16/09/2009
vous les femmes
Une réponse du XXème siècle à Volti qui malgré tout son savoir (lacunaire, comme celui de tous les hommes, il faut bien le reconnaitre ), écoutez Mesdames et vous aussi Messieurs : http://www.youtube.com/watch?v=kGeBTvsfuFM
J'ai d'abord parlé de réponse, car je viens de lire pour mon grand plaisir l'article "F comme Femme" : http://www.monsieurdevoltaire.com/article-36117250.html
En note de cet article instructif, pour le côté normatif , je propose à la CEE, ces différents labels :
- FF = Frêle Femme = "femme normale"
- FFF = Frêle Femme Forte = femme normale avec un compagnon
- FFFF = Frêle Femme Forte Fidèle = femme normale avec compagnon voltairien (ceux qui connaissent le vie de Volti me comprennent )
- FFFFF = Frêle Femme Forte Fidèle Fortunée = no comment !
NDLR : et jeune pendant qu'on peut le demander ( J'ai cru entendre "goujat !!" . Est-ce bien à moi que vous vous adressez, Madame ? ).
Le label 4F vaut la peine d'investir de s'investir . Que celui qui trouve mieux me le fasse savoir !!
Très XVIIIème : La Femme Fidèle :
http://images.google.fr/imgres?imgurl=http://upload.wikim...
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11/09/2009
un prince philosophe, c’est un homme et par conséquent une chose bien rare
Il est venu, nous sommes tous là, même James venu du pied de la montagne. Notre nouvel administrateur est jeune et plein d’allant. Le château va prendre un nouvel élan.
Il aura déjà eu un premier mérite, celui de faire en sorte qu’un collègue arrive à faire un semblant de travail, et que un peu lèche-cul courtisan, il apporte un plat de pâtisseries marocaines avec thé à la menthe ( faites maison, dit-il, mais il n’a pas dit laquelle ;-)). Inutile de vous dire que je déteste ce style carpette (ou tapis de prière pour les plus honorables, ce qu’il n’est pas ).
Bon assez de venin déversé, repensons à des personnes plus estimables, comme ces 98 donneurs de sang, dont un bon nombre de primo-donneurs qui ont répondu favorablement à l’appel lors d’une collecte exceptionnelle hier au centre commercial de Val Thoiry (Thoiry 01710).
http://www.rhonealpes.dondusang.net/#
Je croise les doigts (y compris ceux des pieds ) pour que les donneurs soient encore nombreux lundi 14 septembre à Gex et inaugurent les nouveaux locaux mis à disposition dans l’hopital local (qui fait aussi maison de retraite, ex – hospice où je finirai peut-être mes jours si je deviens gâteux ! ).
"Continuez", ma chère amie, "à m’écrire ces lettres charmantes" : http://www.monsieurdevoltaire.com/article-35934398.html
Et sans transition , juste parce que ça me plait : http://www.dailymotion.com/video/x49i9a_michel-berger-que..., et peut-être aussi à Mamzelle Wagnière ....
« A Berger
Mon cher ami, vous êtes l’homme le plus exact et le plus essentiel que je connaisse. C’est une louange qu’il faut toujours vous donner. Je suis également sensible à vos soins, à vos conseils, à votre exactitude.
J’ai reçu une lettre bien singulière du prince royal de Prusse [datée du 8 août]. Je vous en enverrai une copie. Il m’écrit comme Julien écrivait à Libanius. C’est un prince philosophe, c’est un homme et par conséquent une chose bien rare. Il n’a que vingt-quatre ans ; il méprise le trône et les plaisirs, et n’aime que la science et la vertu. Il m’invite à venir le trouver ; mais je lui mande qu’on ne doit jamais quitter ses amis pour des princes et je reste à Cirey. Si Gresset [Louis Gresset auteur de, entre autres, Vert-Vert, histoire d’un perroquet de Nevers 1734] va à Berlin, apparemment qu’il aime moins ses amis que moi. J’ai envoyé à notre ami Thiriot la réponse de Libanius à Julien [Libanius, professeur de rhétorique, eut Julien pour élève]. Il doit vous la communiquer. Vous aurez incessamment la préface ou plutôt l’avertissement de Linant, puisque ni vous ni Thiriot n’avez voulu faire la préface de La Henriade [pour l’édition de 1737, portant l’adresse de Londres qui comportera effectivement une préface de Linant ]. Continuez, mon cher ami, à m’écrire ces lettres charmantes qui valent bien mieux que des préfaces. Embrassez pour moi les Crébillon, les Bernard et les la Bruère [sans doute Leclerc de La Bruère]. Adieu.
