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22/07/2024

j’ai fait de plus grandes pertes, et je me suis consolé

... confie Joe Biden à Kamala Harris en lui passant le témoin, un peu tard il est vrai, mais c'est quand même preuve qu'il est lucide, contrairement à Donald-the-cheater .

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Le Donald ne fera pas le poids face à cette femme

 

 

« A Jean-Louis Sales 1

Monsieur,

Je serai très aise de vous avoir pour voisin. Je suis peu flatté, à mon âge, d’être seigneur de Tournay ad vitam. Les petits arrangements qu’on pourrait prendre avec vous et avec M. le président de Brosses ne seront pas bien difficiles. Je ne demandais à M. le président de Brosses qu’une sûreté, qu’il n’inquiéterait point après ma mort mon fermier, à qui les bestiaux et les ustensiles appartiennent.

J’ai fait beaucoup trop de dépenses à cette maison, que je n’ai jamais habitée. Je l’ai achetée fort cher, et je n’en ai presque rien retiré ; mais j’ai fait de plus grandes pertes, et je me suis consolé. Je suis persuadé que si vous achetez cette terre, vous ne refuserez pas le petit dédommagement qui m’est dû, et que vous proposez vous-même. Je pense que vous êtes en effet le seul Genevois à qui cette terre convienne, et je doute qu’aucun autre voulût l’acquérir. Vous y avez des domaines en franc-aleu 2, et vous seul êtes assez riche pour acheter une terre qui ne vous rapportera rien tant que je vivrai. Or je vous avertis, monsieur, que je compte vivre jusqu’à quatre-vingt-deux ans au moins, attendu que mon grand-père, qui était aussi sec que moi, et qui ne faisait ni vers ni prose, en a vécu quatre-vingt-trois.

Ayez la bonté de prendre vos mesures là-dessus. Soyez sûr que je vous donnerai toutes les facilités possibles pour cette acquisition. Je suis à vos ordres, et j’ai l’honneur d’être, avec tous les sentiments que je vous dois,

monsieur,

votre très humble, et très obéissant serviteur

Voltaire.

11è janvier 1769 à Ferney.3 »

3 On trouve ici dans Beuchot, à la date du 12 janvier, une lettre que nous plaçons à l’année 1770.( Note de Louis Moland, éd. Garnier )

21/07/2024

J'attends de vous mes étrennes

... Votre amitié en tint lieu chère Mamz'elle Wagnière - LoveVoltaire, vous qui avez quitté ce monde il y a ce jour deux ans . Triste anniversaire . Je renouvelle ici mes remerciements à vos enfants qui permettent l'édition et la consultation de son blog voltairien http://www.monsieurdevoltaire.com/, oeuvre d'une passionnée comme il y  en a peu , et qui me stimule pour la mise en ligne de mon "blogounet" comme je le lui avais promis .

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Votre oeuvre préférée , à juste titre, et que vous m'avez appris à aimer autant

 

 

« A Charles-Henri-Chrétien Rosé 1

11è janvier 1769 à Ferney

J'attends de vous mes étrennes, monsieur. J'avais pris l’exploitation de vos mines à la lettre, sachant que Mgr le duc de Virtemberg avait eu autrefois des mines en Alsace et croyant qu'il en avait encore .

Si vous voulez m'envoyer un petit rouleau par le coche de Bâle, Berne à Genève, je vous serai très obligé .

J'ai l'honneur d'être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire. »

1Original signé ; édition Mossmann . Le manuscrit est endossé « Reçue le 21è ». Voir : https://searchworks.stanford.edu/view/9713138

Il n’a jamais daigné mettre la générosité au nombre de ses vertus

... Donald Trump , son don pour le mensonge et l'auto-satisfaction d'élu du dieu US, le dispense de toute qualité commune, y compris la générosité si tant est qu'il ait jamais eu une quelconque vertu . Il incarne atrocement le dicton : "Générosité bien ordonnée commence par soi-même !"

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C'est fait !

