup de bons moments .

Il court parmi vous autres de singulières nouvelles ; est-il vrai que les Anglais ont proposé de vous réduire à n'avoir jamais que vingt vaisseaux ? C'est-à-dire à en construire encore dix ou douze ? On ajoute une paix particulière entre Luc et Thérèse ; quand je la croirai, je croirai celle des jansénistes et des molinistes, des parlements et des intendants, et des auteurs avec les auteurs . J'apprends que messieurs de parlement brûlent tout ce qu'ils rencontrent, mandements d'évêques, vieux et nouveau testament de frère Berryer 4, ouvrages de Salomon 5, défense de la morale du bon Jésus, contre la morale du dur Moïse 6, c'est-à-dire la réponse à l'auteur de l'Oracle des philosophes ; ils brûleront bientôt les édits du dit seigneur roi ; mais je les avertis qu'ils n'auront pour eux que des halles, et point du tout les pairs et les princes .

Je vois toutes ces pauvretés d'un œil bien tranquille aux Délices et à Ferney . La petite Corneille contribue beaucoup à la douceur de notre vie . Elle plait à tout le monde ; elle se forme, non pas d'un jour à l'autre, mais d'un moment à l'autre . Ne vous ai-je pas mandé combien son petit gentil esprit est naturel, et que je soupçonne que c'était la raison pour laquelle Fontenelle l'avait déshéritée ? Mes chers anges permettez que je prenne la liberté de vous adresser ma réponse à la lettre que son père m'a écrite 7, ou qu'on lui a dictée .

Prault ne m'enverra-t-il pas son Tancrède à corriger ? Quand jouera-t-on Tancrède ? Pourquoi La Femme raison , partout, hors à Paris ? Est-ce parce que Wasp en a dit du mal ? Wasp triomphera-t-il ? Comment vont les yeux de mon ange ?

V.

Eh vraiment j'oubliais la meilleure pièce de notre sac, l'aventure de ce bon prêtre, de ce bon directeur, de ce fameux janséniste 8 jadis laquais qui a volé 50 mille livres à Mme d'Egmont ? Maître Omer le prendra-t-il sous sa protection ? requiert-il en sa faveur ? »

1 On peut douter que la date soit de la main de V* . Le dernier paragraphe est écrit dans la marge du bas .

2 Personnage du Droit du seigneur .

3 Charlotte Reynier, devenue Mme Curé puis Mme Bourette , écrivait des épîtres en vers ; voir lettre du 13 octobre 1760 à Mme d 'Argental : en ligne le 13/10/2009

4 Voir lettre du 27 décembre 1758 à Marie-Anne Fiquet du Boccage :

6 Voir lettre du 8 décembre 1760 à Thieriot :

7 Ni la lettre ni la réponse de V* ne nous sont parvenues .

8 Voir lettre du 26 décembre 1760 à Mme d'Epinay :

 

30/12/2015

nous vous aimons comme si nous avions le bonheur de vous voir tous les jours .

... Chère Mam'zelle Wagnière .

 

 

« A François Tronchin , conseiller

d’État

à Genève

[vers le 30 décembre 1760]

Mon cher confrère, il est vrai qu'il n'est pas trop bien à un brave officier de notre régiment de n'avoir pas vu la descendante 1 de notre général . Mme Denis et moi nous maudissons l'hiver qui nous prive de vous . Mais nous vous aimons comme si nous avions le bonheur de vous voir tous les jours .

Mille respects à madame Tronchin . »

 

1Marie-Françoise Corneille, que Tronchin n'a pas encore rencontrée .

 

PS : Mon retour à une connexion internet est prévue pour le 8 janvier 2016; d'ici là , vive la médiathèque, à bas FREE !

29/12/2015

je n'ai jamais été si heureux que je le suis, quoique malade et vieux

... Heureusement pour moi , je ne suis ni l'un ni l'autre , pour autant que je sache .

