02/02/2025
Ô temps ! ô mœurs ! ô France ! je ne vous reconnais plus
... Les "affaires" où sont impliqués nos politiciens sont comme le tonneau des Danaïdes, sans fin .

"A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental
31 juillet 1769
Mon cher ange, j’ai à vous entretenir de la plus grande affaire de l’Europe : il s’agit de la musique de Pandore. Tous les maux qui étaient dans la boîte affligent l’univers et moi ; et je n’ai pas l’espérance qu’on exécute la musique de La Borde. Est-ce que Mme la duchesse de Villeroi ne pourrait pas nous rendre cette espérance que nous avons perdue, et qui était encore au fond de cette maudite boîte ?
J’aime bien Les Guèbres, mais j’aimerais encore mieux que Pandore réussit à la cour, supposé qu’il y en ait une. En vérité, voilà une négociation que vous devriez entreprendre. On veut du Lully : c’est se moquer d’une princesse autrichienne 1 élevée dans l’amour de la musique italienne et de l’allemande ; il ne faut pas la faire bâiller pour sa bienvenue. On me dira peut-être que La Borde la ferait bâiller bien davantage ; non, je ne le crois pas : sa musique m’a paru charmante, et le spectacle serait magnifique.
On me dira encore qu’on ne veut point tant de magnificence, qu’on ira à l’épargne ; et moi je dis qu’on dépensera autant avec Lully qu’avec La Borde, et que messieurs des Menus n’épargnent jamais les frais. Mais où est le temps où on aurait joué Les Guèbres ? Le Tartuffe, qui assurément est plus hardi, fut représenté dans une des fêtes de Louis XIV. Ô temps ! ô mœurs ! ô France ! je ne vous reconnais plus.
Mes anges, je suis un réprouvé, je ne réussis en rien. J’avais entamé une petite négociation avec le pape pour une perruque 2, et je vois que j’échouerai ; mais je n’aurai pas la tête assez chaude pour me fâcher.
Portez-vous bien, mes anges, et je me consolerai de tout. Je vous répéterai toujours que je voudrais bien vous revoir un petit moment, avant d’aller recevoir la couronne de gloire que Dieu doit à ma piété dans son saint paradis."
1 Marie-Antoinette. Il avait été question, pour les fêtes de son mariage avec le dauphin, futur Louis XVI, de faire jouer Pandore.
Voir : https://passion-marie-antoinette.com/mariage-marie-antoinette/
2 Voir la lettre du 8 mai 1769 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/11/14/tout-cela-s-est-fait-par-le-conseil-d-un-avocat-qui-connait-6522923.html
Mais la négociation avait réussi ; voyez lettre du 19 juillet de Bernis depuis Rome : il envoie "la permission que M. Adam désirait pour ne pas s'enrhumer" : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1769/Lettre_7601
00:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
01/02/2025
Voici quelques rogatons qui m’arrivent de Hollande
... Plat pays ( qui, lui, risque réellement la submersion ) aux nombreux remue-ménages : https://fr.euronews.com/infos/europe/pays-bas

Arrêtons la mer , plus facilement que les Hommes
"A Jean-François-René Tabareau
28è juillet 1769 1
Que ne suis-je jeune, monsieur ! j’irais avec vous en Italie. Recommandez-moi, je vous prie, à votre philosophe de vingt-deux ans, et qu’il ait pour un pauvre vieillard, pendant votre absence, les mêmes bontés que vous aviez pour moi.
Voici quelques rogatons qui m’arrivent de Hollande, et que je vous envoie pour vous amuser 2. Il y en a un pour M. Vasselier et un autre pour votre jeune élève, que je suppose être philosophe, puisque vous l’aimez. Votre bibliothécaire sera à vos ordres à votre retour d’Italie, s’il est encore en vie."