Voltaire
A Cirey, le 10 septembre 1736. »
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09/09/2009
Il y a prodigieusement de baïonnettes et fort peu de livres.
Aujourd’hui, petit passage par les mains de la coiffeuse, juste le temps de constater que j’ai décidément un front des troupes pileuses qui recule (sans peur et en ordre régulier ) et une tendance à passer de la couleur au noir et blanc (heureusement, je ne passe pas par le sépia, trop pisseux pour une tignasse ! ).
Et instinctivement me vient en tête ceci : http://www.dailymotion.com/video/xd396_brassens-quand-on-...
et le commentaire du titre de cette note : quand le budget de l'armée sera-t-il inférieur à celui de l'éducation et de la culture ?
Je crois que je serai chauve comme le capot d'une Twingo ou mes cendres dispersées à tous les vents lorsque celà arrivera, je le crains . Je parle pour la France, je n'ose envisager cette hypothèse pour l'Iran, la Palestine, Israël ou le Pakistan ( je ne peux pas nommer tous les pays du monde, j'y serai encore demain !)...
Au ciel ce gaillard là doit chanter quelques poêmes de Volti dédiés à de jolies femmes ! Je suis prêt à prendre les paris !...
« A Jean Le Rond d’Alembert
de l’Académie des Sciences etc.
Vraiment, Monsieur, c’est à vous à dire :
Je rendrai grâce au ciel, et resterai dans Rome [Rome sauvée].
Quand je parle de rendre grâce au ciel, ce n’est pas du bien qu’on vous a fait dans votre patrie, mais de celui que vous lui faites. Vous, et M. Diderot, vous faites un ouvrage qui sera la gloire de la France, et la honte de ceux qui vous ont traversés [l’Encyclopédie a été condamnée]. Paris abonde de barbouilleurs de papier, mais de philosophes éloquents je ne connais que vous et lui. Il est vrai qu’un tel ouvrage devait être fait loin des sots et des fanatiques sous les yeux d’un roi aussi philosophe que vous, mais les secours manquent ici totalement. Il y a prodigieusement de baïonnettes et fort peu de livres. Le roi a fort embelli Sparte, mais il n’a transporté Athènes que dans son cabinet ; et il faut avouer que ce n’est qu’à Paris que vous pouvez achever cette grande entreprise. J’ai assez bonne opinion du ministère pour espérer que vous ne serez pas réduit à ne trouver que dans vous-même la récompense d’un travail si utile.
J’ai le bonheur d’avoir chez moi l’abbé de Prades, et j’espère que le Roi, à son retour de Silésie, lui apportera les provisions d’un bon bénéfice [le 18 juillet V* écrit à l’abbé que le roi lui a promis « le premier bénéfice vacant en Silésie »]. Il ne s’attendait pas à ce que sa thèse dût le faire vivre du bien de l’Église, quand elle lui attirait de si violentes persécutions [Jean-Martin de Prades avait soutenu en Sorbonne une thèse intitulée « Jerusalem coelesti, quaestio theologica : Quis es ille, cuius in faciem deus inspirauit spiraculum uitae ? L’université avait accepté la thèse, puis était revenue sur sa décision quand de Prades avait été attaqué par l’Eglise et par le parlement qui condamna la thèse au feu . Il s’était alors enfui en Hollande puis en Prusse.]. Vous voyez que cette Église est comme la lance d’Achille qui guérissait les blessures qu’elle avait faites. Heureusement les bénéfices ne sont point en Silésie à la nomination de Boyer ni de Couturier [dans une note ajoutée au Mondain, V* accuse Couturier, prêtre ami du cardinal de Fleury, d’avoir contribué à faire condamner Le Mondain et de l’avoir ainsi obligé à fuir]. Je ne sais pas si l’abbé de Prades est hérétique, mais il me parait honnête homme, aimable et gai.
