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06/10/2025

Quelque parti qu'il prenne, on pense qu'il est très important pour lui d'achever le premier volume à tire-d'ailes

... Je ne pensais pas en conseillant à M. Lecornu de "taper dans le tas" qu'il nommerait un gouvernement éphémère qui n'a duré pas plus que ces restaurants ambulants à la mode . Retailleau peut jubiler , son orgueil et son ambition ont fait mouche . L R = Les Renégats est bien à jeter aux ordures avec les extrêmes de droite et de gauche . La Gauche avec les Ecologistes va pouvoir mettre ses motions de censure sous le coude en attendant le prochain gouvernement ; leur mauvaise foi ne connait pas la péremption.

Conseil au Président, bâclez l'ouvrage ou non, quoi que vous fassiez ça sera pisser dans un violon . Qui , un peu sensé, acceptera le poste de Premier Ministre et trouvera avec qui mener l'Etat ? Au secours Parcoursup et Chat GPT ! 

Voir : https://www.lemonde.fr/politique/live/2025/10/06/en-direct-demission-de-sebastien-lecornu-le-premier-ministre-demissionnaire-de-nouveau-a-l-elysee_6644534_823448.html?utm_source=firefox-newtab-fr-fr

 

 

« A Gabriel Cramer

[avril-mai 1770]

On renvoie à monsieur Cramer, les feuilles auxquelles on a mis les grands alinéas nécessaires . Quelque parti qu'il prenne, on pense qu'il est très important pour lui d'achever le premier volume à tire-d'ailes .

On a rayé dans l’article « Adorer » un paragraphe qui était répété .

On revoit toujours deux fois l’épreuve .

Si monsieur Cramer est prié de recommander à l'imprimerie qu'on renvoie A et B avec les nouvelles feuilles, afin qu'on puisse voir s'il n'y a rien de répété, ce qui est essentiel .

Il faudra qu'on en use ainsi pour toutes les feuilles .

J'avais besoin de Dion Cassius ; je n'y pouvais rien comprendre parce qu’il était en feuilles entremêlées les unes dans les autres . Je l'avais envoyé relier chez Jacoby ; mais monsieur Cramer l'ayant redemandé je l'ai rendu sans en avoir profité . Je crois qu’il est chez Chirol relié . Il faudrait savoir combien Chirol veut le vendre . Monsieur Cramer alors aurait la bonté de le faire envoyer chez M. Souchay, et le messager me l'apporterait .

Pardon de tant de menus détails . »

j’ai renoncé à ma chèvre,...Je vous demande quelques mois de grâce

... Bien dit Monsieur le Premier ministre . Pourtant, j'ai bien entendu dire que Rachida fera encore partie du nouveau gouvernement, elle qui n'a pas de clochette au cou mais des casseroles plaquées or : https://www.lefigaro.fr/tag/rachida-datiLe loup a encore près d'un an pour s'affuter les crocs avant de nous en débarrasser : beaucoup trop long . 

Il serait bon que vous bénéficiez  de quelques mois de grâce M. Lecornu, mais les chiens sont lâchés, tant à droite qu'à gauche, une seule solution : foncez dans le tas, ce ne sont que des opportunistes de bas étage !

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental

[vers le 30 avril 1770] 1

Je reçois, en ce moment, les faveurs de M. Bouvart 2, dont je vous remercie tous deux ; j’ai renoncé à ma chèvre, mon cher ange ; le temps est trop affreux ; je suis plongé dans les neiges.

Je vous demande quelques mois de grâce pour Le Dépositaire 3; il m’est impossible de travailler dans l’état où je suis . Quand je serai en vie, à la bonne heure, je serai assurément à vos ordres.

Les petits versiculets faits pour Mme la duchesse de Choiseul 4 et pour M. Saurin 5 n’étaient faits que pour eux.

C’est apparemment pour faire sa cour à M. l’abbé Terray qu’on les a montrés.

Voulez-vous me faire un plaisir ? informez-vous, je vous en prie, si on a fulminé, le jeudi de l’absoute 6, la bulle In cœna Domini 7. Quel mot, fulminé ! cela m’est important pour fixer mes idées sur Ganganelli . Il faut avoir des idées nettes.

Mais surtout dites à Mme de Choiseul que vous vous êtes chargé expressément de la gronder.

