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17/11/2025

Diligo probos ... J'aime les bons

... Comme l'a été Xavier Emmanuelli : https://www.lemonde.fr/disparitions/article/2025/11/16/xa...

Combien sommes-nous à dire comme lui "Ça me faisait chier de voir que les gens sont à l’abandon, que ça fait partie du mobilier urbain et que c’est seulement en hiver qu’on s’en rappelle. Ça me dérange..." et puis comme lui passer à l'action ?  Trop encore  ne savent que s'émouvoir du sort  de Sarkozy , délinquant de luxe, lui qui nage dans le superflu et ne risque rien et oublient ceux qui sont sans abri . 

Où en sont nos députés à cette heure de discussion du budget et où ils pensent plus à défendre leurs partis et les subventions qui leur reviennent qu'au sort des mal nantis ?

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https://www.eyrolles.com/Loisirs/Livre/au-seuil-de-l-eternite-9782226207388/

 

 

« A Pierre-Laurent Buirette de Belloy

À Ferney 11 juin [1770]

En vérité, monsieur, vous travaillez pour l’honneur de la France, en prose 1 comme en vers. Plus d’une ancienne maison du royaume vous a de très grandes obligations ; mais les lecteurs ne vous en ont pas moins. Vous avez bien mérité du public en tout genre. Les Duchesne 2 et les Dupuits 3 n’ont jamais mieux discuté que vous en généalogie. Les Coucy vous devront leur illustration par vos recherches 4 comme par votre tragédie.

Il est bien naturel, quand tous les Français vous doivent de la reconnaissance, que le maraud de Quimper-Corentin 5 soit le serpent qui ronge votre lime. Celui qui fait honneur à notre littérature doit avoir pour ennemi celui qui en fait l’opprobre. Il est bon que vous connaissiez l’extrait d’une lettre de son beau-frère 6. Vous verrez qu’un homme qui fait un métier aussi infâme ne peut être qu’un scélérat. J’aurais voulu joindre à cet extrait des anecdotes 7 qui m’ont été envoyées de Paris sur ce misérable ; je tâcherai de vous les faire parvenir bientôt. Oportet cognosci malos 8.

Le triste état de ma santé m’empêche de vous en dire davantage. Diligo probos.9 »

1 Mémoires historiques I, Sur la maison de Coucy ; II. Sur la véritable aventure de la dame de Faïel ; III. Sur Eustache de Saint-Pierre ; 1770, in-8°. Voir : https://books.google.fr/books?id=GRYYAAAAMAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

2 André Duchène qui a publié notamment de savantes généalogies de nombreuses maisons françaises importantes : https://fr.wikipedia.org/wiki/Andr%C3%A9_Du_Chesne

3 V* pense apparemment à Pierre Dupuy dont les œuvres historiques n’étaient pourtant pas spécifiquement généalogiques .

4 Gabrielle de Vergy ; voir lettre du 6 décembre 1766 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2022/03/06/je-ferai-donc-ce-qu-on-pretend-que-disait-le-cardinal-de-ber-6369883.html

L'amant de l'héroïne de cette pièce est Raoul de Coucy .

5 Fréron .

8  Il faut que les méchants soient connus .

9 J'aime les bons . On a corrigé l’édition Besterman : Digilo probos .

16/11/2025

On me mande qu’il n’aura point de suites funestes

...

 

« A Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

Eh ! mon Dieu, madame, je n’ai appris que par la poste du 9 de ce mois le triste accident arrivé à M. d’Argental 1. On me mande qu’il n’aura point de suites funestes ; mais on me dit que l’épaule est démise ; cela n’est que trop funeste.

Vous sentez comme je partage vos peines et vos inquiétudes ; nous ne parlons, Mme Denis et moi, que de cette inconcevable aventure. Nous ne savons jamais rien à temps dans nos déserts. Celui qui nous a écrit a supposé que nous étions informés, et n’est entré dans aucun détail. Nous vous demandons en grâce de nous faire écrire, par votre secrétaire, en quel état est M. d’Argental, et comment il s’est pu faire qu’il ait été blessé dans son carrosse. Cela fait frémir. On prétend qu’il y a eu près de trois cents personnes de mortes. Est-ce un échafaud qui est tombé ? Voilà un abominable feu d’artifice.

M. d’Argental est-il au lit ? Son épaule a-t-elle été réellement démise ? Si cela est, il a dû souffrir de grandes douleurs ; tout cela n’a pas dû raffermir votre santé. Nous vous conjurons, madame, de nous faire savoir comment nos deux anges se portent. Nous avons le plus grand besoin d’un mot qui nous rassure. 

