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Rechercher : Tâchez de vous procurer cet écrit; il n'est pas orthodoxe, mais il est très bien raisonné

Vous êtes dans le temple de la discorde, tandis que je suis dans celui de la paix

... Entendez-vous politiciens de tout poil ? Il est bon d'être en compagnie de Voltaire et loin des lanceurs (maladroits) d'oeufs . Qui lance un oeuf lance un boeuf  donc éviter de fréquenter les foires aux bestiaux .

PS- Mes félicitations à la poule, l'oeuf n'a pas éclaté .

https://www.youtube.com/watch?v=t_8EhlQxP4w

 

 

« Au chevalier Pierre de Taulès

À Ferney, 3 juillet [1766]

Voulez-vous bien, monsieur, que je vous adresse cette réponse que je dois à M. Thomas 1 ? Je crois que je l’aime autant que vous l’aimez, sans que je l’aie jamais vu. Vous êtes dans le temple de la discorde, tandis que je suis dans celui de la paix : mais je quitterais volontiers mon temple pour venir vous embrasser dans le vôtre, si j’avais une heure de santé. Donnez-moi la consolation, je vous en prie, de présenter mes respectueux hommages à monsieur l’Ambassadeur : je me flatte que sa santé est entièrement raffermie, et qu’il a, comme vous, un corps digne de son âme ; la mienne, toute languissante qu’elle est, vous est bien véritablement attachée. »

1 Cette lettre à Thomas est perdue .

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28/09/2021 | Lien permanent

Je tâcherai de faire de que vous me demandez, mais il faudra probablement attendre un peu de temps

... A l'heure d'un remaniement gouvernemental, il est fort probable que les mieux intentionnés des futurs élus peuvent penser ainsi . Je dis bien , "les mieux intentionnés", pour les autres, je ne réponds de rien . A suivre ...

Quant à Christophe Castaner, saura-t-il se taire en temps utile et avoir un peu plus de jugeotte que dans son emploi mal tenu de porte-parole du gouvernement ?

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Un roi de la diagonale

 

 

« A Joseph-Marie Balleidier, Procureur

à Gex

7è janvier 1763, à Ferney 1

Je tâcherai de faire de que vous me demandez, mais il faudra probablement attendre un peu de temps . Je me ferai une vrai plaisir de vous obliger ; mais en attendant, il faut que vous m'obligiez .

Vuaillet ne m'a point rendu les provisions de Tournay ; je ne sais s'il était procureur général de cette terre, ou s'il y avait quelque autre emploi ; en un mot, il faut que je sois bien sûr qu'il ne me demande rien, que je ne lui dois rien, sinon, je le ferai incessamment assigner pour le paiement des mille écus qu'il me doit ; il n'en a pas bien usé avec moi, et je ne veux pas qu'on me manque .

Pourriez-vous me faire l’amitié de demander au grenier à sel combien on a fourni de sel pour le château de Ferney cette année passée 1762 ? on m'en compte si prodigieusement que je ne puis croire que j'en aie consommé cette quantité . Je ne demande cette information qu’en cas qu'elle soit dans la règle, et qu’on tienne registre des délivrances . »

1 Sur le manuscrit original, le dernier paragraphe est autographe . Quelques mots de cette lettre, sous une date erronée, sont cités par Vézinet A.

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20/11/2017 | Lien permanent

Tous les chefs de l’État, lassés de ces ravages, Cherchent un port tranquille après tant de naufrages

... Si au moins ces vers étaient notre réalité, on pourrait être plus optimiste pour l'avenir de nos enfants et petits enfants !

Les tutos de la croisière - préparez-vous à naviguer

Nos pays sont-ils des Titanic ?

 

 

« A Mme Nicolas-Bonaventure Duchesne 1

Au château de Ferney, par Genève, 30 novembre 1765

M. de Voltaire ayant lu la tragédie intitulée Adélaïde du Guesclin, que Mme Duchesne a imprimée, la prie très instamment d’ajouter à la pièce la feuille qu’il lui envoie. Il est de l’intérêt de Mme Duchesne de faire cette addition. Il lui fait ses compliments.

L’auteur, en lisant cette pièce dont il n’a pu ni voir la représentation ni conduire l’impression, a été étonné d’y trouver des vers qui non-seulement ne sont pas de lui, mais que même il ne peut entendre.

On trouve à la page 30 :

Non, c’est pour obtenir une paix nécessaire.
Gardez d’être réduit au hasard dangereux
Que les chefs de l’État ne trahissent leurs vœux.

Il ne sait ni de quels chefs de l’État, ni de quels vœux on veut parler : ce vers ne lui a pas paru intelligible. Apparemment que les comédiens ayant fait ce qu’ils appellent des coupures, ils ont fait aussi ce vers, que l’auteur ne comprend pas.

