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21/04/2021

Je vous souhaite, [ ...] des jours aussi heureux qu'on peut en avoir quand on n'a plus de passions

... Le minimum syndical, en quelque sorte ! A ce stade, c'est juste de la survie .

 

 

« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

à Saint-Joseph

à Paris

Ah ! Madame, madame, qu'avez-vous fait ? Vous laissez courir une lettre 1 qui me brouille avec les gens que j'aime, et qui m'aimaient . Peut-on trahir ainsi son confrère ? Car dans les temps de neige vous savez que je suis votre confrère en aveuglement, et votre maître en souffrance ; soyez donc ma disciple en discrétion . S'il fallait laisser courir des lettres, ce serait les vôtres qu'il faudrait publier ; elles sont écrites avec cette imagination naturelle et charmante qui dit toujours beaucoup sans prétendre à rien. Si j'avais de la vanité je la mettrais à les avoir reçues . Je suis persuadé que les copies qui courent des miennes ne sont pas fidèles ; je le dirai hautement . Vous savez que vous m'avez déjà mis dans la disgrâce de Montcrif 2, voulez-vous me brouiller avec toute l'Académie et la philosophie ? Je commence l'année par vous gronder ; j'espère, si je vis, ne la pas finir de même . Je vous souhaite, à M. le président Hénault et à vous, des jours aussi heureux qu'on peut en avoir quand on n'a plus de passions .

1er janvier 1766 à Ferney. »

Notre nation n’est jamais bien informée de rien dans la première chaleur des événements, et la nation anglaise se trompe très souvent

... La preuve par l'absurde en a été apportée par notre gestion de la pandémie du Covid . Persiste et signe . Rien de nouveau sur notre globule, mon cher Voltaire .

Fondre comestible Feuilleter blanc bonner et bonnet blanc -  kairoscompensation.com

Deux alliés que l'on peut qualifier d'enflures

 

 

« A Clément de La Jonquière

[1765-1766]1

 Il est vrai que j’ai hasardé un Essai sur l’Histoire générale, qui n’est qu’un tableau des malheurs que les rois, les ministres, les peuples de tous les pays, s’attirent par leurs fautes. Il y a peu de détails dans cet ouvrage. Si dans ce tableau général on plaçait tous les portraits, cela formerait une galerie de peinture qui régnerait d’un bout de l’univers à l’autre. Je me suis contenté de toucher en deux mots les faits principaux. Le peu que j’ai dit du combat de Finistère 2 est tiré mot à mot des papiers anglais. Notre nation n’est jamais bien informée de rien dans la première chaleur des événements, et la nation anglaise se trompe très souvent. Je sais au moins qu’elle ne s’est pas trompée sur la justice qu’elle a rendue à tous les officiers français qui combattirent à cette journée ; et comme vous étiez, monsieur, un des principaux, cette justice vous regarde particulièrement. Il se peut très bien faire qu’alors on ignorât à Londres si vous alliez au Canada, ou si vous reveniez de la Martinique 3. Il est encore très naturel que les Anglais aient qualifié les six vaisseaux de guerre français de gros vaisseaux du roi, pour les distinguer des autres ; l’amiral anglais était à la tête de dix-sept vaisseaux de guerre ; et quoique vous n’eussiez affaire qu’à quatorze, votre résistance n’est pas moins glorieuse. Je suis encore très persuadé que les Anglais outrèrent, dans les premiers moments de leur joie, leurs avantages, et qu’ils se trompèrent de plus de moitié en prétendant avoir pris la valeur de vingt millions. Vous savez qu’à ce triste jeu les joueurs augmentent toujours le gain et la perte.

Mon seul but avait été de faire voir la prodigieuse supériorité qu’on avait laissé prendre alors sur mer aux Anglais, puisque de trente-quatre vaisseaux de guerre il n’en resta qu’un au roi à la fin de la guerre : c’est une faute dont il paraît qu’on s’est fort corrigé 4.

Quant aux espèces frappées avec la légende Finistère, il y en eut peu, et j’en ai vu une. Je verrais sans doute avec plus de plaisir, monsieur, un monument qui célébrerait votre admirable conduite dans cette malheureuse journée. On commencera bientôt une nouvelle édition de cet Essai sur l’Histoire générale. Je ne manquerai pas de profiter des instructions que vous avez eu la bonté de me donner. Je rectifierai avec soin toutes les méprises des Anglais, et surtout je vous rendrai la justice qui vous est due 5. Je n’ai point de plus grand plaisir que celui de m’occuper des belles actions de mes compatriotes. Les rois, tout puissants qu’ils sont, ne le sont pas assez pour récompenser tous les hommes de courage qui ont servi la patrie avec distinction. La voix d’un historien est bien peu de chose ; elle se fait à peine entendre, surtout dans les cours, où le présent efface toujours le souvenir du passé. Mais ce sera pour moi une très grande consolation, si vous voyez, monsieur, votre nom avec quelque plaisir dans un ouvrage historique qui contient très peu de noms et de détails particuliers. Il s’en faut de beaucoup que cet Essai historique soit un temple de la gloire ; mais s’il l’était, ce serait avec plaisir que j’y bâtirais une chapelle pour vous. J’ai l’honneur d’être avec tous les sentiments qui vous sont dus,

monsieur.

