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01/11/2025

Je me flatte qu'il ne désertera pas

... C'est le sentiment qui domine quand on évoque Volodymyr Zelensky et pour preuve on lui fournit des armes : https://www.ladepeche.fr/2025/11/01/direct-guerre-en-ukra...

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« A Pierre-Michel Hennin

[vers le 1er juin ] 1

Le malade remercie monsieur Hennin de tout son cœur pour le déserteur qu'il n'a jamais eu l'honneur de voir, mais qu'il verra sans doute, et auquel il rendra la belle pancarte . Je me flatte qu'il ne désertera pas .

Mme Denis fait mille tendres compliments à monsieur Hennin . »

1 Original ; éd. Correspondance inédite, 1825, place la lettre en juillet, ce qui est un peu trop tard . Voir lettre de Hennin : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_7959

disposer favorablement les esprits . Il serait même très bon de se hâter

... Il serait idéal que le temps des magouilles pour avoir le pouvoir ait sa fin rapide et que l'on passe aux choses sérieuses, comme définir et voter un budget national . Comment va faire le premier ministre face à une horde qui ne sait pas compter ni réellement prévoir les conséquences de son opposition de privilégiés absurdes ?

Pour info : https://www.info.gouv.fr/toute-l-actualite

 

 

« A Gabriel Cramer

[vers le 1er juin 1770]

Je reverrai S.T. demain .

Monsieur Cramer pourrait-il sans faire tort à l’impression de cet ouvrage imprimer une réponse au Système de la nature avec une réponse aux trois Juifs prétendus 1 ?

Ces deux réponses rentreront, il est vrai , dans le petit dictionnaire encyclopédique à la lettre D et à la lettre F .

Mais il est nécessaire de donner actuellement ce petit ouvrage qui sera un avant-goût du dictionnaire , et qui pourra disposer favorablement les esprits . Il serait même très bon de se hâter . »

1 Ces deux réponses parurent dans le petit livre intitulé Dieu, réponse au Système de la nature, publié, sans lieu ni date, vers le 10 août 1770 . L'article en réponse à Antoine Guénée, auteur des Lettres de quelques juifs portugais et allemands à M. de Voltaire ,1769, s'intitule Fonte, et art de jeter en fonte des figures considérables d'or et de bronze . Réponse à un homme qui est d'un autre métier. » Les articles en question sont donnés comme « tirés » des Questions sur l'Encyclopédie, mais ils n'y parurent que plus tard , dans les volumes IV et VI . Enfin, Dieu et les hommes inclut aussi les Anecdotes sur Fréron, ouvrage acide où l'on ne pouvait pas ne pas reconnaître la main de Voltaire .

Voir : https://books.google.fr/books?id=kPPc0AEACAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

et : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6531335s.texteImage

et note 3 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome19.djvu/171

et : https://www.monsieurdevoltaire.com/article-satires-anecdotes-sur-freron-123235251.html

Pour nous autres, si les choses continuent sur le même pied, nous allons voir renaître le beau siècle d’or où l’arbre de Jupiter nourrissait des hommes qui étaient, dit-on, innocents, ou plutôt des innocents

... Hélas, notre Jupiter national n'a pas la main verte et son arbre providentiel est sec sur pied , tout juste bon à recevoir le pissat de son chien Nemo . La cote de popularité présidentielle est inversement proportionnelle à celle de l'or , monsignor !

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https://www.facebook.com/Plantu.page.officielle/posts/de-...

 

« A Jean-Chrysostome Larcher, comte de La Touraille

1er juin 1770

Je dois vous dire, monsieur, que mon ombre, ensevelie pendant six mois dans des neiges qui durent encore, est de toutes les ombres la plus sensible , que je suis pénétré dans mon tombeau de toutes vos bontés, et que je pense comme vous sur les affaires de ce monde et de l’autre.

J’eus l’honneur de vous écrire quand vous étiez aux États 1. Votre province manquerait à présent de blé si on n’avait pas arrêté celui qui allait à Genève. Les Genevois ne méritent guère de manger du pain, depuis qu’ils se mettent à canarder leurs compatriotes. Pour nous autres, si les choses continuent sur le même pied, nous allons voir renaître le beau siècle d’or où l’arbre de Jupiter nourrissait des hommes qui étaient, dit-on, innocents, ou plutôt des innocents.

Quand Son Altesse Sérénissime voudra des montres de Ferney, qui a l’honneur d’être dans sa province, nous en faisons d’aussi bonnes qu’à Paris, et à un tiers meilleur marché.