1 Cayrol change la date en "22 décembre".
2 Dieu et les Hommes , de V* : https://books.google.nl/books/about/Dieu_et_les_hommes_oeuvre_théologique_m.html?id=te3C7_GjNb4C&redir_esc=y
10:45 | Lien permanent | Commentaires (0)
Nous vous prions, mes associés et moi, de vouloir bien faire distinguer nos étoffes de celles des autres
... Et n'augmentez pas vos droits de douane mister Trump, même si Mélania à largement les moyens de s'offrir les tissus de luxe français et dont elle doit se passer maintenant que son guignol de mari y met le véto .
"Au chevalier Jacques de Rochefort d'Ally
À Lyon, 28 juillet 1769 1
Monsieur, j’ai reçu en son temps la dernière lettre dont vous avez bien voulu m’honorer dans ma petite manufacture auprès de Lyon. Je suis persuadé de plus en plus de votre bonne volonté pour moi et pour ma famille. Nous vous prions, mes associés et moi, de vouloir bien faire distinguer nos étoffes de celles des autres . Car quoique nos concurrents aient travaillé sur des modèles à peu près semblables, les dessins sont fort différents. Nous espérons, à votre retour de Compiègne, vous envoyer de bons échantillons.
Nous avons reçu de très bonnes nouvelles de M. l’abbé Bigot 2; Mme Finette 3 et Mme de Barbera 4 se sont adressées à nous, et nous commençons à croire d’ailleurs que MM. de Bruguières 5 ne nous feront aucun tort. Madame votre tante 6 a parlé de nous avec la plus grande bienveillance. Elle paraît très contente de nos anciens dessins, et a déclaré qu’elle voudrait nous servir ; si vous avez quelques nouvelles de madame votre cousine et de monsieur le prieur 7, vous nous obligerez beaucoup de vouloir bien nous en instruire.
Nous sommes toujours à vos ordres, ma famille et moi. J’ai l’honneur d’être, avec bien du respect, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.
Martineau."
1 Copie contemporaine ; éd. Lettres inédites, 1818 . Pour les clés des surnoms, voir ci-dessous et lettre du 24 juin 1769 et du 3 juillet 1769 au chevalier : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/12/19/comment-etes-vous-avec-votre-peste-ne-prenez-vous-pas-quelqu-6527883.html
2 Le duc de Choiseul.
3 Mme la duchesse de Choiseul.
4 Mme de Gramont, sœur de M. de Choiseul.
5 Les membres du parlement.
6 Mme Du Barry.
7 Louis XV.
00:05 | Lien permanent | Commentaires (0)
31/01/2025
belle et bien faite, et qu’elle a une voix charmante !
... Louane, bien sûr ! On ne connait pas encore la chanson qu'elle interprètera à l'Eurovision mais on peut écouter celle-ci : Capitaine https://www.youtube.com/watch?v=gAkTK1Zc_aA&list=PL4O...

"A Charles Joseph, prince de Ligne
28 juillet 1769 à Ferney
Un vieux malade, un homme devenu absolument inutile au monde et à lui-même, se met aux pieds de M. le prince de Ligne, et lui demande pardon d’avoir été deux mois entiers dans un état si triste qu’il lui a été absolument impossible d’écrire.
Je sais, par mes yeux et par mes oreilles, monsieur le prince, combien vous êtes aimable ; je sais, par les yeux et par les oreilles d’autrui, que Mlle Dubois est grande, belle et bien faite, et qu’elle a une voix charmante. Je sais encore quels ordres vous m’avez donnés pour elle ; mais je n’ai pas plus de crédit dans le tripot, dont elle a l’honneur d’être, que le roi de Pologne n’en a sur les confédérés de Podolie. Bien en prend à Mlle Dubois d’avoir d’autres talents que ceux du théâtre.
Ce malheureux théâtre français est absolument tombé ; mais le temple de l’Amour, dont Mlle Dubois est première prêtresse, ne tombera jamais. L’opéra-comique est actuellement le seul spectacle à la mode.
