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26/12/2024

J'ai un besoin pressant de cent louis d'or

... C'est le leitmotiv des nouveaux ministres qui plaident pour leurs projets . Qui va leur dire que le père Noël est en RTT jusqu'au 24 décembre 2025 et que Melchior et son or, avec ses deux compères Rois Mages , eux, sont bloqués pour un temps infini par Netanyahou et ses bombes . A l'est, rien de nouveau , ça saigne à tout va !

Pour les autres besoins pressants, aller au premier étage, fond du couloir, à droite et à gauche , selon sexe et appartenance politique .

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https://www.artmajeur.com/pjannin/en/artworks/3379855/a-l...

 

 

« A Guillaume-Claude de Laleu, Secrétaire

du roi, Notaire

rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie

à Paris

Je suis obligé, monsieur, d'avoir encore recours à vos bontés . J'ai un besoin pressant de cent louis d'or ; je vous prie de me permettre de les tirer sur vous . Ce sera la dernière fois probablement que je vous importunerai par ces petites lettres de change de traverse . Je m'arrangerai incessamment avec ma famille de façon qu'il y aura une règle, et que je n'aurai plus qu'à vous témoigner ma reconnaissance .

J'ai l’honneur d'être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire.

A Ferney 29è juin 1769.1 »

1 Original signé, cachet « de Lyon ».

En même temps, V* tirait la lettre de change suivante : « Je vous prie, monsieur, de vouloir bien payer à l'ordre de M. Bontemps de Genève, au commencement du mois de juillet, la somme de deux mille quatre cents livres, valeur entendue ; / Votre très humble et très obéissant serviteur : Voltaire. / A Ferney 29è juin 1769 . / A monsieur de Laleu / Secrétaire du roi, Notaire / rue Sainte-Croix-de-la-Bretonnerie / à Paris. » Endos : « Payez à l'ordre de MM. Thellusson Necker et Cie / pour acquit / Thellusson Necker et Cie. »

25/12/2024

il ne m'a rien écrit au sujet de ces arrangements qu'il voulait faire

... dit Jean Garrigues avant d'écrire cet article sur Emmanuel Macron "président jupitérien" ; à voir : https://www.lemonde.fr/idees/article/2024/12/25/le-chef-d...

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Sa tentative d'arrangement la plus récente

https://fr.pinterest.com/pin/pinterest--716283515714618968/

 

 

« A Charles-Henri-Chrétien Rosé à Colmar

28è juin 1769 à Ferney

Vous avez sans doute, monsieur, remis à M. Jeanmaire les sept mille livres de mon quartier échu le dernier de mars, et dont il doit me tenir compte pour un arrangement qu'il m'avait proposé . Mais non seulement il ne m'en a point accusé réception, mais il ne m'a rien écrit au sujet de ces arrangements qu'il voulait faire . Je vous prie d'avoir la bonté de me mander si vous lui avez payé pour moi ces sept mille livres . Je vous prie aussi de n'adresser qu'à moi le quartier qui va échoir le dernier jour de juin ; je vous serai très obligé .

J'ai l'honneur d'être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire. »

Ne doutez pas, monsieur, que je ne fasse tout ce qui dépendra de moi pour faciliter votre entreprise

... Serait-ce de la part des ministres pour Bayrou un exemple de l'esprit de Noël ?

Joyeux Noël à tous, et d'abord à ceux qui me lisent et suivent mon maître Voltaire .

 

 

« A Jacques Lacombe

Libraire rue Christine

à Paris

Je n'ai pas, ce me semble, assez remercié mon commentateur . Il faut que je lui dise combien je lui suis obligé de l'honneur qu'il me fait . Ne doutez pas, monsieur, que je ne fasse tout ce qui dépendra de moi pour faciliter votre entreprise .

N. B. Je vous prie instamment, quand vous imprimerez dans votre Mercure la lettre à l'auteur des Éphémérides sur M. de Saint-Lambert 1, de faire corriger cette ligne au commencement de la lettre :

Vous ne ressemblez pas à celui qui fournit des nouvelles de Paris à la gazette suisse.

Corrigez :

Vous ne ressemblez pas à celui qui fournit des nouvelles de Paris à quelques gazettes étrangères .

Votre très humble et très obéissant serviteur et ami .

V.

29 juin [1769].2 »

1 Lettre du 7 juin 1769 à Dupont de Nemours : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/12/09/le-gouvernement-nous-doit-toute-sa-protection-c-est-un-crime-de-lese-humani.html

La modification demandée ne fut pas apportée .

2 Original, formule et date autographes, contresigné « Marin » . Les mots rue Christine, dans l'adresse sont ajoutés par Marin.