Je vous demande pardon, monsieur, de ne vous pas écrire de ma main, étant assez malade. »

1 L'édition de Kehl place la lettre fin 1765, comme adressée à « M. M*** /officier de marine », qu'on pense être le marquis de Vandreuil .

2 Bataille du 16 mai 1747 . V* en parle dans ce qui est actuellement le chapitre XXVIII du Précis du siècle de Louis XV : https://fr.wikisource.org/wiki/Pr%C3%A9cis_du_si%C3%A8cle_de_Louis_XV/Chapitre_28

3 V* a écrit : « Ce qu’il y avait de surprenant, c’est que le marquis de La Jonquière, chef de cette escadre, eût soutenu longtemps le combat, et donné encore à un convoi qu’il amenait de la Martinique le temps d’échapper. Le capitaine du vaisseau le Windsor s’exprimait ainsi dans sa lettre sur cette bataille : « Je n’ai jamais vu une meilleure conduite que celle du commodore français ; et pour dire la vérité, tous les officiers de cette nation ont montré un grand courage ; aucun d’eux ne s’est rendu que quand il leur a été absolument impossible de manœuvrer. »

Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cl%C3%A9ment_de_Taffanel_de_La_Jonqui%C3%A8re

4 Après le traité de Paris, le gouvernement tenta avec succès de restaurer la marine , ce qui lui permettra de remporter de beaux succès dans la guerre d'Indépendance américaine . Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Paris_(1763)

et https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k65431869/f164.item

5 V* ne changera rien à son premier texte (Beuchot).

20/04/2021

Il n'y a point de comédie Caro

... Dommage !

Jeu de Phlyax — Wikipédia

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeu_de_Phlyax

 

 

« A Gabriel Cramer

[1765-1766]1

Il n'y a point de comédie Caro . C'est par Dieu bien assez de deux tragédies, avec des dissertations assez curieuses sur des choses très intéressantes . Comment va la tragi-comédie de Genève ? »

1 L'édition Crowley date la lettre de « 1762-1768 ? ».

je ne peux lui ôter ce petit travail, qu’il ne fait que par amitié pour moi

... aurait dit le président Miguel Diaz-Canel à propos de Raul Castro, mais à 89 ans le vieillard secrétaire et maître du parti communiste cubain se retire : enfin !

Quel dictateur suivra ?

raul castro

Barman, fait péter un Cuba-libre ! https://www.1001cocktails.com/recettes/recette_cuba-libre...

 

 

« A Jacob Bouthillier de Beaumont

M. de La Borde, banquier du roi, me mande du 25, monsieur, que les trente-six billets ne lui ont pas été remis par MM. Necker 1 et Thelusson 2, suivant vos ordres et suivant la prière que je leur en avais faite. Je suppose que cette affaire est actuellement consommée. En tout cas, je vous prie de les en faire souvenir par cet ordinaire.

M. Jean Maire, trésorier de Montbéliard et terres adjacentes, est prêt à donner un demi pour cent par mois, tous les trois mois, pour l’argent que vous avancerez, vous ou un autre banquier à Genève, le change toujours au pair, sans aucun autre frais. Mandez-moi votre dernière résolution. Il n’y aura rien d’ailleurs à payer pour moi, ni comptes à faire ; tous mes petits déboursés, pour ce que j’achète à Genève, sont faits par M. Souchay, négociant, depuis longtemps, et je ne peux lui ôter ce petit travail, qu’il ne fait que par amitié pour moi.

Je vous souhaite la bonne année. J’ai l’honneur d’être bien sincèrement, monsieur, votre très-humble et très obéissant serviteur.

À Ferney, 31 décembre 1765

N. B. Ne sachant pas la demeure de MM. Necker et Thelusson, j’ai mis simplement à Paris 3; je vous supplie de les en instruire, et de les prier de retirer la lettre, qui est, je crois, du 18è . Ils me feraient beaucoup de plaisir de faire donner mes trente-six billets à M. de La Borde le plus tôt qu’ils pourront.»