Il y a une tragédie nouvelle intitulée les Guèbres, et qui pourrait être intitulée L’Inquisition ; elle ne sera probablement jamais jouée. Elle est pourtant extrêmement honnête . Il y a surtout une dernière scène que je vous invite à lire.
Agréez, monsieur le prince, mon très tendre respect, et pardonnez au pauvre vieillard
V."
16:28 | Lien permanent | Commentaires (0)
on dit qu’il y a des méprises et des expressions désagréables, quoiqu’il n’y eût point de terme offensant
... On pourrait croire à un rapport sur les séances parlementaires, à ceci près que nos députés, eux, pratiquent l'offense à tour de bras, faute d'avoir un brin de réflexion . Et dire que ces zouaves-là font péniblement quelques lois sur lesquelles quelques zigotos du même acabit annuleront au plus tôt . Pitoyable !
Voir en ce moment : https://www2.assemblee-nationale.fr/documents/liste/(type)/projets-loi

https://www.rtbf.be/article/affaire-wesphael-il-faut-garantir-la-separation-des-pouvoirs-8132592
"A Charles-Frédéric-Gabriel Christin fils
Avocat en Parlement
à Saint-Claude
Dites-moi, mon cher ami, votre avis sur un cas de jurisprudence française . C’est une supposition.
On a imprimé dans les pays étrangers un livre concernant le parlement de Paris, dans lequel on dit qu’il y a des méprises et des expressions désagréables, quoiqu’il n’y eût point de terme offensant. La voix publique attribue cet ouvrage à un jeune avocat de province, sans qu’on ait ni qu’on puisse avoir la plus légère preuve.
On demande si le parlement de Paris est en droit d’ajourner personnellement ou même de décréter de prise de corps, sur de simples faux bruits, un jeune homme domicilié dans un autre parlement, et qui est seigneur de paroisse dans le ressort d’un parlement de province . On demande si, au cas que messieurs de Paris prissent cette voie, le jeune avocat n’est pas en droit de demander d’être renvoyé devant ses juges naturels.
On demande si, pour cet effet, il doit présenter requête au Conseil, ou s’il doit la présenter au parlement dans le ressort duquel il habite.
Ce jeune homme est né à Paris ; mais il n’y a jamais eu de domicile à lui appartenant.
Je ferai passer à mon cher petit philosophe les arrêts concernant les mainmortables 1 sitôt que je les aurai reçus.
J’embrasse bien tendrement mon philosophe.
V.
27è juillet 1769."
1 Ceci se rapporte apparemment à la Requête à tous les magistrats du royaume, 1769 . On songerait plutôt à la brochure Au roi en son conseil, mais celle-ci ne fut publiée que près d’un an plus tard .
Voir les Écrits pour les serfs du Mont Jura : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_Œuvres_complètes_Garnier_tome28.djvu/363
Voir aussi : https://www.tdg.ch/1774-voltaire-se-bat-pour-liberer-les-serfs-du-jura-116187280731
et : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_Œuvres_complètes_Garnier_tome28.djvu/577
10:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
je vous avoue que j’aime mieux votre tête et votre cœur que vos pieds, quelque mignons qu’ils soient
... chère Mam'zelle Wagnière dont je garde le souvenir heureux .
"A Louise-Honorine Crozat du Châtel, duchesse de Choiseul
Lyon, le 26 juillet 1769
Anacréon, de qui le style
Est souvent un peu familier,
Dit, dans un certain vaudeville,
Soit à Daphné, soit à Bathylle,
Qu’il voudrait être son soulier.1
Je révère la Grèce antique ;
Mais ce compliment poétique
Paraît celui d’un cordonnier.
Pour moi, madame, qui suis aussi vieux qu’Anacréon, je vous avoue que j’aime mieux votre tête et votre cœur que vos pieds, quelque mignons qu’ils soient. Anacréon aurait voulu les baiser à cru, et moi aussi ; mais je donne net la préférence à votre belle âme.