 

 

« A Antoine-Jean-Gabriel Le Bault

11 janvier 1769 à Ferney

Monsieur,

À la réception de votre lettre, j’envoie une lettre de change à M. François Tronchin 1. J’étais si malade que je ne pus pas même lui écrire. Il faut que je sois désespéré, puisque votre bon vin ne m’a pas encore guéri. Cependant je compte sur vous jusqu’à la fin de ma vie. Je ne veux boire que par vos bienfaits. Je ne puis plus souffrir d’autre vin que le vôtre. Apparemment que tant vaut l’homme, tant vaut son vin. M. De Brosses a fait enfin à peu près ce que je désirais. Ce n’a pas été sans peine. Il n’a jamais daigné mettre la générosité au nombre de ses vertus.

Mille respects à madame Le Bault ; j’ai l’honneur d’être avec les mêmes sentiments,

monsieur,

votre très humble et très obéissant serviteur.

Voltaire. »

1 Lapsus de V* ou de l'éditeur car il s'agit de Robert Tronchin banquier à Lyon .

ses ennemis se démènent beaucoup. Tant pis s’ils réussissent. C’est un des plus grands malheurs qui puisse arriver à feu ma patrie

... Propos d'après course à propos de Tadej Pogačar , ex-Slovène et présentement riche résident monégasque ?

Ou plutôt un commentaire d'un proche  d'Emmanuel Macron en voyant ce qui se passe à l'Assemblée nationale ?

Ou même un propos résigné, en ravalant sa bile, dans le clan de Marine Le Pen ?

 

 

« A Pierre-Michel Hennin

11 Janvier 1769 A Ferney

Pardon, pardon, mon très cher et très aimable Résident. Il y a huit jours que j’aurais dû vous prévenir. Si vous aviez malheureusement mon âge, vous trouveriez les choses encore bien plus changées qu’elles ne vous l’ont paru. J’ai bu autrefois la lie d’un vin qui était encore assez bon. Le tonneau nouvellement percé est de Brie 1. Votre principal 2 est presque le seul homme qui soutienne l’honneur du pays, et qui joigne la grandeur d’âme à l’esprit et à la gaieté. On me mande que ses ennemis se démènent beaucoup. Tant pis s’ils réussissent. C’est un des plus grands malheurs qui puisse arriver à feu ma patrie.

Vraiment il est vrai que madame sa femme s’est donné les airs de prétendre être mal à ma cour. Mais j’ai de quoi rabattre son caquet, car je serais homme à lui signifier combien je respecte la vertu douce et sans faste, combien j’aime l’esprit naturel et vrai dans un temps où il y a tant d’esprits faux. Enfin, si je m’y mettais, je la ferais rougir jusqu’au blanc des yeux. Qu’elle ne se joue pas à moi 3.

Vous ne reviendrez 4 sans doute qu’au printemps, mais j’ai bien peur que vous ne trouviez un printemps fort vilain. Nous avons un hiver si doux qu’il en devient fade. Il faut avoir sa dose de bise chaque année. Nous l’aurons malheureusement au mois de mai. Vous gèlerez de froid dans le jardin que vous avez si joliment planté. Je me suis promené aujourd’hui dans le mien pendant une heure, et j’avais chaud. Nous serons en fourrure à la Pentecôte.

On dit que Catau a déjà battu les infidèles ; cela leur apprendra à renfermer les femmes. Ces marauds-là ne sont bons qu’à être renvoyés au-delà de l’Oxus, dont ils viennent. Je ne m’accoutume point à voir la Grèce gouvernée par des gens qui ne savent ni lire, ni écrire, ni danser, ni chanter. Si la Grèce était libre, j’irais mourir à Corinthe, quoiqu’il ne soit pas permis à tout le monde d’y aller. Je déteste également les Turcs et la bise. Pour votre Pologne, je la plains  5; c’est pis que jamais.

Adieu ; soyez heureux autant que vous méritez de l’être, et conservez-moi vos bontés. 