Me pardonnez-vous tout ce bavardage ? »

1 Dans l’édition de Kehl, cette lettre est datée de mars. Le nom du mois est surchargé dans l’original. (Beuchot)

Copie Beaumarchais-Kehl. L'original olographe de deux pages est passé en vente chez Privat en janvier 1930 et le 15 septembre de la même année . Sur le manuscrit, cette lettre, après quelques faux départs est placée ne mars 1770 ; pourtant il est évident, en dehors de quelques autres indices, qu'elle a été écrite après celle du 24 avril à de Caire et avant celle du 4 mai 1770 : https://www.monsieurdevoltaire.com/2015/12/correspondance-annee-1770-partie-13.html

2 La réponse à la consultation, celle-ci ayant disparu, Mais on a conservé le texte de la petite note de Bouvart datée du 17 avril 1770 qui l'accompagnait . Voir aussi lettre du 5 mars 1770 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/08/16/il-demande-si-on-a-l-experience-que-le-lait-de-chevre-avec-q-6559249.html

3Sur cette comédie du Dépositaire dont V* parle depuis longtemps, voir lettre du 4 mars 1769 à Thieriot : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/09/07/tout-est-coup-de-des-dans-ce-monde-6513623.html

Le délai de réflexion qu'il demande est significatif de sa manière de composer ses pièces de théâtre .

6 Le Jeudi Saint qui tombait le 12 avril en 1770 .

05/10/2025

pour l'âme, elle est je ne sais où

... Et d'ailleurs pour savoir "où" il faut d'abord savoir "quoi ou qui" . Pour ma part, je ne la connais pas, pas plus que l'un de ces dieux qui sont motifs de tant de guerres menées par des prophètes avides . Contentons-nous de savoir ce que nous ne savons pas .

Suivons l'ami Voltaire pour nous éclairer : https://fr.wikisource.org/wiki/Dictionnaire_philosophique/Garnier_(1878)/%C3%82me

 

 

« A Jeanne-Louise Pavée de Provenchères de Rochefort d'Ally

A Ferney ce 30 avril 1770 1

Vous avez été attaquée dans votre foie, madame, et vous avez été saignée trois fois ; M. d'Alembert qui a été votre garde-malade vous dira qu'autrefois, selon l'ancienne philosophie et l'Ancien Testament, les passions étaient dans le foie et l'âme dans le sang . Aujourd'hui on dit que les passions sont dans le cœur, et pour l'âme, elle est je ne sais où. La mienne quelque part qu'elle soit, a été sensible comme elle le doit, à votre danger et à votre convalescence .

Je remercie bien tendrement monsieur de Rochefort de m'avoir donné de vos nouvelles . J'en ai quelquefois aussi de M. l'abbé Bigot 2 de fort agréables mais elles ne me rendent pas la santé que je crois avoir perdue sans retour . J'ai eu beau me faire capucin ; je n'ai pas prospéré depuis ce temps-là, et je crois que je verrai bientôt saint François mon bon maître . Je serai très aise de laisser sur la terre des personnes qui l'embellissent comme vous .

Je vous prie d'agréer ma bénédiction.

Frère François capucin indigne.

 

Mme Denis vous assure de son tendre attachement . »

1 Copie par Boissy d'Anglas (Clarke) ; copie contemporaine ; éd . La Vie privée de Voltaire qui fond cette lettre avec celle du 19 novembre 1770 : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_8037

2 Choiseul, comme on l'a déjà vu .

04/10/2025

Une adorable indifférente, Faisant du bien pour son plaisir

... Par altruisme, pur altruisme je vous assure, je serais satisfait de connaitre une charmante personne comme cela .

 

 

« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

30 avril 1770 1

Dixain contre votre grand-maman

Oui, j’ai tort si je vous ai dit

Qu’elle n’était qu’une volage,

Fière du brillant avantage

De sa beauté, de son esprit,

Et se moquant de l’esclavage

De tous ceux qu’elle assujettit.

Cette image est trop révoltante ;

Je crois qu’on peut la définir

Une adorable indifférente,

Faisant du bien pour son plaisir. »

 

1 Copie par Wyatt ; éd. Kehl qui place cette pièce après le premier alinéa de la lettre datée du 5 mai et que Mme Du Deffand se réfère à ces vers dès le 8 mai . Voir : https://www.monsieurdevoltaire.com/2015/12/correspondance-annee-1770-partie-13.html

Vejanus se cache à la campagne, après avoir suspendu au jambage de la porte les armes d'Hercule

... C'est tout à fait vous M. Lecornu , encore en pleine réflexion et tractations, ou me trompè-je ?

 

« A Louis de Laus de Boissy

Ferney 28 avril 1770

Monsieur,

Anacréon chantait et dansait, Platon raisonnait ou déraisonnait dans le beau pays de la Grèce, et moi je suis entouré de quarante lieues de neiges, à la fin d’avril, entre les Savoyards et les Suisses ; et tant que les neiges sont sur la terre, je suis privé de la vue. Pardonnez-moi si, dans cet état, je ne réponds qu’en prose à vos très jolis vers 1. Je sens tout leur mérite ; mais vous me prenez trop à votre avantage . Ce n’est pas le cas où

Nardi parvus onix eliciet cadum. 2

.........................................................
…................................Vejanius, armis
Herculis ad postem fixis, latet abditus agro. 3

Vous daignez me chercher dans la solitude où je suis enseveli pour me récompenser de mes travaux passés . Je ne puis que vous offrir de sincères et d’inutiles remerciements des fleurs que vous jetez sur le bord de mon tombeau. J’ai perdu la voix ; mais si elle me revient, ce sera pour vous dire combien je suis sensible aux bontés dont vous m’honorez.