 

« A Cosimo-Alessandro Collini, secrétaire

intime de Son Altesse Sérénissime Électorale

à Manheim

Au château de Ferney par Genève

29è décembre 1760

Les hivers me sont toujours un peu funestes, mon cher Collini, vous connaissez ma faible santé . Je ne peux vous écrire de ma main ; j'attendrai que la foule des compliments du jour de l'an soit passée, pour importuner d'une lettre Son Altesse Électorale, et pour lui présenter mon tendre et respectueux attachement . J'ai bien peur de n'être plus en état de venir lui faire ma cour ; je mourrai avec le regret de n'avoir pu finir notre affaire de Francfort ; vous savez que les évènements s'y sont opposés ; on est obligé de recommencer sur nouveaux frais quand on croyait avoir tout fini ; ce qui ne me paraissait pas vraisemblable est arrivé ; soyez bien sûr que si les affaires se tournent d'une manière plus favorable, je poursuivrai celle qui vous regarde avec la plus grande chaleur . Je m'imagine que vous aurez de beaux opéras cet hiver . Vous finirez par les faire vous-même et vous plairez à la cour en vers et en prose 1. Les hivers sont d’ordinaire fort agréables dans les cours d'Allemagne ; pour moi je passerai mon hiver dans mes campagnes . Il faut que je cultive mon petit territoire, j'ai environ deux lieues de pays à gouverner ; les choses sont bien changées de ce que vous les avez vues ; je n'ai jamais été si heureux que je le suis, quoique malade et vieux ; je voudrais que vous partageassiez mon bonheur.

V. »

1 Le passage cet hiver . …... en vers et en prose soigneusement biffé d'une main étrangère sur le manuscrit manque dans les éditions .

 

J'ignore assez les facéties de Genève ; j'ai ouï dire qu'il y avait des cocus

... Cela n'est plus de mon fait, heureusement ou hélas, selon des avis compétents ou presque .

 

« A Élie Bertrand, premier

Pasteur de l’Église française

à Berne .

29è décembre 1760 au château de Ferney par Genève

Je trouve, mon cher monsieur, que le sieur 1 a été bien pressé ; je lui avais fait écrire qu'il devait attendre votre commodité ; soyez sûr que pour moi je serai toujours à vos ordres ; et que je n'aurai jamais de plus grand plaisir que celui de vous en faire .

J'ignore assez les facéties de Genève ; j'ai ouï dire qu'il y avait des cocus, des professeurs galants, des marchands qui tirent des coups de pistolets, des prêtres qui nient la divinité de J.-C. et qui avec cela ne veulent pas être éternellement damnés ; mais je ne me mêle des affaires de cette ville que pour me faire payer les dîmes par les citoyens qui sont mes vassaux ; j'ai pourtant rendu un petit service au pays en chassant les jésuites, d'un domaine assez considérable qu'ils avaient usurpé sur six frères gentilshommes suisses de votre canton nommés MM. de Crassy ; il en coûtera malheureusement quelque chose à un secrétaire d’État de Genève, qui s’était fait le prête-nom des jésuites . L'argent réunit toutes les religions ; je suis tombé à la fois sur Ignace et sur Calvin , cela ne m'a pas empêché d'envoyer à Manheim le mémoire de votre cabinet ; mais ce que je vous avais prédit est arrivé, le temps n'est pas propre .

Je vous souhaite des années heureuses, c'est-à-dire tranquilles ; car pour les plaisirs vifs, je en crois pas qu'ils soient de la compétence du mont Jura . Pourtant, un de mes plaisirs les plus vifs, serait de pouvoir assurer encore de vive voix , M. et Mme de Freudenrich de mon inviolable et tendre reconnaissance, et d'embrasser en vous , un des plus dignes amis que j'aie jamais eus .

Votre très humble et très obéissant serviteur .

V. »

 

 

28/12/2015

il y a des gens qui ont voulu s'opposer à mes plaisirs de Tournay . Ils n'y réussiront pas

... Pas plus que les salopards terroristes !

 

« Voltaire

et

Marie-Françoise Corneille

à

Jean-Robert Tronchin

28 décembre 1760

Mon cher monsieur, les 15 mille livres tournois en cinq petites lettres de change sont pour le quinze avril, terme de l’échéance des Trois Rois . Elles sont à l'ordre de des Franches . Il est bon de se faire un ami dans le sénat romain . J'ai eu un peu de peine avec le consul Lulin de Châteauvieux . Il doit encore cent louis d'or d'une lettre de change que je lui donnai il y a deux ans, mais il faudra bien qu’il paye . À l'égard du géant de la république Pictet de Varambé, ses sœurs ont signé avec lui . C'est un fonds de Mme Denis . Il a des prés verts qui répondent .