11è juin 1770 à Ferney. »

1 Aux fêtes du 30 mai1770 . Ces fêtes données en l'honneur du mariage du dauphin, suivies par le public avec une passion excessive , ont, selon la Gazette de France du 4 juin 1770 fait 132 tués et 26 blessés graves . Le même numéro mentionne que d'Argental a eu l'épaule démise .

Voir : https://www.lhistoire.fr/le-d%C3%A9sastre-de-la-rue-royale

15/11/2025

badinez avec la vie : elle n’est bonne qu’à cela

... Difficile à entendre/comprendre quand on vient de commémorer un massacre qui a eu lieu sous nos yeux il y a dix ans, et pourtant ... les encouragements de mon Patriarche préféré et unique sont ceux d'un homme qui a misé toute sa vie sur l'amitié, et un optimisme qui étonne venant d'un individu physiquement diminué, qui peut en dire autant ?

 

 

« A Jean Le Rond d'Alembert

Mon cher ami, mon cher philosophe, êtes-vous toujours bien imbécile à la manière de Locke et de Neuton ? Prêtez-moi un peu de votre bêtise, j’en ai grand besoin. On dit que vous nous donnez pour confrère monsieur l’archevêque de Toulouse 1, qui passe pour une bête de votre façon, très bien disciplinée par vous. Savez-vous quand les bêtes d’une autre espèce cesseront d’être assemblées ? Cela est assez important pour ce pauvre Panckoucke 2.

Répondez, je vous prie, à une autre question. Le roi de Prusse vous a envoyé, sans doute, son petit écrit 3 contre un livre imprimé cette année, intitulé Essai sur les Préjugés . Ce roi a aussi les siens, qu’il faut lui pardonner : on n’est pas roi pour rien. Mais je voudrais savoir quel est l’auteur de cet Essai 4 contre lequel Sa Majesté prussienne s’amuse à écrire un peu durement. Serait-il de Diderot ? serait-il de Damilaville ? serait-il d’Helvétius ? peut-être ne le connaissez-vous point . Je le crois imprimé en Hollande. L’auteur, quel qu’il soit, me paraît ressembler à Le Clerc de Montmercy 5; il a de la force, mais il fait trop de prose, comme l’autre fait trop de vers.

Il faut que je vous dise un mot de la plaisanterie de l’effigie. Le vieux magot que Pigalle veut sculpter sous vos auspices a perdu toutes ses dents, et perd ses yeux ; il n’est point du tout sculptable 6; il est dans un état à faire pitié. Conseillez, je vous en prie, à votre Phidias de s’en tenir à la petite figure de porcelaine faite à Sèvres, qui lui servirait de modèle. J’aimerais bien mieux avoir votre buste que tout autre.

Bonsoir, mon très cher philosophe ; badinez avec la vie : elle n’est bonne qu’à cela.

Ce 11è juin 1770. 7»

3 Voir lettre de Frédéric II du 24 mai 1770 : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_7893

4 L'auteur de l'Essai sur les préjugés est le baron d'Holbach ; on attribuait cet ouvrage à César Chesneau Du Marsais, et il apparaît même dans le volume VI de l'édition posthume de ses Œuvres, 1797.

6 Néologisme plaisant, accueilli par Littré avec le présent exemple : https://www.littre.org/definition/sculptable

7 Copie contemporaine, Lespinasse ; éd. Kehl . Le même jour, le Conseil de Genève note :  « Sur le rapport fait céans que le sieur Gabriel Cramer, marchand libraire, a commencé d'imprimer un Dictionnaire encyclopédique, composé par le sieur Voltaire sans en avoir demandé la permission en conformité du règlement […] l'intention du Conseil était qu'il suspendit de faire travailler à cette impression jusqu'à ce qu’il en eût obtenu la permission des S[ei]g[neu]rs Scholarques pour obtenir cette permission […]. »

Voir la lettre du 1er juin 1770 à la duchesse de Choiseul : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2025/10/29/je-baisse-les-oreilles-j-ecris-et-puis-je-suis-tout-honteux-6568614.html

14/11/2025

il montre qu'on peut croire en Dieu sans être un sot

... Paroles du Patriarche qui a su garder et entretenir un esprit critique clair contre les religions et reconnaissant seulement un "grand horloger" . Le seul grand horloger que je connaisse est un arrière arrière grand-oncle qui fut professeur à l'école d'horlogerie de Genève ; hors lui , point d'auréolé pour ma foi . Et c'est bien ainsi .

 

 

« A Gabriel Cramer

[vers le 10 juin 1770 ]

Le livre du Système de la nature 1 est admirable dans sept ou huit chapitres . La réfutation est pour le genre humain. Le chapitre sur la forme des métaux est pour moi . Il est curieux, et il montre qu'on peut croire en Dieu sans être un sot . D’ailleurs il est tout à fait honnête ; il m'est très important que ces deux chapitres paraissent ensemble d'autant plus qu’il y est fort question de M. Pigalle.