Conservez, monsieur, vos bontés au vieil ermite. 

1 De Bourgogne, à Dijon, avec le prince de Condé.

Voir lettre du 16 septembre 1769 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/03/30/on-a-eu-cette-fois-ci-une-intention-plus-maligne-6541778.html

je ne crois pas que tout ce qu’on ne peut comprendre soit inutile...Il est fort utile d’être défait de certains abominables préjugés, sans qu’on ait quelque chose de bien satisfaisant à mettre à la place

... Qu'on se le dise... et le fasse ...

 

 

« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

1er juin 1770 1

Vous avez dû voir, madame, que je consume ma pauvre vie dans mes déserts de neige pour vous récréer un quart d’heure, vous et votre grand-maman. Il y a des insectes qui sont trois ans à se former pour vivre quelques minutes : c’est le sort de la plupart des ouvrages en plus d’un genre. Je vous prie toutes deux de prêter un peu d’attention à l’article « Anciens et Modernes » 2, c’est une affaire de goût . Vous êtes juges en dernier ressort.

Quant aux choses scientifiques, je ne crois pas que tout ce qu’on ne peut comprendre soit inutile. Personne ne sait comment une médecine purge, et comment le sang circule vingt fois par heure dans les veines ; cependant il est très souvent utile d’être purgé et saigné.

Il est fort utile d’être défait de certains abominables préjugés, sans qu’on ait quelque chose de bien satisfaisant à mettre à la place. C’est assez qu’on sache certainement ce qui n’est pas, on n’est pas obligé de savoir ce qui est. Je suis grand démolisseur, et je ne bâtis guère que des maisons pour les émigrants de Genève. La protection de Mme la duchesse de Choiseul leur a fait plus de bien que leurs compatriotes ne leur ont fait de mal. Qui m’aurait dit que je lui devrais tout, et qu’un jour je fonderais au mont Jura une colonie qui ne prospérerait que par ses bontés ? Et puis qu’on dise qu’il n’y a point de destinée ! C’est vous, madame, qui m’avez valu cette destinée-là ; c’est à vous que je dois votre grand-maman.

Je lui ai envoyé le mémoire 3 des communautés de Franche-Comté . D’accord ; mais il est signé des syndics 4, et non pas de moi. Je ne suis point avocat : le fond du mémoire est de M. Christin, avocat de Besançon ; je l’ai un peu retouché. Il n’y a rien que de très vrai. L’avocat au conseil chargé de l’affaire l’a approuvé, l’a donné à plusieurs juges. S’il n’est pas permis de soutenir le droit le plus évident, où fuir ? Je tiens qu’il faut le soutenir très fortement, ou l’abandonner.

Ce n’est point ici une grâce qu’on demande. Ces communautés sont précisément sur la route que M. le duc de Choiseul veut ouvrir de sa colonie en Franche-Comté. Ces gens-là seraient fort aises d’être les serfs du mari de votre grand-maman, mais ils ne veulent point du tout l’être des moines de saint Benoît, devenus chanoines. La prétention de Saint Claude est absurde. Saint Claude est un grand saint, mais il est aussi ridicule qu’injuste du moins il me paraît tel. J’ai cru qu’il fallait faire sentir cette absurdité avant qu’on discutât des fatras de papiers que les ministres n’ont jamais le temps de lire.

J’avoue que mon nom est fatal en matière ecclésiastique ; mais je n’ai jamais prétendu que mon nom parût . Dieu m’en préserve ! et d’ailleurs ceci est matière féodale. Le roi ne lit point ces factums préparatoires, on ne les met point sous ses yeux. Le rapporteur seul est écouté ; et comme tout dépend ordinairement de lui, il nous a paru essentiel que les juges fussent bien au fait. Ils jettent souvent un coup d’œil égaré sur ces pièces ennuyeuses ; j’ai voulu les intéresser par la tournure . J’ai voulu les amuser, eux, et non pas le roi, qui a d’autres affaires, et qui très communément laisse décider ces procès sommaires sans y assister, comme il arriva dans le procès des Sirven, où M. le duc de Choiseul fut net contre moi, et avec raison.

Enfin, si j’ai tort, on perdra de bons sujets, et j’en suis fâché . Mais je me résigne, car il faut toujours se résigner, et je ne suis pas capucin pour rien.