Il y a encore dix mille livres prêtées à un gentilhomme savoyard 1, qui demeure aux portes de Genève, et ces dix mille livres sont hypothéquées sur sa terre par privilège . Je vous rends un compte exact afin de vous faire voir que si je fais des plaisirs, je prends des suretés convenables .

Les jésuites ont entièrement rendu la place, il ne reste malheureusement qu'à battre la citadelle de votre secrétaire d’État Chapeaurouge qui s'était fait très mal à propos le prête-nom des jésuites . J'en suis fâché pour lui . Il n'a pas voulu s'accommoder . Les six frères Crassy à qui le domaine appartient ne veulent plus le ménager . Cette affaire ne sera ni agréable ni utile pour lui . Ignace et Calvin pleureront à la fois . Vous savez peut-être qu'il y a des gens qui ont voulu s'opposer à mes plaisirs de Tournay . Ils n'y réussiront pas . Ils auront en tête Mme Denis . Je pourrai rendre les Délices, mais je serai le maître chez moi comme de raison .

Avez-vous lu le livre des impôts ? On dit que l'ami des hommes n'est pas l'ami des ministres . À propos avez-vous reçu ma lettre d'avis touchant une lettre de change tirée sur vous à l'ordre de La Chaux, receveur du domaine de Gex ?

Tandis que j'y suis en voici une de six mille cinq cents livres sur MM. Tourton et Baure .

Nous avons eu à Ferney les voyageurs à qui vous eûtes la bonté de recommander Chimène . Cette Chimène est une très aimable enfant . Elle veut absolument vous dire combien elle est sensibles à toutes vos attentions obligeantes .

 

Je serais une ingrate si je ne remerciais pas monsieur Tronchin et monsieur le docteur 2. On dit qu'il y a dans ces cantons des gens qui ne respectent pas assez mon père Jésus, et mon grand-père Corneille ; mais je n'en suis pas moins reconnaissante envers messieurs Tronchin et Camp .

Corneille . »

 

1 Monthoux .

2 Surnom donné à Ami Camp par Mlle Corneille .

 

afin que les sots et les méchants, dont il est grande année, n'aillent pas toujours criant que je suis à Genève

...

 

 

« Voltaire

et

Marie-Françoise Corneille

à Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental, envoyé

de Parme etc.

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

rue de la Sourdière

à Paris

A Ferney 28 décembre [1760]

Et les yeux de mon ange ? Comment vont-ils en 1761 ? Je me souviens de 1601 1 tout comme si j'y étais . C'était hier . Ah comme le temps vole ! Les hommes vivent trop peu . À peine a-t-on fait deux douzaines de pièces de théâtre qu'il faut partir ! Mais à quand Tancrède, et l'édition du petit fils 2, franc fieux de Paris 3?

Je fais une réflexion, c'est qu'il est important mes anges que l'épître de madame la marquise soit datée de Ferney en Bourgogne 10 octobre 1759 4. Remarquez toutes mes excellentes raisons . Je dis Ferney parce que Mme de Pompadour s'est intéressée aux privilèges de cette terre ; je dis Bourgogne afin que les sots et les méchants, dont il est grande année, n'aillent pas toujours criant que je suis à Genève . Je dis 10 octobre 1759, parce qu'elle fut écrite en ce temps-là : et surtout parce que si elle n'est point datée, elle paraitra une insulte au pauvre ami des hommes 5, et à son malheur . Vous savez que j'ai toujours pensé qu'il faut ou se battre contre les Anglais, ou payer ceux qui se battent pour nous, que je n'ai jamais cru la France si déchirée qu'on le dit, que je pense qu'il y a de grandes ressources après nos énormes fautes . Ces sentiments que j'ai toujours, je les exprime dans ma lettre à Mme de Pompadour . Mais ils deviennent une satire du livre des impôts, livre imprimé après ma lettre écrite . Je passerai pour un lâche flatteur qui se fait de fête, et qui est de l'avis des sous-maîtres pendant qu'un camarade valet, est in ergastulo 6 pour les avoir contredits . Mes divins anges, ce serait là un triste rôle, et vous qui vous chargez de mes iniquités, vous ne voudrez pas que celle-là me soit imputée . Il ne s'agit donc que de dater mon épître . Je m'en rapporte à vos attentions tutélaires . Mlle Chimène prend la plume . Voyons comment elle s'en tirera .