V.»

1 Le vin vieux est sans doute Mme de Pompadour ; le vin nouveau Mme Du Barry . On s'est étonné que l'on appelle le second « de Brie » Mme Du Barry étant de Vaucouleurs qui est au-delà des limites de la Brie . Mais le vin de Brie est connu pour un vin médiocre, d'où le choix de cette province .

2 Le duc de Choiseul. (Georges Avenel.)

3 Curieuse menace contre la duchesse de Choiseul .

4 Hennin était allé à la cour. (G.A.)

5 Avant d'être résident à Genève, Hennin l'a été en Pologne et s'intéressait au sort de ce pays . Or, sous les prétextes que l'on sait, les Russes occupaient une partie de la Pologne, y compris Cracovie . La russophilie de V* aurait été mise à l’épreuve s'il n'avait été aussi convaincu de la justesse de la cos e de Catherine .

20/07/2024

je ne vois pas pourquoi on exclurait d’un discours de réception des idées vraies et profondes, qui sont elles-mêmes la source cachée de l’éloquence

... A cette aune là je pense qu'aucun discours de réception aux différends postes à l'Assemblée Nationale n'est un exemple d'éloquence, car pour y trouver des idées " vraies et profondes" : bernicle ! Sinon ça se saurait .

Idées vraies et profondes, comme tu y vas mon cher Patriarche ; en cette année 2024 ça fait partie des raretés , particulièrement chez les politicien.ne.s qui n'ont de vrai que le désir de s'installer, et de profond que l'ignorance de la gestion d'une nation et leur fauteuil .

 

 

 

« A Charles Bordes

À Ferney 10 janvier 1769

Je trouve, mon cher ami, beaucoup de philosophie dans le discours de M. l’abbé de Condillac1. On dira peut-être que ce mérite n’est pas à sa place, dans une compagnie consacrée uniquement à l’éloquence et à la poésie : mais je ne vois pas pourquoi on exclurait d’un discours de réception des idées vraies et profondes, qui sont elles-mêmes la source cachée de l’éloquence.

Il y a dans le discours de M. Le Bault 2 des anecdotes sur mon ancien préfet l’abbé d’Olivet, dont je connais parfaitement la fausseté . Mais la satire ment sur les gens de lettres pendant leur vie, et l’éloge ment après leur mort.

Il serait à désirer que les lettres 3 concernant Nonotte eussent été imprimées 4 à Lyon, puisque les injures de ce maraud y ont été audacieusement imprimées . C’est d’ailleurs un factum dans une espèce de procès criminel. Il n’y a point de petit ennemi, quand il s’agit de superstition. Les fanatiques lisent Nonotte, et pensent qu’il a raison. Je crois que les Pères de l’Oratoire en seraient très aises, et qu’il y a bien d’honnêtes gens qui seraient charmés de voir l’insolente absurdité d’un ex-jésuite confondue. Voyez ce que vous pouvez faire pour la bonne cause. L’ouvrage d’ailleurs est très respectueux pour la religion, en écrasant le fanatisme.

Bonsoir, mon très cher confrère ; j’attends de Bâle un petit livre sur l’histoire naturelle 5, où il y a, dit-on, des choses curieuses . Je ne manquerai pas de vous l’envoyer. »

1 Pour sa réception à l’Académie française à la place de l’abbé d’Olivet, le 22 décembre 1768.

Voir les Discours prononcés dans l'Académie française le jeudi 22 décembre 1768 à la réception de M. l'abbé de Condillac, 1768 : https://www.academie-francaise.fr/discours-de-reception-de-labbe-de-condillac

2 L'édition Kehl corrige ce texte du manuscrit en M. Batteux . C'est effectivement l'abbé Batteux, directeur de l'Académie qui a reçu Condillac .

3 Nous ne connaissons de lettre concernant Nonotte, et dont Voltaire puisse parler ici, que celle qui est page 569 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome26.djvu/579

La Lettre anonyme, etc., qui est page 401 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome27.djvu/409

est postérieure au 10 janvier.