Comme je suis toujours très malade, il pourra bien m’exhorter à mon agonie, il l’égayera et ne me demandera point de billet de confession. Adieu, Monsieur ; s’il y a peu de Socrate en France, il y a trop d’Anitus et de Melitus [accusateurs de Socrate], et surtout trop de sots. Mais je veux faire comme Dieu qui pardonnait à Sodome en faveur de cinq justes. Je vous embrasse de tout mon cœur.
Voltaire
A Potsdam, 9 septembre 1752. »
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08/09/2009
On dit que Satan était dans l’amphithéâtre
« Hymne ( !-)) » à la liberté ? Pour bien débuter ou finir une journée de travail :
http://www.lacoccinelle.net/traduction-chanson-1548-.html
A fond dans sur ma trottinette, cet air là vous décolle la pulpe !! Yeah !!
L’heure fatale de la dernière visite guidée de la saison est passée.
Ce n’est pas celle qui me laissera le plus de plaisir au cœur ; mais je suis égoïste ! Il suffit que mes visiteurs curieux, eux, en gardent un bon souvenir , y compris ce trio très désinvolte –deux jeunes hommes et une très jeune femme charmante (note de la rédaction : agréable à regarder )- qui ont eu quelques moments d’attention (et moi, ému, dans mon émoi, ai failli avoir des moments d’inattention ! ).
Volets fermés, derniers comptes faits, dès demain ce sont mes deux camarades qui vont mener les amateurs vers Volti . Sauf accident, je ne reviendrai que pour les Journées du Patrimoine des 19 et 20 septembre . Vu l’affluence de ces jours-ci, pas de visites guidées, simple rôle de mine de renseignements et surveillance .
« A Charles-Augustin Ferriol, comte d’Argental
Envoyé de Parme, conseiller d’honneur du parlement, rue de la Sourdière à Paris
Et à Jeanne –Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d’Argental
Mon divin ange, vous êtes le meilleur général de l’Europe. Il faut que vous ayez bien disposé vos troupes pour gagner cette bataille [celle de la première représentation de Tancrède le 3 septembre]; on dit que l’armée ennemie était considérable. Déborah Clairon a donc vaincu les ennemis des fidèles. On dit que Satan était dans l’amphithéâtre sous la figure de Fréron, et qu’une larme d’une dame étant tombée sur le nez du malheureux fit : psh phs, comme si ç’avait été eau bénite !
Ajoutez à vos bontés, mon cher ange, celle de vouloir bien me faire tenir les corrections, retranchements, additions que vous avez faits à l’ouvrage. Il est absolument nécessaire que la pièce s’imprime bientôt. Je soupçonne qu’il y en a déjà une édition furtive. Vous savez que j’avais ci-devant proposé à madame la marquise une dédicace. Je ne peux honnêtement pas oublier ma parole. J’écris au protecteur M. le duc de Choiseul, protecteur que je vous dois, et je le prie de savoir de madame la marquise si elle accepte l’épître [Mme de Pompadour écrira à Malesherbes le 4 septembre : « J’ai permis à Voltaire… de me dédier Tancrède, parce que je le connais depuis vingt cinq ans… Les lignes que j’ai soulignées n’étaient pas à (l’épître) qu’il m'avait envoyée. Je pense qu’il faut les supprimer à l’impression… parce qu’elles rappellent des crimes trop funestes et trop honteux à la nation. » Choiseul le 19 septembre écrira à V* : « Je vous renvoie l’épître dédicatoire… telle qu’on la veut ; on y ajoute la condition que … il n’y aura point de préface à la pièce, parce qu’on ne veut pas absolument être compromis… »]. Vous connaissez le ton de mes dédicaces ; elles sont un peu hardies, un peu philosophiques. Je tâche de les faire instructives. Si on les veut de cette espèce je suis prêt, sinon point de dédicace.