Je me recommande à l'amitié de monsieur Cramer ; il fera tout comme il voudra . Je l’embrasse de tout mon cœur . »

13/11/2025

Le Saint-Père est un pauvre saint

... Enfin , pas tout à fait saint, Léon XIV est encore vivant et doit encore donner le bon exemple, avec ses idées à lui, démontrant un esprit tristement ( bêtement ? ) conservateur . Il risque un jour d'être "un sot moine qui s'oublie" face à la Curie . Où en est-il à ce jour : https://www.rfi.fr/fr/europe/20251108-l%C3%A9on-xiv-un-po...

 

 

"A Frédéric II, roi de Prusse

8è juin [1770] 1

Quand un cordelier 2 incendie
Les ouvrages d’un capucin,
On sent bien que c’est jalousie,
Et l’effet de l’esprit malin ;
Mais lorsque d’un grand souverain
Les beaux écrits il associe
Aux farces de saint Cucufin,
C’est une énorme étourderie.
Le Saint-Père est un pauvre saint,
C’est un sot moine qui s’oublie :
Au hasard il excommunie.
Qui trop embrasse mal étreint.

Voilà Votre Majesté bien payée de s’être vouée à saint Ignace . Passe pour moi chétif, qui n’appartiens qu’à saint François. Le malheur, sire, c’est qu’il n’y a rien à gagner à punir frère Ganganelli . Plût à Dieu qu’il eût quelque bon domaine dans votre voisinage, et que vous ne fussiez pas si loin de Notre-Dame de Lorette.

Il est beau de savoir railler
Ces arlequins faiseurs de bulles 3;
J’aime à les rendre ridicules ;
J’aimerais mieux les dépouiller.

Que ne vous chargez-vous du vicaire de Simon Barjone, tandis que l’impératrice de Russie époussette le vicaire de Mahomet ? Vous auriez à vous deux purgé la terre de deux étranges sottises. J’avais autrefois conçu ces grandes espérances de vous ; mais vous vous êtes contenté de vous moquer de Rome et de moi, d’aller droit au solide, et d’être un héros très avisé.

J’avais dans ma petite bibliothèque l’Essai sur les Préjugés, mais je ne l’avais lu . J’avais essayé d’en parcourir quelques pages, et, n’ayant vu qu’un verbiage sans esprit, j’avais jeté là le livre. Vous lui faites trop d’honneur de le critiquer 4; mais béni soyez-vous d’avoir marché sur des cailloux, et d’avoir taillé des diamants ! Les mauvais livres ont quelquefois cela de bon qu’ils en produisent d’utiles.

De la fange la plus grossière
On voit souvent naître des fleurs.
Quand le dieu brillant des neuf Sœurs
La frappe d’un trait de lumière.

Tâchez, je vous prie, sire, d’avoir pitié de mes vieux préjugés en faveur des Grecs contre les Turcs : j’aime mieux la famille de Socrate que les descendants d’Orcan 5, malgré mon profond respect pour les souverains.

Sire, vous savez bien que, si vous n’étiez pas roi, j’aurais voulu vivre et mourir auprès de vous.

Le vieux Malade ermite.

Je vois que vous ne voulez point des Trois Grâces de M. Hennin 6. Celles qui vous inspirent quand vous écrivez sont beaucoup plus grâces. »

1 Minute olographe ; éd. Kehl. La présente lettre répond à celle de Frédéric du 24 mai 1771, ce qui permet de dater l'année de façon sûre.

2 Le pape Clément XIV, qui avait été franciscain, avait condamné plusieurs ouvrages anonymes de Voltaire, qui avait sa patente de capucin, et un écrit du roi de Prusse ; voir : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_7893

On y reconnaît le persiflage de Frédéric II à l'égard des philosophes, pacifistes de profession, mais bellicistes dès que les intérêts de leur parti semblent le réclamer .

3 « Arlequin faiseur de bulles » est dans le Pot-pourri ( https://fr.wikisource.org/wiki/Pot-pourri ) . Mais on peut songer aussi aux Lettres d'Amabed : https://fr.wikisource.org/wiki/Les_Lettres_d%E2%80%99Amabed

4 Voir notes de la lettre du 24 mai 1770 de Frédéric II : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1770/Lettre_7893#cite_ref-2

5 Certains historiens turcs attribuent la fondation de l'empire ottoman à Osman Ier, père d'Orcan : https://fr.wikipedia.org/wiki/Osman_Ier

12/11/2025

il est évident qu'il a fait plusieurs friponneries

... Maître Sarkozy continue à fanfaronner et jouer l'innocent , ayant tout loisir de se retrouver hors les murs de la prison ( ce qu'il ne manquera pas de relater dans un énième livre sans intérêt ) . Il va pouvoir à nouveau fréquenter des malfaiteurs en col blanc, en liberté, eux, et qui, pour beaucoup, ne sont pas plus fréquentables que ceux qu'il laisse à la Santé .