Mais Voltaire a peut-être aussi voulu parler des Éclaircissements historiques, qui sont tome XXIV, page 183 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome24.djvu/193

[note Moland édition Garnier ]

4 Texte de l'édition de Kehl : Il serait à désirer que les lettres concernant Nonnotte fussent réimprimées […]. Ces « Lettres » sont les Lettres […] sur Rabelais ; voir lettre du 4 octobre 1767 à Damilaville : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2010/10/05/il-ne-faut-point-railler-les-scelerats-il-faut-les-pendre.html

19/07/2024

J’ai l’honneur d’être

... à nouveau présidente de l'Assemblée nationale" dit Yaël Braun-Pivet, vainqueur à la barbe du RN et du NFP, confirmant par ailleurs à André Chassaigne que 13 porte bien malheur . La chasse aux accessits et hochets est ouverte pour les vaincus de ce premier round . A peine constituée, cette assemblée nous fait craindre le pire, tant chacun tire à hue et à dia . Il en est même qui posent leurs jalons pour la prochaine dissolution dans un an . Il ne reste plus pour se réjouir qu'à suivre le Tour de France et les J.O. où il n'y a pas de combines .

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https://www.francetvinfo.fr/

ça va être dur, ... très dur !

 

 

 

« A Jacob Bouthillier de Beaumont, etc. 1

Banquier

à Genève

Pouvez-vous, monsieur, vous charger de douze mille livres pour six mois ? Cette somme vous sera comptée au moment que vous le voudrez. J’ai l’honneur d’être,

monsieur,

votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire.

Au château de Ferney, 10 janvier 1769. »



18/07/2024

si elle répond qu’il n’y a nul danger

... Croyez-la ! Mme Hidalgo a tenu parole, même si son style n'est pas celui de Laure Manaudou , on peut se baigner dans la Seine dans le délai prévu . 

Par contre, Rachida Dati qui convoite sa place en est elle capable ? Je ne crois pas, son maquillage de poupée Barbie risque trop de la lâcher, elle qui est beaucoup plus à l'aise pour nager en eaux troubles , coupable de  "corruption passive par personne investie d’un mandat électif public au sein d’une organisation internationale », « recel d’abus de pouvoir » et « trafic d’influence passif », excusez du peu . Il est bon qu'elle rende son maroquin de la Culture immédiatement . Voir : https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/07/02/affaire...

 

 

 

 

« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

6è janvier 1769

Madame,

Voilà encore un thème ; j’écris donc. Par une lettre d’un mercredi, c’est-à-dire il y a neuf jours 1, vous me demandez le commencement de l’alphabet 2; mais savez-vous bien qu’il sera brûlé, et peut-être l’auteur aussi ? Le traducteur est un La Bastide de Chiniac, avocat de son métier. Il sera brûlé, vous dis-je, comme Chausson 3. C’est avec une peine extrême que je fais venir ces abominations de Hollande. Vous voulez que je fasse un gros paquet à votre petite mère ou grand-mère . Vous ne me dites point si elle paie des ports de lettres, et s’il faut adresser le paquet sous l’enveloppe de son mari, qui ne sera point du tout content de l’ouvrage. L’A, B, C est trop l’éloge du gouvernement anglais. On sait combien je hais la liberté, et que je suis incapable d’en avoir fait le fondement des droits des hommes ; mais si j’envoie cet ouvrage, on pourra m’en croire l’auteur ; il ne faut qu’un mot pour me perdre.

Voyez, madame, si on peut s’adresser directement à votre petite mère ; et, si elle répond qu’il n’y a nul danger . Alors on vous en dépêchera tant que vous voudrez.

Je puis vous faire tenir directement par la poste de Lyon, à très peu de frais. Les Droits des hommes et les Usurpations des autres 4

L’Épître aux Romains 5.