Il y a dans son manuscrit :

Non, c’est pour obtenir une paix nécessaire.
Les Anglais la feront, et peut-être sans vous.
Laissez à l’intérêt désarmer le courroux.
Tous les chefs de l’État, lassés de ces ravages,
Cherchent un port tranquille après tant de naufrages.
Ne vous exposez point au hasard dangereux
De vous voir ou trahir ou prévenir par eux.

L’habitude où sont les acteurs de faire ainsi des changements à la plupart des pièces qu’ils jouent les oblige quelquefois à gâter le style. On ne s’en aperçoit pas à la représentation ; les libraires impriment sur la copie qui est entre les mains des comédiens, de sorte qu’une pièce tolérée au théâtre devient très défectueuse à la lecture ; ce qui fait tort également à l’intérêt de l’éditeur et au soin que tout écrivain doit avoir de son art, quelque peu de cas qu’il fasse de ses ouvrages.

Cet avertissement est indispensable. »

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29/03/2021 | Lien permanent

Enfin hier, ne faisant plus de contes,... au lieu de fatiguer les conjurés de quantité de petites corrections qu’il faud

... Que tous les parlementaires en prennent de la graine et donnent des textes de lois compréhensibles et non noyés par des amendements foireux .

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'ArgentaI

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

11è janvier 1764

Je ne sais qui me tient que je ne … me plaigne de mes anges ; si je m’en croyais, je ferais… des remontrances à mes anges ; je leur dirais… leur fait. Mais je veux bien encore suspendre mon juste courroux pour cette poste . Je fais plus :

Je t’ai comblé de vers, je t’en veux accabler.1

Je me suis aperçu que le cinquième acte de leur conspiration demandait encore quelques touches, qu’il y avait des morceaux trop brusques qui n’avaient pas leur rondeur nécessaire ; que quelques vers étaient faibles, trop peu énergiques, trop communs. Je me suis souvenu surtout que mes anges, dans le temps qu’ils m’aimaient, dans le temps qu’ils m’écrivaient, me disaient que Julie, en parlant à Octave, ressemblerait trop à Julie parlant à Néron 2. Enfin hier, ne faisant plus de contes, je repris ce cinquième acte en sous-œuvre, et, au lieu de fatiguer les conjurés de quantité de petites corrections qu’il faudrait porter sur leur ancien exemplaire, je leur envoie un cinquième acte bien propre. Mais que les conjurés prennent bien garde, qu’ils se souviennent qu’on connaît l’écriture de mon secrétaire, et qu’ils risqueraient d’être découverts ! Ainsi, selon leur grande prudence, ils feront transcrire le tout par une main inconnue et fidèle, ou, s’ils veulent, je leur en ferai faire une autre copie. Mais selon leur grande indifférence, ils me laissent dans ma grande ignorance sur tout ce que je leur ai demandé, sur les paquets que je leur ai envoyés, sur leur santé, sur leurs bontés, sur la Gazette littéraire, sur un paquet qui est venu pour moi d’Angleterre, à l’adresse de M. le duc de Praslin.

Respect, tendresse, et douleur.

V. »

1 Adapté de Corneille dans Cinna, V, 3.

2 Dans Britannicus .

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16/01/2019 | Lien permanent

Il y aura toujours de l'ignorance, de la sottise, et de l'envie, dans ma patrie; mais il y aura toujours aussi de la sci

... Reste à savoir la proportion de chacun des ingrédients cités .

 

 

« Au prince Dmitri Mikhaïlovitch Golitsin

14 auguste 1767, à Ferney

Monsieur le prince,

Je vois, par les lettres dont Sa Majesté impériale et Votre Excellence m'honorent, combien votre nation s'élève, et je crains que la nôtre ne commence à dégénérer à quelques égards. L'impératrice daigne traduire elle-même le chapitre de Bélisaire que quelques hommes de collège calomnient à Paris. Nous serions couverts d'opprobre si tous les honnêtes gens, dont le nombre est très grand en France, ne s'élevaient pas hautement contre ces turpitudes pédantesques. Il y aura toujours de l'ignorance, de la sottise, et de l'envie, dans ma patrie; mais il y aura toujours aussi de la science et du bon goût. J'ose vous dire même qu'en général nos principaux militaires et ce qui compose le Conseil, les conseillers d'État et les maîtres des requêtes, sont plus éclairés qu'ils ne l'étaient dans le beau siècle de Louis XIV. Les grands talents sont rares, mais la science et la raison sont communes. Je vois avec plaisir qu'il se forme dans l'Europe une république immense d'esprits cultivés. La lumière se communique de tous les côtés. Il me vient souvent du Nord des choses qui m'étonnent. Il s'est fait, depuis environ quinze ans, une révolution dans les esprits qui fera une grande époque. Les cris des pédants annoncent ce grand changement comme les croassements des corbeaux annoncent le beau temps.