Résignez-vous, madame, à la fatalité qui gouverne ce monde. Horace recommandait cette philosophie, il y a quelque dix-huit cents ans ; il recommandait aussi l’amitié, et la vôtre fait le charme de ma vie. »

1 Manuscrit olographe, sauf la date minute partielle ; éd. Kehl. La lettre et le mémoire joint avaient été envoyés à la duchesse de Choiseul qui en fit la transmission le 7 juin .

4 Il est signé de trois « procureurs spéciaux ».

31/10/2025

J’ai voulu m’essayer... en robe de chambre. Cela ne m’a pas réussi

... Il est des choses qu'il ne faut pas tenter même quand on prétend imbécilement être digne du Nobel de la paix en relançant les tests sur l'arme nucléaire . On ne doit pas jouer à "bonbons ou le bâton" quand on est chef d'Etat, Halloween n'excuse pas toutes les audaces mal placées Mister Trump qui n'avez pas besoin de déguisement pour paraître un forcené .

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https://www.lapresse.ca/debats/caricatures/2020-10-30/trump-presente-son-costume-d-halloween.php

 

 

« A Pierre-Michel Hennin

Je crois que le bon homme Homère
Eût été très-flatté de dîner avec vous.
Mon destin n’est pas fait pour des plaisirs si doux :
Hélas ! je ne suis que Voltaire.

J’ai voulu m’essayer, j’ai été chez mes enfants 1 à Maconey aujourd’hui, en robe de chambre . Cela ne m’a pas réussi. Je ne puis mettre un justaucorps. Le canon 2 me tuerait ; le dîner encore plus. Ma faiblesse augmente d’heure en heure. Je dînerai bientôt avec Homère dans les champs Élysées. Je présente ma misère et mon respect à madame votre sœur et à monsieur votre beau-frère 3 .

Samedi au soir [26 mai 1770]. »

1 M. et Mme Dupuits.

2 Le canon devait être tiré à l'occasion des festivités du 29 mai . Quoique la cérémonie eût été quelque peu réduite cette année-là du fait de la situation politique, douze toasts furent portés, accompagnés de 752 salves ( ministère des Affaires étrangères, Correspondance politique, Genève, LXXVIII, 214.).

3 M. et Mme Legendre . Voir lettre du 23 mai de Hennin : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_7892

30/10/2025

Je consens de signer, quoique j’aie la main fort tremblante

...C'est bien ce que peut dire mais faire très bientôt le président Macron pour la promulgation de la loi pénale suivante : 

https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/10/29/la-france-integre-definitivement-la-notion-de-non-consentement-dans-la-definition-penale-du-viol-et-des-agressions-sexuelles_6650200_3224.html

Les décrets d'application ne doivent pas trainer .

 

 

« A Gottlob Louis , comte de Schomberg

28 mai [1770]

Monsieur,

Je persiste à croire que les philosophes m’ont daigné prendre pour leur représentant, comme une compagnie fait souvent signer pour elle le moindre de ses associés. Je consens de signer, quoique j’aie la main fort tremblante.

Vous avez donc la bonté, monsieur, d’être un des protecteurs de la statue. M. le duc de Choiseul y a de plus grands droits qu’on ne pense ; il fait des vers plus jolis que ceux de nous autres faiseurs, et tient le cas secret 1 . J’en ai de lui qui sont charmants.

Je ne sais comment reconnaître ses bontés . Il protège une manufacture de montres que les émigrants de Genève ont établie dans mon hameau . Il a bien voulu descendre jusqu’à leur faciliter le débit. Je ne verrai pas la ville qu’il va bâtir dans mon voisinage ; mais je jouis déjà de tout le bien qu’il veut faire.

Je goûte à présent, malgré tous mes maux, le plus grand des plaisirs . Je vois les fruits de la philosophie éclore. Soixante artistes huguenots, répandus tout d’un coup dans ma paroisse, vivent avec les catholiques comme des frères . Il serait impossible à un étranger de deviner qu’il y a deux religions dans ce petit canton-là. En conscience, messieurs les moines, M. Rose , évêque de Senlis 2, MM. les curés Aubry 3 et Guincestre 4, cela ne vaut-il pas mieux que vos Saint-Barthélemy ?