Madame Scaliger [Mme d’Argental], vous avez sans doute taillé et rogné. Vous avez fait des vôtres. Si la pièce vaut quelque chose, ma foi je la dois à vos critiques scaligériennes. Étiez-vous là, Madame ? Dites donc aux acteurs des deux premiers actes qu’ils ne soient pas si froids et si familiers.
Des longueurs ! mon cher ange, c’est dans ma lettre de remerciement qu’il y aurait des longueurs, si j’avais un moment à moi. Comment pourrais-je finir ! Je vous dois tout. Je baise le bout de vos ailes avec des transports de reconnaissance.
V.
8 septembre 1760.
On dit que la lettre du roi Stanislas a fait impression sur l’esprit de monseigneur le dauphin. Le roi de Pologne m’a remercié de sa main avec la plus grande bonté.
Nous venons de répéter Tancrède avec Mme Denis. Je parie, et même contre vous, que Mlle Clairon ne joue pas si bien le quatrième acte.
N.B. – Moi père, je fais pleurer. Que Brizard en fasse autant – je l’en défie. Il ne peut tomber de ses yeux que de la neige.
21:58 | Lien permanent | Commentaires (0)
06/09/2009
je la kiffe grave
http://www.youtube.com/watch?v=zvP3FJfPgx8&feature=re...
Je suis prêt à l'écouter en boucle ce charmant et extraordinaire Bourvil et cette version vidéo je la kiffe grave .
Du plus loufoque au plus tendre, comme Volti allant du plaisant au tragique, du rire au drame, un vivant parmi les humains ses frères .
En fermant les volets du chateau de Volti, ce soir, j'ai réalisé qu'il ne me reste plus que trois visites à guider avant la fin de cette saison. Malheur !
A qui vais-je parler de Volti ?
Il y a la solitude devant la page blanche ; je vais retrouver, comme après la saison 2008, la solitude du château vide .
Ce jour, des enfants, russes, français, US, suisses . Que retiendront-ils de cette visite ?
Auront-ils envie d'y revenir ? C'est mon voeu.
Aux parents qui craignent parfois que les cris de leurs enfants me dérangent je dis que Volti aurait aimé être père et que quelques cris d'enfants dans son château sont malgré tout bienvenus (dans la limite du raisonnable pour les autres visiteurs, of course ! ) et que je n'ai qu'à hausser le ton .
Consolation, la possibilité des visites de groupes hors-saison .
Notez-le : ferney-voltaire@monuments-nationaux.fr
Faites-vous plaisir ! Venez nombreux !
21:48 | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : voltaire, bourvil, bal
04/09/2009
ce sont mes mains qui ont travaillé
Loué soit Dieu, Dieu est Bach, et Glenn Gould est son prophète.
http://www.youtube.com/watch?v=wyOf_L4cNHc&NR=1
Bonheur ! et comment ne pas se réjouir d’avoir deux oreilles et un petit plus entre les deux !
Allez, je ne peux résister , fermez les yeux, battez la mesure (pas votre chat !), dansez tendrement et redemandez-en !
http://www.youtube.com/watch?v=buq-p8vSCLQ&feature=re...
« A Louise-Honorine Crozat du Châtel, duchesse de Choiseul
Madame Gargantua, [le 11 septembre il expliquera à Mme Denis : «… pour qu’elle eût le premier bas de soie qu’on ait fait dans le pays de Gex, et pour que son mari qui fait bientôt bâtir sa ville de Versoix vît qu’on peut établir des manufacturiers dans sa colonie… j’avais demandé à Mme de Choiseul, qu’on dit posséder le plus joli et le plus petit pied du monde, un de ses souliers pour prendre juste ma mesure. Elle m’a envoyé un soulier de treize pieds de long. Je l’ai appelée Mme Gargantua ( et je lui ai envoyé des bas pour les enfants de Mme Gigogne.) »]
Pardon de la liberté grande, mais comme j’ai appris que monseigneur votre époux forme une colonie dans les neiges de mon voisinage [Versoix], j’ai cru devoir vous monter à tous deux ce que notre climat qui passe pour celui de la Sibérie sept mois de l’année peut produire d’utile.