Si vous n’avez pas l’Examen important 6 de milord Bolingbroke, on vous le fera tenir par votre grand-mère .7

On n’a pas un seul exemplaire du Supplément 8. Elle le demande comme vous ; il faut qu’elle fasse écrire par Corey à Marc-Michel Rey, libraire d’Amsterdam, et qu’il lui ordonne d’en envoyer deux par la poste.

Vous me parlez d’un buste, madame . Comment avez-vous pu penser que je fusse assez impertinent pour me faire dresser un buste ? Cela est bon pour Jean-Jacques, qui imprime ingénument que l’Europe lui doit une statue 9.

Pour les deux Siècles, dont l’un est celui du goût et l’autre celui du dégoût, le libraire a eu ordre de vous les présenter, et doit s’être acquitté de son devoir. Mme de Luxembourg y verra 10 une belle réponse du maréchal de Luxembourg quand on l’interrogea à la Bastille 11. C’est une anecdote dont elle est sans doute instruite.

Le procès de cet infortuné Lally est quelque chose de bien extraordinaire ; mais vous n’aimez l’histoire que très médiocrement. Vous ne vous souciez pas de La Bourdonnais, enfermé trois ans à la Bastille pour avoir pris Madras ; mais vous souciez-vous des cabales affreuses qu’on fait contre le mari de votre grand-mère ? Je l’aimerai, je le respecterai, je le vanterai, fût-il traité comme La Bourdonnais. Il a une grande âme, avec beaucoup d’esprit. S’il lui arrive le moindre malheur, je le mettrai aux nues. Je n’y mets pas tout le monde, il s’en faut beaucoup.

Adieu, madame : quand vous me donnerez des thèmes, je vous dirai toujours ce que j’ai sur le cœur. Comptez que ce cœur est plein de vous. »

1 Aucune lettre de cette date n'est connue ; la dernière connue est celle du 13 décembre 1768. elle y réclame déjà L'A.B.C.

3 Il a déjà été question de Chausson dans une lettre du 30 juillet 1749 à l'abbé Raynal : http://www.monsieurdevoltaire.com/article-correspondance-annee-1749-partie-5-107235961.html

et lettre de 1939 à l'abbé d'Olivet : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1739/Lettre_1102#cite_ref-3

Chausson n'a pas fait l'objet d'un article dans les biographies françaises . Il s'agit d'un Jacques Chausson inculpé de tentative d'assassinat et condamné à mort pour sodomie en 1669, qui dit « qu'il n'y avait point d'âme à l'épreuve du feu » ; voir Robert Challe, Journal de voyage aux Indes orientales, éd. F. Deloffre et M. Menemencioglu, Mercure de France, 1979, et les Difficultés sur la religion, du même.

Voir la note de Voltaire page 519. https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome9.djvu/529

7 Mme de Choiseul, qui est aussi désignée plus haut sous le nom de petite mère.

8 Le Suppléent au Dictionnaire philosophique, réclamé par mme Du Deffand dans la lettre de ce jour .

Je ne vois pas quel peut être l’ouvrage dont parle ici Voltaire. Le Supplément du Discours aux Welches est de 1764  ; le Supplément aux causes célèbres n’est, je crois, que de juillet 1769, ou, tout au plus, de juin. (note de Beuchot.)

Voir : page 249 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome25.djvu/259

et voir page 77 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome28.djvu/87

9 Dans sa lettre intitulée J.-J. Rousseau à Christophe de Beaumont : https://www.rousseauonline.ch/Text/lettre-a-christophe-de-beaumont.php

Sur ce mot de Rousseau, voir lettre du 13 avril 1763 à d'Argental , note 6 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2018/04/09/nous-avons-le-ridicule-de-demander-la-sante-a-un-malade-il-n-6042049.html

11 Sur cette réponse du maréchal de Luxembourg, voir Le Siècle de Louis XIV, chapitre XXVI page 459 : https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Si%C3%A8cle_de_Louis_XIV/%C3%89dition_Garnier/Chapitre_26