Vous êtes, madame, le contraire des dames ordinaires ; vous donnez tout d’un coup plus qu’on ne vous demande ; il ne me faut qu’un de vos souliers 2, c’est bien assez pour un vieil ermite, et vous daignez m’en offrir deux. Un seul, madame, un seul. Il n’est jamais question que d’un soulier dans les romans qui en parlent, et remarquez qu’Anacréon dit : "Je voudrais être ton soulier", et non pas tes souliers. Ayez donc la bonté, madame, de m’en faire parvenir un, et vous saurez ensuite pourquoi 3.
Mais il y a une autre grâce plus digne de vous, que je vous demande, c’est pour la tragédie de La Tolérance. Elle est d’un jeune homme qui donne certainement de grandes espérances ; il en a fait deux actes chez moi : j’y ai travaillé avec lui, moins comme à un ouvrage de poésie que comme à la satire de la persécution.
Vous avez senti assez que les prêtres de Pluton pouvaient être le Père Le Tellier, les inquisiteurs, et tous les monstres de cette espèce. Le jeune auteur n’a pu obtenir que les magistrats en permissent la représentation a Paris. Je suis persuadé qu’elle y ferait un grand effet, et que la dernière scène ne déplairait pas à la cour, s’il y a une cour.
Donnez-nous votre protection, madame, et celle du possesseur de vos pieds. On a imprimé cette pièce chez l’étranger, sous le nom de La Tolérance. Ce nom fait trembler ; on me la dédie 4, et mon nom est encore plus dangereux.
Il y a dans le royaume des Francs environ trois cent mille fous qui sont cruellement traités par d’autres fous depuis longtemps. On les met aux galères, on les pend, on les roue pour avoir prié Dieu en mauvais français en plein champ ; et ce qui caractérise bien ma chère nation, c’est qu’on n’en sait rien à Paris, où l’on ne s’occupe que de l’Opéra-Comique et des tracasseries de Versailles.
Oui, madame, vous seriez la bienfaitrice du genre humain si vous et M. le duc de Choiseul vous protégiez cette pièce, et si vous pouviez un jour vous donner l’amusement de la faire représenter.
Votre petite-fille n’est pas contente des Guèbres, et moi, je trouve l’ouvrage rempli de choses très neuves, très touchantes, écrites du style le plus simple et le plus vrai.
Aidez-nous, madame, protégez-nous. On pense depuis dix ans dans l’Europe comme cet empereur qui paraît à la dernière scène. Il se fait dans les esprits une prodigieuse révolution. C’est à une âme comme la vôtre qu’il appartient de la seconder. Le suffrage de M. le duc de Choiseul nous vaudrait une armée. Il va faire bâtir dans mon voisinage une ville qu’on appelle déjà la ville de la tolérance. S’il vient à bout de ce grand projet, c’est un temple où il sera adoré. Comptez, madame, que réellement toutes les nations seront à ses pieds. Je me mets aux vôtres très sérieusement, et je vous conjure d’embrasser cette affaire avec fureur, malgré toute la sage douceur de votre charmant caractère.
Agréez, madame, le profond respect de
Guillemet."
1 Anacréon, ode XX page 43 (68 ), vers 19 :"Je voudrais être enfin ce soulier, dont la gloire ... " : https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.e-rara.ch/download/pdf/15924469.pdf&ved=2ahUKEwjW29zh3J2LAxVW2gIHHewxHmkQFnoECB8QAQ&usg=AOvVaw1n10SoblXZPjwo1RjdbE5Z
2 Note de Walpole sur la copie : "Voltaire avait établi une manufacture de souliers . Il voulait faire présent d'une paire de souliers de sa façon de cette manufacture à Mme de Choiseul". Il y a là une inexactitude car on a ici la première allusion à la manufacture de soie établie à Ferney ; voir lettre du 4 septembre 1769 à la duchesse : https://www.monsieurdevoltaire.com/2015/09/correspondance-annee-1769-partie-30.html
et : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2009/09/04/8859596261d7ae3c78cdc44a7390565d.html
Ce sont des bas de soie et non des souliers que V* se proposait d'offrir .