19/04/2021

Achevons doucement notre carrière, en foulant aux pieds les préjugés, en riant des sots, et en fuyant les fanatiques

... Seul vrai bon programme d'existence pour ne pas devenir brindezingue !

Épinglé par Mireille Drissi Beffara sur Geluck... et le chat | Le chat  geluck, Paroles de chat, Chat humour

 

 

 

« A Nicolas-Claude Thieriot

28è décembre 1765

Mon ancien ami, vous allez donc être physiquement grand-père 1; je ne le suis que moralement. Nous élevons tout doucement la marmotte que Mme Dupuits nous a faite. Je n’aime que les anciennes lois romaines qui favorisent la liberté de l’adoption. J’ai été heureux bien tard dans ce monde ; mais enfin je l’ai été, et peu de gens en diront autant d’eux.

Voici ma réponse à votre belle dame 2 qui s’amuse à faire des romans. Je ne la cachette point avec un petit pain, parce qu’on dit que cela n’est pas honnête pour la première fois ; je ne la cachette point avec de la cire, parce qu’un cachet sous l’enveloppe de frère Damilaville serait tâté par les doigts de messieurs de la poste, inconvénient qu’il faut toujours éviter. Ayez donc la bonté de cacheter la lettre à Mme de La Martinière Benoist, et de la faire rendre.

Il faut que le chocolat soit une bonne chose, s’il vous a rendu des yeux, des oreilles, et un estomac ; moi, qui n’ai plus rien de tout cela, je vais donc prendre du chocolat aussi ; mais comme je suis plus vieux de quatre ans que vous, je doute que le chocolat me fasse le même bien. Achevons doucement notre carrière, en foulant aux pieds les préjugés, en riant des sots, et en fuyant les fanatiques. »

1 Thieriot a annoncé le 5 août 1765 le mariage de sa fille naturelle ; voir lettre du 30 août 1765 : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2020/12/27/vous-avez-goute-le-plaisir-d-etre-pere-et-moi-j-ai-ete-inuti-6286858.html

2 Cette « belle dame » dont il est question dans la lettre à laquelle répond V* (vers le 15 décembre 1765 ) est Françoise Albine Puzin de La Martinière Benoist, et son roman qui n'est pas le premier est intitulé Élisabeth (1766) . La lettre que V* lui 'écrivit n'est pas connue .

Voir : https://data.bnf.fr/fr/12117030/francoise-albine_benoist/

et : https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7oise-Albine_Benoist

à voir s'il veut rendre ce service au genre humain

... Thomas Pesquet : il s'agit d'un service tout à fait discutable , selon moi : https://www.leparisien.fr/societe/thomas-pesquet-designe-...

Il est paradoxal que pour prôner la  lutte contre le réchauffement climatique on ait besoin d'une fusée qui va bouffer en quelques minutes  près de 88 tonnes de carburant  pour se retrouver à 400 Km du sol, soit un peu moins que de Paris à Lyon ! Je ne vous dis pas combien d'aller-tours je pourrais faire avec ma modeste berline Peugeot * ( *NDLR - tentative de James pour se faire sponsoriser ) : à titre indicatif 1 260 000 km, donc près de 10 000 heures d'autoroute , ce qui ne me ferait sûrement pas désigner comme modèle ambassadeur de l'ONU . Ce hochet que personne n'ose refuser est parfaitement risible (bon vol malgré tout à notre astronaute ). 

Dessins humoristiques et caricatures sur l'actualité et les sciences par  Olivier Lascar - Sciences et Avenir

 

 

 

« A Pierre-Alexandre du Peyrou

Quoiqu’il ne s'agisse pas dans cette dix-huitième lettre 1 de l'éloquent M. Montmolin, cependant comme il est questions des prêtres qui sont infiniment chers à M. du Peyrou, ainsi qu'à tous les honnêtes gens, on a cru lui faire plaisir de lui adresser cette petite homélie ; si d'ailleurs M. du Peyrou a de la bonne volonté pour ces messieurs, et s'il veut s’amuser à faire imprimer secrètement trois ou quatre cents exemplaires d'un ouvrage utile, s'il connaît quelque imprimeur qui pût travailler secrètement , et ne retenir aucun exemplaire pour lui, il serait supplié en ce cas de faire le marché ; on payerait très exactement . On le prierait de vouloir bien faire porter toutes les feuilles chez lui en sûreté ; on ferait ensuite présent de l'ouvrage à tous les gens qui auraient de la vocation . C'est à M. du Peyrou à voir s'il veut rendre ce service au genre humain ; en ce cas, il n'aurait qu'à envoyer ses ordres à M. Misoprist 2 chez M. Souchay, négociant à Genève . M. Misoprist lui présente ses très humbles obéissances .