J'ai l'honneur d'être etc . »

1 Laus de Boissy a envoyé ces vers à V* dans une lettre de trois pages en prose et en vers qui, après avoir passé chez Charavay le 19 mars 1860 a apparemment disparu . Il est l'auteur du Secrétaire du Parnasse , ou recueil de nouvelles pièces en vers et en prose, dédié à « M. Arouet de Voltaire, comte de Ferney » appellation contre laquelle V* protestera dans sa lettre du 7 décembre 1770 .

Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Laus_de_Boissy

et : https://dictionnaire-journalistes.gazettes18e.fr/journaliste/467-ma-laus-de-boissy

2 Horace, Odes, IV, xii, v. 17 . Un petit vase d'onyx plein de nard fera sortir une jarre (de vin ) .

3 Horace, Épîtres, I, i, V. 4-5 . Vejanus se cache à la campagne, après avoir suspendu au jambage de la porte les armes d'Hercule .

Cet honneur est bien grand, tous l’ont su mériter

... Telle sera la réponse - flatteuse - de M. Lecornu quand on lui demandera pourquoi il a choisi ceux qui vont gouverner avec lui .

  

 

« A Jean-François Marmontel

27 avril 1770

Au sujet près, mon cher ami, jamais les gens de lettres, dans aucun pays, n’ont imaginé rien de plus noble. Les douze apôtres n’ont pas eu ce courage. Les douze personnes 1 à qui cette étrange idée à passé par la tête sont dignes chacune de ce qu’elles veulent me donner.

Cet honneur est bien grand, tous l’ont su mériter.
Mais douze monuments et douze statuaires !
Ce serait un peu trop d’affaires.
Ils ont dit « Choisissons, pour nous représenter,
Celui qui d’entre nous donna les étrivières
Le plus fort et le plus longtemps
Aux Grizels, aux Frérons, aux cuistres, aux pédants ;
C’est notre prête-nom, c’est lui qui dans la troupe
Combattit en enfant perdu ;
C’est notre vieux soldat, au service assidu :
Faisons son effigie avant qu’à notre insu
La friponne Atropos lui coupe
Le fil mal renoué dont on le tient pourvu ;
On croira, quand on l’aura vu,
Que de nous tous on voit le groupe.
D’ailleurs, si nous l’aimons, certe il nous le rend bien.
Vite, qu’on nous l’ébauche ; allons, Pigal, dépêche ;
Figure à ton plaisir ce très mauvais chrétien ;
Mais en secret nous craignons bien
Qu’un bon chrétien ne t’en empêche. »

Vous m’allez dire que ces petits versiculets familiers ne valent rien . Je le sais tout comme vous ; mais j’ai la poitrine attaquée, je n’en puis plus ; et je vous conseille de mettre l’inscription : À Voltaire mourant , comme je le mande à M. d’Alembert.

Ce qui me rend un peu de vie, mais pas pour longtemps, c'est que Mlle Clairon va reparaître 2. Hélas ! Je ne la verrai pas. Je suis privé des joies de ce monde .

Bonsoir, mon très cher confrère.

Frère François. »

1 Selon la Correspondance littéraire, IX, 15, elles étaient dix sept .

03/10/2025

Vous avez trouvé le secret d’être le défenseur, le législateur, l’historien, et le précepteur de votre royaume

... Et c'est bien là la principale critique des opposants à Emmanuel Macron Ier qui n'admettent pas autant de qualités [sic] à notre président . Tant pis . Qu'ils patientent encore quelques mois pour tenter de faire mieux que lui ; ça leur fera tout drôle de n'avoir qu'une majorité relative; on sent déjà du 49-3 en leur réserve .

 

 

« A Frédéric II, roi de Prusse

À Ferney, 27 avril [1770] 1

Sire,

Quand vous étiez malade, je l’étais bien aussi, et je faisais même tout comme vous de la prose et des vers, à cela près que mes vers et ma prose ne valaient pas grand -chose ; je conclus que j’étais fait pour vivre et mourir auprès de vous, et qu’il y a eu malentendu si cela n’est pas arrivé.

Me voilà capucin pendant que vous êtes jésuite ; c’est encore une raison de plus qui devait me retenir à Berlin ; cependant on dit que frère Ganganelli a condamné mes œuvres 2, ou du moins celles que les libraires vendent sous mon nom.

Je vais écrire à Sa Sainteté que je suis un très bon catholique, et que je prends Votre Majesté pour mon répondant.