00:00 | Lien permanent | Commentaires (0)
30/01/2025
Jamais on n’a tant écrit qu’aujourd’hui, et jamais on n’a écrit plus mal
... Voir pour preuve les radotages , imbécilités et fake news qui empoisonnent les réseaux dits sociaux .
"A Jean-Baptiste-Jacques Elie de Beaumont
25 juillet [1769]
Votre lettre, mon cher Cicéron, a donné une belle secousse à mon âme un peu languissante. J’ai toujours été convaincu que vous aviez raison, que les pistolets ne pouvaient appartenir à M. de La Luzerne 1, et que la colère qui l’avait emporté si loin était une preuve de son innocence. Un homme qui a médité un mauvais coup peut commettre une action atroce ; mais il pâlit en la commettant, et ne se met point en colère. Juger M. de La Luzerne coupable, c’est ne pas connaître le cœur humain. En défendant les Calas, les Sirven et M. de La Luzerne, vous avez défendu les lois de la nature.
Je viens de lire l’Essai sur le suicide 2. Il faudra que je le relise. Je le proposerai ensuite à M. Cramer pour le faire imprimer.
Je parcourus ces jours passés l’Histoire du Parlement. Il m’a paru que cet ouvrage est de deux mains différentes. Les derniers chapitres sont remplis d’erreurs, de solécismes et de barbarismes. L’auteur dit que le supplice de Damiens a été perpétré, pendant qu’une partie du parlement allait à son exil. Il y a quelques autres phrases dans ce goût. Jamais on n’a tant écrit qu’aujourd’hui, et jamais on n’a écrit plus mal. En un mot, les derniers chapitres de cet ouvrage sont très impertinents. Mais il y a quelque chose de plus impertinent encore, c’est de me l’attribuer. Il y a quarante ans, Dieu merci, que je suis accoutumé à de pareilles calomnies. Je ne m’étonne pas que le démon de l’imposture se déchaîne contre moi. J’ai passé ma vie à lui arracher les cornes.
Je vous croyais à Canon. Mais je vois bien que l’affaire de M. de La Luzerne vous a rappelé à Paris. Vous sacrifiez votre repos au plaisir de défendre l’innocence.
Sirven, qui vous a tant d’obligation, a pris le chemin le plus long pour finir sa malheureuse affaire. Mais on dit que c’est le plus sûr. Le parlement de Toulouse est bien changé. Toute la jeunesse a lu, et est instruite. Les enfants frémiront de la manière dont ont pensé leurs pères.
Mille respects à Mme de Canon 3. Mon cœur se partage entre vous deux."
1 Il a été acquitté et La Maugerie condamné à l'emprisonnement à vie . V* a sans doute lu la nouvelle dans les Nouvelles de divers endroits du 22 juillet 1769 .
Voir lettre du 31 août 1766 à Damilaville : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/11/24/nous-savons-que-les-commencements-sont-toujours-difficiles-et-qu-il-faut-se.html
et : 25 juillet 1766 à Elie de Beaumont : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/10/22/je-vous-conjure-de-me-dire-s-il-est-vrai-qu-il-y-ait-une-loi-6345386.html
et : 4 mars 1768 à Beaumont : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2023/10/21/m-6467107.html
et : 19 août 1766 à Beaumont : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/11/11/nous-avons-plus-de-commentaires-que-de-lois-et-ces-commentai-6348702.html
2 Il ne fut pas publié . De David Hume : https://classiques.uqam.ca/classiques/Hume_david/essais_moraux_pol_lit/essai_sur_le_suicide/essai_sur_le_suicide.html
3 Mme E. de Beaumont.
00:05 | Lien permanent | Commentaires (0)