Je ne connais point le livre 11 dont vous me faites l'honneur de me parler. J'ai bien de la peine à croire que l'auteur, en évitant les fautes où peut être tombé M. de Montesquieu, soit au-dessus de lui dans les endroits où ce brillant génie a raison . Je ferai venir son livre; en attendant, je félicite l'auteur d'être auprès d'une souveraine qui favorise tous les talents étrangers, et qui en fait naître dans ses États. Mais c'est vous surtout, monsieur, que je félicite de la représenter si bien à Paris.

J'ai l'honneur, etc. »

1 Le livre de Le Mercier de La Rivière ; voir la lettre du 8 août 1767 à Damilaville : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2023/03/29/je-vous-l-avais-bien-dit-qu-il-fallait-passer-sa-vie-a-comba-6435778.html

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31/03/2023 | Lien permanent

Quiconque s'est emparé d'un coffre sans formalité, l'a gardé chez lui et l'a rendu sans formalité, est tenu de restituer

... No comment !

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« A Cosimo Alessandro Collini

gouverneur

de monsieur le comte de Bauer

à Strasbourg

Je viens d'écrire la lettre la plus pressante et faire votre panégyrique à Mgr l’Électeur palatin .1

Si cela réussit, vous serez encor plus à portée de vous faire rendre justice à Francfort . J'ai consulté beaucoup de gens de loi . Quiconque s'est emparé d'un coffre sans formalité, l'a gardé chez lui et l'a rendu sans formalité, est tenu de restituer les effets, s'ils sont répétés 2. C'est la décision commune, et c'est votre cas . On prétend qu'il n'y a nulle difficulté . Si je pouvais quitter mes ouvriers, j’irais à Francfort avec vous . Je vous embrasse .

V.

9 février [1759] »

1 V* est toujours à la recherche d'une place pour son ancien secrétaire . Le 5 janvier 1759 c'est Mme Denis qui écrit à Collini : « […] mon oncle […] me dit qu'il a écrit plusieurs fois, qu'il ne se lassera point . Mais jusqu'à présent il n'y a point de place vacante chez l'Electeur [ …] . J'avais proposé à mon oncle d'essayer chez Mme de Gotha . Si la guerre finissait peut-être cela deviendrait-il praticable . »

2 Terme juridique pour réclamés .

 

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02/03/2014 | Lien permanent

Si on voulait éplucher tous les faux rapports , et les petites accusations, et les redites, et les minuties de la sottis

... Or je tiens beaucoup à respecter ces deux fonctions aussi longtemps que possible, aussi n'éplucherè-je pas la presse ce jour . Le saint Esprit saura sur qui tomber, sans mon avis, et heureusement .

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« Au baron Albrecht von Haller 1

Je renvoie à Monsieur Haller la lettre signée Resche . Je n'ai en aucune manière l'honneur de connaître qui a écrit cette lettre . Il se peut faire que quelqu'un m’ait mandé il y a plusieurs mois qu'un homme dont le nom a quelque rapport avec celui-là, s'était mêlé de quelques tracasseries dont je n'ai qu'une connaissance très imparfaite, mais je n'ai fait aucune attention à toutes ces pauvretés . On a dans ce monde autre chose à faire qu'à s'occuper de ces niaiseries . Si on voulait éplucher tous les faux rapports , et les petites accusations, et les redites, et les minuties de la sottise humaine , on n'aurait le temps ni de manger ni de dormir . Il faut que chacun songe à soi dans notre petit pèlerinage, et laisser les autres en paix . Je crois que monsieur Haller pense comme moi . Je lui présente mes obéissances .

V.

Aux Délices 17 avril [1759] »

1 La lettre présente a été écrite par V* à la quatrième page d'une lettre de Jean-Pierre Le Resche à Haller , que ce dernier avait envoyée à V* (voir sa lettre du 11 avril 1759 ) . Dans cette lettre datée de Chèbres, 24 mars 1759, Le Resche se plaint que sa réputation ait été attaquée par V* et qu'il lui a écrit sans obtenir de réponse . Il fait aussi état d'une lettre qu'il avait mise à la poste pour les éditeurs du Mercure et qui, finalement, n'a pas été envoyée, à la demande de Haller .

 

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08/06/2014 | Lien permanent

les deux seuls exemplaires qui me restent de la Lettre à la noblesse du Gévaudan




 

 

« A Joseph Vasselier


19è auguste 1773, à Ferney


Je vous envoie, mon cher ami, les deux seuls exemplaires qui me restent de la Lettre à la noblesse du Gévaudan [1]. Je vous en enverrai d'autres dès que j'en aurai.