Je ne renonce point du tout à mon auréole ; et comme je suis près de mourir d’une fluxion de poitrine, je vous prie de me faire canoniser au plus vite : cela ne coûtera que cent mille écus ; c’est marché donné.

Pour vous, sire, quand il faudra vous canoniser, on s’adressera à Marc-Aurèle. Vos Dialogues 3 sont tout à fait dans son goût comme dans ses principes ; je ne sais rien de plus utile. Vous avez trouvé le secret d’être le défenseur, le législateur, l’historien, et le précepteur de votre royaume ; tout cela est pourtant vrai : je défie qu’on en dise autant de Moustapha. Vous devriez bien vous arranger pour attraper quelques dépouilles de ce gros cochon : ce serait rendre service au genre humain.

Pendant que l’empire russe et l’empire ottoman se choquent avec un fracas qui retentit jusqu’aux deux bouts du monde, la petite république de Genève est toujours sous les armes ; mon manoir est rempli d’émigrants qui s’y réfugient. La ville de Jean Calvin n’est pas édifiante pour le moment présent.

Je n’ai jamais vu tant de neige et tant de sottises. Je ne verrai bientôt rien de tout cela, car je me meurs.

Daignez recevoir la bénédiction de frère François, et m’envoyer celle de saint Ignace.

Restez un héros sur la terre, et n’abandonnez pas absolument la mémoire d’un homme dont l’âme a toujours été aux pieds de la vôtre. »

1 Ed. Kehl . Charrot semble faire preuve d'hypercritique en soutenant que cette lettre est composée d'extraits des lettres du 4 mai et du 8 juin 1770 . La présente lettre ne répond pas à celle du 24 mai 1770 de Frédéric . Elle répond à celle du 6 avril 1770 :

« Potsdam 6 avril 1770


De Chaulieu l’épicurien
Je n’eus point en don le génie ;
Mais la goutte qui me retient
Sur mon grabat à l’agonie,
Vient par sa généalogie
De la même dont fut atteint
Cet aimable Sybaritain.
Je vois que par détail il faut quitter la vie
Ou plus tôt ou plus tard ; les ressorts sont usés :
L’un ne digère plus, l’autre a les yeux blessés ;
De sourds et de perclus la gente moribonde
Transportent en ballots par bonne occasion
Leur gros bagage en l’autre monde,
Jusqu’à la dissolution
Qui rassemble le tout dans le séjour immonde.
Pour moi, je sens déjà crouler le bâtiment,
Mes pieds estropiés perdent leur mouvement ;
Couvert de mes débris, je me fais une fête
Que de maux conjurés l’implacable tempête,
Par hasard jusqu’en ce moment,
Ait encore épargné ma tête.

Mes maux m’ont empêché de répondre à votre charmante lettre. Les sons de votre lyre se sont fait entendre dans le Tartare, où j’étais à la gêne ; ils ont fléchi les tyrans qui m’opprimaient ; ils m’ont rendu à la vie, comme autrefois Orphée sut délivrer Eurydice. Le premier usage que je fais de ma convalescence est de remercier l’Orphée ou l’Apollon qui me l’a procurée, et de lui envoyer en tribut une faible production de malade. J’attends le retour de mes forces pour vous en dire davantage, en implorant la nature pour qu’elle conserve la seule colonne du Parnasse qui nous reste, et ce bras armé du foudre de la raison, qui a écrasé la superstition et le fanatisme.

« Potsdam ce 6 avril 1770

« A propos j'apprends que les capucins vous ont choisi pour leur protecteur et que vous devenez père Pediculoso . Je ne vous le cède pas car les jésuites « mont pris pour le leur et si je les soutiens chez moi saint Ignace et saint Xavier n'ont qu'à trembler que je ne fourre dans leur niche que saint Voltaire et saint Frédéric.

« Frédéric. »

Du reste la minute de la lettre du 8 juin 1770 nous est parvenue, on la verra plus tard .

2 Effectivement , dans un bref daté du 1er mars 1770 ; voir baron Ludwig von Pastor , Geschichte der Päpste , 1932, X, II, 320.

3 On trouve dans les Œuvres posthumes de Frédéric II trois dialogues. Les interlocuteurs sont, pour le premier, le prince Eugène, Marlborough et le prince de Lichtenstein ; pour le second, le duc de Choiseul, Struensée et Socrate. Le troisième est le dialogue intitulé Marc-Aurèle et un Récollet : il est de Voltaire ; voir : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome23.djvu/489

Les Œuvres primitives de Frédéric contiennent un Dialogue de morale à l’usage de la jeune noblesse ; et c’est de celui-ci que parle ici Voltaire.

Voir lettre du même jour à d'Alembert : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/10/01/il-y-a-beaucoup-de-turpitude-dans-toute-cette-affaire.html