24/12/2024

J'apprends que vous avez soutenu en dernier lieu les droits de la compagnie souveraine à la tête de laquelle vous êtes

... Hosannah ! il est né le nouveau gouvernement  !

Bayrou , sans péridurale, en a enfin accouché et ce n'est pas sans grincements de dents que je vois encore la malhonnête Rachida Dati rester ministre de la Culture . Le copinage a encore de beaux jours chez nos politiques . Si jamais elle vient au château de Ferney , dès l'entrée Voltaire lui mettra le nez dans sa corruption et son trafic d'influence : https://www.francetvinfo.fr/politique/rachida-dati/enquet...

Voir le nouveau gouvernement : https://www.info.gouv.fr/actualite/la-composition-du-gouvernement-de-francois-bayrou

 

 

 

« A Aymard-Jean de Nicolay, marquis de Goussainville

Au château de Ferney par Genève 28è juin 1769 1

Monsieur,

Quoique je n'aie point l'honneur de vous faire ma cour depuis trente années, mon respectueux attachement pour vous n'a jamais diminué par une si longue absence . Ma vieillesse n'a point affaibli mes sentiments . Je suis dévoué à votre personne et à l'auguste corps auquel votre illustre maison préside depuis deux siècles .

J'apprends que vous avez soutenu en dernier lieu les droits de la compagnie souveraine 2 à la tête de laquelle vous êtes ; et qu'il paraît dans le monde un excellent mémoire 3 qui met dans le plus grand jour toutes vos prérogatives . Je crains de prendre trop de liberté en vous suppliant, monsieur, de daigner ordonner qu'on m'en fasse part . Mais si vous aviez cette bonté, je vous aurais une extrême obligation . Ce mémoire entre nécessairement dans le plan de ceux qui se consacrent comme moi à l'étude de l'histoire de France .

Si vous me faisiez cette faveur, le livre me parviendrait sûrement sous votre contreseing, et je vous réponds que je le lirai avec autant d'attention que de zèle . Daignez n'imputer mon importunité qu'à ce zèle que je conserverai jusqu'à la fin de ma vie .

J'ai l'honneur d'être avec un profond respect,

monsieur,

votre très humble et très obéissant serviteur .

Voltaire. »

1 Original signé ; éd. Pierre Grosclaude , « Une lettre de Voltaire à Malesherbes à propos de la cour des Aides », Revue d'histoire littéraire (avril-juin 1760 ), LX, 213.

Mais le second paragraphe de la lettre ne convient qu'à Nicolay ou Lamoignon, le premier seulement à Nicolay ; du reste cette attribution est confirmée par le second paragraphe de la lettre du 7 juillet 1769 à Mme Denis : « J'ai prié M. de Nicolay d'avoir la bonté de permettre qu'on m'en envoyât un exemplaire .[le mémoire de la chambre des comptes].

Le destinataire de cette lettre est le fils du Nicolay à qui avait été adressée une lettre par François Arouet, père de V*, du 20 octobre 1716, et de Françoise-Elisabeth de Lamoignon . Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Aymar_Jean_de_Nicola%C3%BF

et : https://www.ombresdemeslivres.fr/aymar-jean-de-nicolai.php

2 La chambre des comptes .

3 Observations de la chambre des comptes sur les arrêts du parlement […] concernant la juridiction des deux cours, 1769 . V* aura cet ouvrage dans sa bibliothèque .

23/12/2024

une instruction sage et éloquente pour tous les citoyens et pour les magistrats

... Elle sera bienvenue après les manifestations d'irritation des Mahorais et du président Macron qui, a juste titre, en a eu marre de se faire accuser de mauvaise volonté : https://www.20minutes.fr/societe/4130250-20241220-cyclone...

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Tempête sous un  crâne

Bonjour les dégâts

 

 

« A Jacques Lacombe

28è juin 1769 à Ferney 1

Je veux, monsieur, étudier le livre de M. l'abbé Roubaud 2 avant d'avoir l'honneur de lui répondre . Le peu que mes maladies continuelles m'ont permis d'en lire m'a paru une instruction sage et éloquente pour tous les citoyens et pour les magistrats .

En attendant, voici une petite réponse de M. Bigex 3 qui n'est qu'une instruction pour les critiques . Cette réponse est faite à la lettre de M. l'abbé Foucher dont vous devez imprimer la copie . M. l'abbé Foucher en a envoyé l'original à M. Bigex qui a répliqué sur-le-champ . Ce ne sont que des petites fleurs que vous pouvez aisément faire entrer dans le bouquet que vous donnez tous les mois .

Peut-être que M. Marin vous fera-t-il une proposition 4 en faveur d'un jeune homme de ma connaissance, du moins ce jeune homme l'espère . M. Marin ne se borne pas à être un littérateur très estimable . Il rend service à tous les gens de lettres, et tous doivent l'aimer . Vous savez , monsieur, à quel point je vous estime et je vous aime.