Ce sont mes vers à soie qui m’ont donné de quoi faire ces bas, ce sont mes mains qui ont travaillé à les fabriquer chez moi avec les fils de Calas ; ce sont les premiers bas qu’on ait faits dans le pays.
Daignez les mettre, Madame, une seule fois, montrez ensuite vos jambes à qui vous voudrez, et si on n’avoue pas que ma soie est plus forte et plus belle que celle de Provence et d’Italie, je renonce au métier. Donnez-les ensuite à une de vos femmes, ils lui dureront un an.
Il faut donc que monseigneur votre époux soit bien persuadé qu’il n’y a point de pays si disgracié de la nature qu’on ne puisse en tirer parti.
Je me mets à vos pieds, j’ai sur eux des desseins ;
Je les prie humblement de m’accorder la joie
De les avoir logés dans ces mailles de soie
Qu’au milieu des frimas, je formai de mes mains.
Si La Fontaine a dit : Déchaussons ce que j’aime [dans La Courtisane amoureuse],
J’ose prendre un plus noble soin ;
Mais il vaudrait bien mieux, j’en juge par moi-même,
Vous contempler de près que vous chausser de loin.
Vous verrez, Madame Gargantua, que j’ai pris tout juste la mesure de votre soulier. Je ne suis fait pour contempler ni vos yeux ni vos pieds mais je suis tout fier de vous présenter de la soie de mon cru.
Si jamais il arrive un temps de disette, je vous enverrai dans un cornet de papier du blé que je sème et vous verrez si je ne suis pas un bon agriculteur digne de votre protection.
On dit que vous avez reçu parfaitement un petit médecin de notre colonie [Coste, que V* avait envoyé à Choiseul en avril fut très bien accueilli : on l’invita et on lui fit donner de gros appointements.], mais un laboureur est bien plus utile qu’un médecin. Je ne suis plus typographe [il se disait le typographe Guillemet dans ses lettres antérieures], je me donne entièrement à l’agriculture depuis le poème des Saisons de M. de Saint Lambert. Cependant s’il restait quelque chose de bien philosophique qui puisse vous amuser, je serai toujours à vos ordres.
Agréez, Madame, le profond respect de votre ancien colporteur, laboureur et manufacturier
Guillemet.
Ferney, 4 septembre 1769. »
Gigogne : ref : http://littre.reverso.net/dictionnaire-francais/definitio...
Et comme je viens d'avoir de bonnes nouvelles de Mamzelle Wagnière , j'ai une joie à faire partager : http://www.youtube.com/watch?v=BywaOxQna6E&feature=fvw
21:12 | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : voltaire, choiseul, gex, versoix, calas, bas, blé
03/09/2009
Sot que je suis (du verbe suivre ou du verbe être ?)
Quand on n'a pas de tête il faut avoir des jambes ? non,... se soigner comme ceux que vous allez voir et écouter : musique, copains, bons petits canons ,...
http://www.dailymotion.com/relevance/search/elek+bacsik/v...
"All the things you are" , du jazz comme je l'aime, avec un Elek Backsik (mort trop tôt ) et un Gains-bar-tabac (bien garni), sans oublier un bassiste qui garde le tempo sans mollir.
Et puis pour ma fille, qui est une fan du mal rasé génial , touchant et provocant :
http://www.dailymotion.com/relevance/search/gainsbourg/vi...
A+ ( selon mon groupe je devrais mettre O+, tout "au plus" )
19:47 | Lien permanent | Commentaires (0)