 

28 décembre 1765. »

1 La correspondance de du Peyrou avec JJ. Rousseau, entre fin décembre 1765 et mars 1766, éclaire cette phrase et l'ensemble de la lettre . A Rousseau qui lui reproche sa correspondance avec V*, Du Peyrou réplique qu'il reçoit régulièrement les Questions sur les miracles, et que dans le dernier envoi il a trouvé « un mot sous un nom emprunté » (lettre du 7 janvier 1766 ) . La suite de la correspondance laisse comprendre que Du Peyrou a accédé aux demandes  de V*; lettre du 14 février 1766 « Il ne s'agit que de les faire passer sans avis à des libraires . Qu'ils les impriment, à la bonne heure, mais ils doivent ignorer d'où ils [les manuscrits des Questions sur les miracles ] leur viennent . Pourvu que les prêtres perdent leur crédit, et le pouvoir de nuire à des hommes vertueux et qui font usage de leur raison, je suis content . »

Voir : https://data.bnf.fr/fr/12214077/pierre-alexandre_du_peyrou/

et https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb31257250p

et https://www.persee.fr/doc/rhmc_0048-8003_1993_num_40_1_1663

2 Misoprist, surnom rapporté par Du Peyrou , pseudonyme moitié grec moitié anglais qui apparaitra souvent dans l'année 1766 ; il signifie « qui hait les prêtres » . Voir lettre du 3 janvier 1766 de J-J. Rousseau à Du Peyrou .

18/04/2021

Les hommes rentrent en eux-mêmes dans les grands événements qui font la douleur publique, et laissent pour quelques jours leurs vains débats et leurs folles querelles

... Est-ce le cas suite au décès du prince Philip ? Only god knows ! Je pense que la réouverture des pubs, et la joie correspondante, a séché les larmes en mouillant les gosiers : Bottoms up!, Down the hatch!

CHEERS!!! #Winequote FOLLOW ME for a daily dose of vino fun! Cheers!!!  #WineWednesday | Wine quotes, Drinking quotes, Wine jokes

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

28è décembre 1765

Mon cher frère, je me flatte que le triste événement de la mort de M. le Dauphin 1 arrêtera pour quelque temps la guerre des rochets 2 et des robes noires, qu’on ne parlera plus de bulle, quand il ne s’agit que de malheureux De profundis. Les hommes rentrent en eux-mêmes dans les grands événements qui font la douleur publique, et laissent pour quelques jours leurs vains débats et leurs folles querelles. Jean-Jacques Rousseau n’est bon qu’à être oublié ; il sera comme Ramponeau 3, qui a eu un moment de vogue à la Courtille, à cela près que Ramponeau a eu cent fois moins de vanité et d’orgueil que le petit polisson de Genève.

Vous aurez incessamment M. Tronchin à Paris, ainsi vous n’aurez plus de mal de gorge ; pour moi, je serai réduit à être mon médecin moi-même ; ma sobriété me tiendra lieu de Tronchin.

Il y a un Traité des Superstitions 4 qui paraît depuis peu : s’il en vaut la peine, je vous supplie de me l’envoyer. J’espère recevoir dans un mois le gros ballot que Briasson a déjà fait partir ; j’en commencerai la lecture comme celle des livres hébreux, par la fin, et vous savez pourquoi 5.

J’attends aussi des étrennes de vous, et de M. Fréret, et de Bigex. M. Boursier prétend toujours qu’il vous a écrit.

N.B. – A propos, voici ce que j’ai toujours oublié de vous dire pour l’affaire des Sirven. Il me paraît nécessaire que M. de Beaumont rappelle, dans son exorde, la dernière aventure d’un citoyen de Montpellier qui, dans le temps qu’il pleurait la mort de son fils, fut accusé de l’avoir tué, vit descendre chez lui la justice avec le plus terrible appareil, s’évanouit, et fut sur le point de mourir.

Ce dernier exemple, joint à l’aventure éternellement mémorable des Calas, fera voir quels horribles préjugés règnent dans les esprits des Wisigoths. Cela peut non seulement fournir de beaux traits d’éloquence, mais encore disposer favorablement le Conseil. »

1 Le 20 décembre 1765 .

3 Chansonnier qui eût son heure de gloire sous les ombrages de La Courtille ; voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ramponneau_(croque-mitaine)

et : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Courtille

4 Essai sur les erreurs et les superstitions, 1765, de Jean-Louis de Castilhon et dont le Catalogue de Ferney mentionne deux éditions de l'ouvrage .Voir : https://books.google.fr/books?id=D4JYAAAAcAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

5 L'article « Vingtième » rédigé par Damilaville, suivant l’ordre alphabétique se trouve vers la fin . Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tienne_No%C3%ABl_Damilaville