V. »

1 Original, la dernière phrase et l'initiale sont autographes .

2 Pierre-Joseph-André Roubaud, Représentations aux magistrats, contenant l'exposition raisonnée des faits relatifs à la liberté du commerce des grains , 1769 : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9761559t

Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-Joseph-Andr%C3%A9_Roubaud

et : https://dictionnaire-journalistes.gazettes18e.fr/journaliste/709-pierre-joseph-andre-roubaud

et : https://www.hetwebsite.net/het/profiles/roubaud.htm

4En vue de la publication des Guèbres . Noter l'irrégularité grammaticale, à savoir l'inversion après peut-être que ; certains voient ici quelque lapsus .

22/12/2024

Il me laisse dans l'embarras et dans l'incertitude

... A cette heure , où en est la nomination des nouveaux ministres ? Petit papa Noël Bayrou qui sont les rennes et les lutins qui vont bosser avec toi ? Pour l'instant tu sembles aussi mobile qu'un santon, entre le boeuf et l'âne .

 

 

« A Sébastien Dupont , Avocat au

Conseil souverain d'Alsace

franco

à Colmar

28è juin 1769 à Ferney 1

Vous savez, mon cher rami, que sur la proposition de M. Jeanmaire j'ai sacrifié mes intérêts et mes besoins pour plaire à M. le duc de Virtemberg . Il voulait avoir une somme de 96 000 livres . Je la lui ai tenue prête dans les effets suivants :

1° Des billets payables au porteur de M. le duc de Virtemberg, dont l'un était déjà échu, le tout se montant à …...............................................70 000 £

2° Et les 26000 livres restant lui ont été déjà délivrées en partie, savoir :

8531 livres par M. Meinier, ci ….........8531£

7000 livres par M. Rosé, ci …............7000£

Le reste étant entre leurs mains, et peut-être déjà payé .

Il est bien étonnant que M. Jeanmaire ne m’ait donné depuis deux mois aucun signe de vie ; qu'il ne m'ait pas seulement accusé la réception de l'argent que je lui ai fourni ; qu'il n'ait exécuté aucune de ses promesses . Il me laisse dans l'embarras et dans l'incertitude . Je me suis privé de tout pour lui et il ne daigne seulement pas m’écrire un mot . Un tel procédé ma forcera à prendre les voies de la justice , c'est trop abuser de ma bonne foi et de ma bonne volonté .

Voyez, mon ami, ce que vous voulez et ce que vous pouvez faire . Si Jeanmaire est à Colmar, parlez-lui, s'il est à Montbéliard, ayez la bonté de lui écrire . Je compte sur votre amitié ; et je suis persuadé que M. Jeanmaire ne fera rien dont il puisse rougir devant vous .

Je vous embrasse le plus tendrement du monde.

V. »

1 Original, endos « Franco », cachet « Genève » et un autre cachet circulaire illisible.

21/12/2024

il a pardonné publiquement à ceux qui l’avaient calomnié

...Peut-être qu'un jour lointain on pourra le dire d'Emmanuel Macron, président qui doit subir les imbéciles attaques d'une Marine Le Pen forte en gueule et qui ne bouge pas un doigt pour construire quoi que ce soit . Si elle est si exemplaire, qu'elle donne de ses deniers à Mayotte .

 

 

« A Paul Foucher

A Genève ce 25 juin 1769 1

J’ai reçu, monsieur, la lettre dont vous m’honorez, en date du 17 de juin 2. Je vous prie de permettre que ma réponse figure avec votre lettre dans le Mercure de France, qui devient de jour en jour plus agréable, attendu qu’il est rédigé par deux hommes 3 qui ont beaucoup d’esprit, ce qui n’est pas rare, et beaucoup de goût, ce qui est assez rare.

Je n’ai point encore montré votre lettre au bon vieillard contre lequel vous voulez toujours avoir raison. Son nom, dites-vous, s’est trouvé au bout de votre plume, quand vous écriviez sur Zoroastre : mais, monsieur, il n’a rien de commun avec Zoroastre que d’adorer Dieu du fond de son cœur, et d’aimer passionnément le soleil et le feu , son âge de soixante et seize ans, et ses maladies, lui ayant fait perdre toute chaleur naturelle, jusqu’à celle du style.