Je vous supplie de donner cours à ceux qui sont adressés aux gentilshommes qui ont écrit en faveur de M. de Morangiès. »

 

1 Lettre de Voltaire à Messieurs de la noblesse du Gévaudan, qui ont écrit en faveur de M. le comte de Morangiès , 10 août 1773.

http://books.google.be/books?id=bqMGAAAAQAAJ&pg=PA263...

 

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19/08/2010 | Lien permanent

J'ai essayé de faire l'inscription en deux vers de plusieurs manières . Je n'ai été content d'aucune

... Ô Parcoursup ! supplice de la question ! quels aveux attends-tu de tous ces bacheliers qui veulent se dédier à des études en col blanc, dédaignant tout apprentissage de métier manuel dont on a pourtant infiniment plus besoin que d'experts commerciaux ?

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Culture Mc Do ! quand tu nous tiens ...

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

3 septembre [1763] 1

J'ai essayé de faire l'inscription 2 en deux vers de plusieurs manières . Je n'ai été content d'aucune .

Il y a assez d'espace sur le piédestal pour quatre vers en faisant les lettres un peu plus petites .

Je crois que l'inscription suivante conviendrait assez :

Esclaves prosternés 3 sous un roi conquérant

De vos pleurs arrosez la terre 4.

Levez-vous citoyens, sous un roi bienfaisant,

Enfants bénissez votre père .

J'ai déjà écrit à M. Pigalle 5. Je prie M. Thieriot de lui faire mes très humbles compliments . »

1 L'édition Lettres inédites donne cette lettre pour Thiriot ; l''erreur est corrigée par Clogenson . Pour le quantième, , 4 est corrigé en 3 sur le manuscrit .

3 V* a d'abord écrit accablés .

4 On trouve, biffé : Prosternez-vous, frappez la terre .

5 Lettre déjà citée ci-dessus, à moins qu'il ne s'agisse d'un billet pour lui envoyer le quatrain et qui ne nous serait pas parvenu .

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30/08/2018 | Lien permanent

On applaudit aujourd'hui aux opérations de finances, mais quand les bourgeois de Paris et de Lyon se verront obligés de

... C'est un cri universel et qui a franchi les siècles jusqu'à nos jours , à l'égal du Big bang . En attendant le Big crunch .

 

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 Pousser de très hauts cris

 

« A Jean-Robert Tronchin

à Lyon

12 mai 1759 aux Délices

Vraiment, monsieur, il ne s'agit point ici de bagatelles . Il n'y [est] point question d'environ deux ou trois cent mille malheureux francs de France, ni de nouveaux domaines à payer . Il s'agit de casse ; vingt livres de casse sont un objet plus important pour moi que vingt mille livres d'annuités ou de billets de loterie ; je me plaindrai à M. Tronchin le docteur, il lavera furieusement la tête de l'infâme droguiste qui a envoyé des bâtons de casse vides et pourris . De bonne casse est bonne, dit Molière 1, mais de mauvaise casse est une chose affreuse . N'allez pas croire au moins mon cher ami que je m'en prenne à vous, je vous rends trop justice ; je sais bien que vous ne vous connaissez point en casse aussi bien que moi, je sens avec joie ce petit avantage que j'ai sur vous .

À l'égard des juments dont j'ai eu l'honneur de vous parler, je vous réitère ma très humble prière, attendu que je ne ferai jamais de reproche à votre marchand de chevaux, comme j'en fais à votre apothicaire ; je ne suis point pressé de mes deux juments, elles seront bien reçues en mai, en juin, en juillet, en quelque temps qu'elles viennent, et quand elles arriveront bridées, embouchées, avec harnais de carrosse et harnais de trait, elles seront mieux reçues encore, le tout à votre commodité, mon cher monsieur, et à condition que vous m'avouerez que je suis le plus fatigant de tous les correspondants ; on dit que la grande affaire du petit Boudon ne va pas trop bien . On applaudit aujourd'hui aux opérations de finances, mais quand les bourgeois de Paris et de Lyon se verront obligés de payer la taille vous verrez qu'ils jetteront les hauts cris .

Le roi de Prusse me mande du 22 avril qu'il croit avoir ruiné les projets des Autrichiens pour toute la campagne 2. Il y a grande apparence qu’en effet on leur a détruit d'immenses magasins .

Les colimaçons détruisent tout aux Délices . Les rois et limaçons font grand mal cette année .

Je vous embrasse .

V. »

1 Dans Le Malade imaginaire , ac. III, sc, 1 ; http://www.toutmoliere.net/acte-3,405452.html

 

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27/06/2014 | Lien permanent

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