Peut-être l’impératrice de Russie opère-t-elle à présent une grande révolution chez les Turcs ; mais j’aime mieux celle dont je suis témoin, et j’ai la mine de mourir content. Je crois que ces nouvelles ne déplairont pas au respectable M. d’Alembert, l’appui de la tolérance et de la vertu, et si digne d’être votre ami. Conservez vos bontés, monsieur, à votre très humble et très obéissant, et très reconnaissant serviteur, le languissant frère François, plus humain que tous les capucins du monde. »

1 Voltaire savait bien que l’ode à laquelle il fait allusion ici n’était pas de Choiseul ; voir lettre du 13 juin 1760 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2015/06/10/la-morale-est-un-peu-moins-ennuyeuse-en-vers-bien-frappes-qu-5637586.html

Allusion au poème composé par Palissot à la demande de Choiseul pour répondre à celui que Frédéric II a composé contre Louis XV. Choiseul y fait allusion dans une lettre à V* du 28 mai 1759 ; voir lettre du 12 juin 1769 à Bernis : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/12/11/si-je-n-obtiens-pas-ce-que-je-demande-je-m-en-prendrai-a-vous.html

et 22 juin 1770 à d’Alembert : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_7931

2 Voir  note 1 : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome12.djvu/578

Guillaume Rose, évêque de Senlis a fait parler fâcheusement de lui au temps de la Ligue ; voir les notes de V* à la sixième lettre de Henri IV, imprimée dans l'Essai sur les Mœurs, chap. CLXXIV, ainsi que La Henriade, IV, 348 .

3 Voir: https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome12.djvu/565

et  : https://fr.wikisource.org/wiki/Page:Voltaire_-_%C5%92uvres_compl%C3%A8tes_Garnier_tome15.djvu/566

Christophe Aubry , prêtre de la paroisse natale de V* (St André des Arcs) passe pour avoir appelé au meurtre de Henri IV.

4 Jean Wincestre ou Guincestre, ligueur .

Voir L'Homme aux quarante écus : https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Homme_aux_quarante_%C3%A9cus/XIV

29/10/2025

Je baisse les oreilles, j’écris, et puis je suis tout honteux, et je voudrais m’aller cacher

...

 

« A Louise-Honorine Crozat du Châtel, duchesse de Choiseul

A Ferney 1er juin 1770 1

Madame,

Je crois que vous avez fait une gageure d’exercer votre patience, et moi, de pousser à bout vos bontés. J’ai eu l’honneur de vous parler, dans une de mes lettres 2, de sept frères, tous au service du roi, dont les jésuites avaient usurpé l’héritage, pour la plus grande gloire de Dieu. Voici, je pense, l’aîné de ces sept Maccabées. Il prétend qu’ayant été auprès de vous, madame, le secrétaire des capucins, je dois, à plus forte raison, être celui des officiers qui ont été blessés au service. Je ne sais pas ce qu’il demande. Pour moi, je ne demanderais, à Versailles, que l’honneur et la consolation de vous entendre.

Tout le monde croit, dans mon pays de neiges, que j’ai un grand crédit auprès de vous, depuis l’aventure des capucins, et surtout depuis celle des montres. Moi, qui suis excessivement vain, je ne les détrompe pas ; ils viennent tous me dire : « Allons, notre secrétaire, vite une lettre pour madame la duchesse, qui fait du bien pour son plaisir 3 ». Je baisse les oreilles, j’écris, et puis je suis tout honteux, et je voudrais m’aller cacher.

J’ai l’honneur d’être, avec un profond respect, et en rougissant de mes hardiesses,

madame,

votre très humble, très obéissant, et très obligé serviteur.

Voltaire. »

1 Manuscrit olographe ; éd. Kehl . Le même jour, la Compagnie des pasteurs note : « M. de La Rive a rapporté qu'il avait reçu une lettre d'un seigneur [Samuel Engel] de l’État de Berne, qui porte que le bruit se répand que M. de Voltaire se propose de faire imprimer à Genève une encyclopédie de vingt volumes et qu'il est bien à craindre qu'elle ne renferme des écrits dangereux . L'avis de la Compagnie a été que M. le Mod[é rateu]r ira informer M. le syndic Rilliet de ce que nous avons appris à cet égard en le priant d'empêcher que cet ouvrage ne s'imprime dans notre ville et que M. de La Rive se joindra à M. le Mod[érateur]r s'il n'y trouve aucun inconvénient […]. » Voir lettre du 1er juin 1770 à La Touraille : https://www.monsieurdevoltaire.com/2015/12/correspondance-annee-1770-partie-16.html

2 Ce n’est pas dans une lettre à Mme de Choiseul , mais dans celle à Mme du Deffand : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/10/27/je-crois-le-fond-de-son-caractere-un-peu-serieux-d-une-coule-6568184.html

3 C'est le dernier vers (approximatif) du dizain constituant la lettre du 30 avril 1770 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/10/04/une-adorable-indifferente-faisant-du-bien-pour-son-plaisir-6565257.html