 

M. de Voltaire appelle monsieur et madame d'Argental ses anges . Je me suis aperçue qu'ils étaient aussi les miens, qu'ils me permettent de leur présenter ma tendre reconnaissance .

Corneille

 

Eh bien il me semble que Chimène commence à écrire un peu moins en diagonale .

Mes anges nous baisons le bout de vos ailes .

Denis, Corneille et V. »

 

1 Lapsus calami comme dans la lettre du 15 décembre 1760 à JR Tronchin :

2 Prault fils, imprimeur libraire .

3 V* reprend l'expression, toujours à propos du même, dans sa lettre du 7 septembre 1761 à d'Argental ; Fieux est la forme picarde de fils .

4 Dans l'édition de Prault, la dédicace est datée du 28 décembre 1760, mais l'édition de Genève fait la correction demandée par V*.

5 Victor Riqueti, marquis de Mirabeau, L'Ami des hommes ou Traité de la population, 1756-1758, déjà vu dans la lettre du 25 novembre 1758 à Cideville : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2013/12/15/quand-vous-serez-a-paris-parlez-nous-des-sottises-que-vous-y-5247040.html

6 En prison .

 

27/12/2015

C'est une bonne réponse à tous les criailleurs de leur dire, jean-foutre sachez que je suis meilleur chrétien que vous, et meilleur serviteur du roi

... Jean-foutre intégristes regagnez vos pénates et n'en sortez plus .

 

 

« A Nicolas-Claude Thieriot

26 décembre 1760 1

Bon bon voilà un excellent renfort pour notre Capilotade que cet abbé Grizel ! Ne manquez pas je vous prie de me faire savoir les suites de cette affaire divine ! Comment ? Cinquante mille livres volées à la terre pour enrichir le ciel ? Cela va être incessamment dans son cadre . Il est bon aussi de savoir si notre cher Fréron est écroué pour 12 mille livres 2. En ce cas le Fort-l'Evêque sera son Parnasse . Je suis très affligé de petit Ballot , 57 ans ce n'est pas Voiture . Nous sommes plus tenaces nous autres . Domestick purges procure a long life 3, dit Cheyne le docteur .

Entendez par la Lettre à l'Oracle 4 lettre à l'auteur de L'Oracle , c'était brevitatis causa 5. Les étincelles doivent sauter au visage de ceux qui ont brûlé cette excellente brochure .

N.B. – J'ai dépossédé les frères jésuites d'un bien assez considérable qu'ils avaient usurpé à six frères tous officiers du roi . Je leur ai prêté sans intérêt tout l'argent nécessaire pour rentrer dans leur héritage . Je crois vous l'avoir mandé . Cela est bien pis que la maladie, la mort, et la vision de frère Berthier . Pour me mettre à l'abri des calomnies de frère Croust et autres, j'écris à un sénateur de Bolonia la grassa 6, mon ami, très bien auprès du pape, grand homme de lettres ; je l'instruis de l'état de la littérature en Gaule , je finis par une belle profession de foi, naturellement et gaiement amenée . C'est une bonne réponse à tous les criailleurs de leur dire, jean-foutre sachez que je suis meilleur chrétien que vous, et meilleur serviteur du roi . C'est alors qu'on est le maître absolu dans ses châteaux .

Il y a une lettre de M. l'archevêque de Lyon à M. l'archevêque de Paris 7. Cette lettre est un livre, et un très bon livre pour ceux qui aiment ces matières, et j'aime tout, tout m'amuse .

Est-il vrai que princes et pairs ont répondu aux gens tenant la cour de parlement qu'ils iront si leur santé le permet ?

Vos nouvelles de paix n'ont aucun fondement . J'en sais plus que vous autres Parisiens .

Interim vale et me ama .8 »

1 L'édition Voltaire à Ferney date successivement le manuscrit de 1770, 1771, 1761 ; mais la lettre est bien de 1760 .

2 Voir lettre du 22 décembre 1760 à Thieriot : ...

3 Les purges domestiques procurent une longue vie . La phrase exacte n'a pas été retrouvée, mais George Cheyne était un partisan convaincu de « l'évacuation par en haut et par en bas » , voir Dr Cheyne's own account of himself and of his writings, 1743 .

5 Pour la brièveté .

6 Voir lettre du 23 décembre 1760 à Albergati Capacelli : ...

7 Voir lettre du 15 décembre 1760 à JR Tronchin : ….

8 Entre temps porte toi bien et aime moi .