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https://www.facebook.com/chaunuemmanuel/posts/%EF%B8%8F-d...

 

 

« A Joseph-Marie Balleidier

Procureur

à Gex

Nous venons d'apprendre, monsieur, que l'avocat qui a rédigé la prétendue coutume de Bresse, n'est point du tout un auteur approuvé, et que très souvent en Bresse ainsi que dans tout le royaume, on a le droit de rentrer dans son bien lorsqu’on n'est pas payé du débiteur auquel on l’a affermé .

Mais quand même Mme Denis serait mise en possession du bien qu'elle a abergé 1 au nommé Mauzier, elle ne serait pas pour cela payée d'environ quarante louis que Mauzier lui doit à présent, environ .

Monsieur Balleidier est prié de faire toutes les diligences nécessaires pour que Mme Denis ne perde rien .

S'il peut présenter requête pour que Mauzier soit contraint par corps, il est prié aussi de prendre cette voie en cas qu'elle soit compatible avec les démarches qu'on a déjà faites .

À l'égard de Choudens, les avocats disent qu'il n'est pas recevable à plaider au fond, attendu que ses lettres de rescision ne sont obtenues que sur un faux exposé, et qu'il est évident qu'il a fait plusieurs friponneries à Mme Denis . C'est sur quoi on enverra à monsieur Balleidier un mémoire plus ample et plus détaillé que le précédent .

Voltaire pour Mme Denis

7è juin 1770 à Ferney.

Mme Denis de mande si c'est à Dijon ou à Gex qu'il faudra plaider au fond contre Choudens, et s'il le faudra bientôt . »

 

1 Aberger signifie céder à bail amphitéotique en vue de construire une maison d’habitation . On dit aussi alberger .

11/11/2025

Il est bon de mettre de grands intervalles dans les affaires : cela donne le temps de réfléchir, et prévient les fausses démarches

... Réfléchir, oui, éviter les fausses démarches, non , nos gouvernants en sont la preuve et leurs opposants ne sont pas meilleurs , plutôt pires en vérité . LFI et RN : pénibles !

 

« A Nicolas-Claude Thieriot

6è juin 1770 à Ferney

Mon ancien ami, comme il y a un an que je n’ai reçu de vos nouvelles 1, j’ignore si vous demeurez aux Incurables ou au faubourg Saint-Antoine 2.

Je suppose que vous n’avez appris la mort de votre frère qu’au bout de trois mois, et que, dans deux ans, vous me manderez si vous avez touché quelque chose de sa succession. Il est bon de mettre de grands intervalles dans les affaires : cela donne le temps de réfléchir, et prévient les fausses démarches.

Vous avez peut-être rencontré depuis votre dernière lettre, c’est-à-dire depuis quinze mois, les héritiers de l’abbé de Châteauneuf, qui se sont arrangés avec vous pour le dépôt de la belle gardeuse de cassette 3. Vous vous êtes accommodé sans doute avec l’assemblée du clergé, afin que, dès qu’elle sera dissoute, on puisse produire M. Billard et l’abbé Grizel sous le nom de M. Garant. Je crois qu’on mettra partout Philosophie à la place de Théologie, pour ne point effaroucher les âmes timorées. M. d’Argental et M. Marin se chargeront de vos intérêts : car, si on s’en remettait à vous, nous n’en saurions des nouvelles que dans trois ans. Vous saurez que, dans trois ans, j’en aurai environ quatre-vingts, s’il plaît à Dieu.

Je suppose que vous recevrez ma lettre en quelque endroit de ce monde que vous soyez gîté ; je vous adresse celle que je dois à M. de Salse 4. Quelque louange que je lui donne, je ne lui ferai pas la moitié du plaisir qu’il m’a fait.

Faites bien mes compliments, je vous prie, à M. de Montmercy 5. Portez-vous bien, vivez longtemps, et aimez-moi. »

1 La dernière lettre de Thieriot date du 26 octobre 1769 .

2 Ce sont deux hôpitaux parisiens de ce temps .

3 Lue à la Comédie Française, où Diderot l'avait présentée, la comédie Le Dépositaire a été « rejetée avec mépris » (Mémoires secrets, de Bachaumont , 7 février 1770 : https://fr.wikisource.org/wiki/M%C3%A9moires_secrets_de_B... ).

5 Claude Germain Le Clerc de Montmercy. Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65165379