Je suis très aise, pour votre bourse, que vous ayez perdu l’envie de parier ; je vous aurais fait voir que, dans son dernier voyage en Perse avec feu l’abbé Bazin, il composa une tragédie persane, intitulée Olympie. Il dit, dans les remarques sur cette pièce : « Quant à la confession… elle est expressément ordonnée par les lois de Zoroastre, qu’on trouve dans le Sadder.4 »

Je vous aurais prié de lire, dans d’autres remarques de sa façon sur l’Histoire générale, page 26 : « Les mages n’avaient jamais adoré ce que nous appelons le mauvais principe … ce qui se voit expressément dans le Sadder, ancien commentaire du livre du Zend 5. »

Je vous montrerais à la page 36 du même ouvrage, ces propres mots : « Puisqu’on a parlé de l’Alcoran, on aurait dû parler du Zenda Vesta, dont nous avons l’extrait dans le Sadder 6. »

Vous voyez bien, monsieur, qu’il ne prenait point le livre du Sadder pour un capitaine persan, et que vous ne pouvez en conscience dire de lui :

Notre magot prit pour le coup

Le nom d’un port pour un nom d’homme ;

De telles gens il est beaucoup

Qui prendraient Vaugirard pour Rome,

Et qui, caquetant au plus dru,

Parlent de tout, et n’ont rien vu.7

Je ne demande pas qu’en vous rétractant vous apportiez un sac plein d’or pour payer votre pari, avec une épée pour en être percé à discrétion par l’offensé. Je connais ce bonhomme ; il ne veut assurément ni vous ruiner, ni vous tuer ; et d’ailleurs on sait que, dans les dernières cérémonies persanes 8, il a pardonné publiquement à ceux qui l’avaient calomnié auprès du sophi.

Je suis très étonné, monsieur, que vous prétendiez l’avoir fâché ; car c’est le vieillard le moins fâché et le moins fâcheux que j’aie jamais connu. Je vous félicite très sincèrement de n’être point du nombre des critiques qui après avoir voulu décrier un homme, s’emportent avec toutes les fureurs de la pédanterie et de la calomnie contre ceux qui prennent modestement la défense de l’homme vexé. Je renvoie ces gens-là à la noble et judicieuse lettre de M. le comte de L*** T*** 9, qui a si généreusement combattu depuis peu en faveur du neveu de l’abbé Bazin. Vous semblez être d’un caractère tout différent ; vous entendez raillerie, vous paraissez aimer la vérité.

Adieu, monsieur ; vivons en honnêtes Parsis ; ne tuons jamais le coq ; récitons souvent la prière de l’Ashim Vuhu ; elle est d’une grande efficacité, et elle apaise toutes les querelles des savants, comme le dit la porte 39.

Lorsque nous mangeons, donnons toujours trois morceaux à notre chien, parce qu’il faut toujours nourrir les pauvres, et que rien n’est plus pauvre qu’un chien, selon la porte 35.

Ne dites plus, je vous en prie, que le Sadder est un plat livre : hélas ! monsieur, il n’est pas plus plat qu’un autre. Je vous salue en Zoroastre, et j’ai l’honneur d’être en bon français, monsieur, votre,etc.

Bigex. »

1 Copie Beaumarchais-Kehl ; éd. « Lettre à M. l'abbé Foucher [etc.] », Mercure de France août 1769, p. 122-126 . cette lettre , comme celle du 20 avril est manifestement de V* .

2 Foucher répondait à la lettre du 30 Avril 1769 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/10/30/j-espere-que-vous-serez-content-de-ma-politesse-6520988.html

Dans une lettre à V* du 17 juin, Foucher remarque qu'il a cité V* d'après l'édition de 1756 de l'Essai sur l'Histoire générale. Cette édition était la seule dont il disposait quand il composait les Mémoires sur la religion des Perses (1759 ou 1760) . Pour sa part, V* se réfère à l'édition corrigée de 1761. Dans l'édition de 1756, V* avait bien écrit : « Zoroastre dans les écrits conservés par Sadder » ; l'édition de 1761 corrige « Zoroastre dans les écrits que le Sadder a rédigés ». Correction maladroite, car, comme le remarque Foucher, « l'idée d'un homme se présente toujours à l'esprit, car on n'a jamais écrit qu'un livre en avait rédigé un autre . »

 

3 La Harpe et Lacombe. (G.A.)

4Dans une note sur Olympie, II, 2 : note 11 : https://fr.wikisource.org/wiki/Olympie_%28Voltaire%29

5 Remarques pour servir de supplément à l'essai sur les mœurs et l'esprit, chap. IX : https://fr.wikipedia.org/wiki/Essai_sur_les_m%C5%93urs_et_l%27esprit_des_nations

6 Essai sur les mœurs, chap. V ; ce passage fut ultérieurement modifié .

7 La Fontaine : liv. IV, fab. VII Le Singe et le Dauphin : http://www.la-fontaine-ch-thierry.net/singdof.htm

8 C’est-à-dire en communiant. (G.Avenel.)

9 Jean Chrysostome Larcher, comte de La Touraille : Lettre à l'auteur d'une brochure intitulée « Réponse à la défense de mon oncle », 1769.