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19/05/2024

Songez qu'on meurt souvent en attendant

... Surtout quand on s'appelle Charles , car Charles ...

 

 

« A Gabriel Cramer

[Vers le 10 novembre 1768]

Mon cher éditeur, je vous envoie à tout hasard cette correction qu'il est bien nécessaire de mettre dans l'errata du Siècle de Louis XIV 1 . J'en envoie un double à votre associé de Paris . Cette faute est si énorme, et si remarquée, qu'on ne peut se dispenser au moins de la corriger dans l'errata . Sans quoi l'ouvrage, qui d'ailleurs est très véridique, serait décrié pour cette seule faute . J'avais fait un relevé de plusieurs autres fautes de la grande édition . Mais vous n'êtes pas venu me donner la séance que vous m'aviez promise . J'attends des feuilles . Songez qu'on meurt souvent en attendant . »

1 Voir lettre du 12 novembre 1768 à Choiseul : http://www.monsieurdevoltaire.com/2015/08/correspondance-annee-1768-partie-31.html

 

 

 

« A Gabriel Cramer

[Vers le 10 novembre 1768]

On vient de recevoir une lettre qui confirme tout ce qu'on a dit ce matin à monsieur Cramer . Il est prié d'y penser . On attend la lettre qu'il a promise . Il est nécessaire qu'on ait demain le carton qui doit réparer la faute énorme du quatrième volume afin qu'on puisse le présenter au roi qui probablement trouvera bon que l'ouvrage se débite. Cependant l'histoire de son temps est une chose si délicate qu'il ne faut compter sur rien . »

 

 

 

« A Gabriel Cramer

[Vers le 10 novembre 1768]

Ayez donc la bonté de songer aux premiers volumes de Duplessis-Mornay. »

18/05/2024

à qui aurai-je recours dans mon besoin sinon à vous ?

... Député.e.s de France, vous êtes enfin appelés à approuver légalement l'aide à mourir, et vous, médecins a apporter le soulagement ultime,- sans vous cacher-, à ceux qui ne peuvent plus supporter une vie dévastée .

https://www.francetvinfo.fr/societe/euthanasie/fin-de-vie...

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Mesdames et messieurs, merci, je vous salue

 

 

« A Guillaume -Claude de Laleu, Secrétaire

du Roi, Notaire

rue Sainte-Croix-de-La-Bretonnerie

à Paris

A Ferney 10è novembre 1768 1

Il m'est survenu, monsieur, une petite affaire qui exige de moi six mille francs de dépenses, à qui aurai-je recours dans mon besoin sinon à vous ? Trouvez bon, je vous en prie, que je tire sur vous une lettre de change par MM. Schérer à Lyon . Je vous serai très obligé .

Je fais mettre au coche de Suisse à Lyon la nouvelle édition du Siècle de Louis XIV et de Louis XV, qui vous arrivera dans trois semaines . Les autres choses que je comptais vous faire présenter, sont bien difficiles à faire passer .

J’ai l'honneur d'être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur

Voltaire. »

1 Cette lettre ne fut envoyée que le 11, en même temps que la lettre à Schérer .

17/05/2024

Il ne s'agit que d'y envoyer du monde si les négociations ne réussissent pas . Mais tout cela coûtera bon

... Pillages, incendies, meurtres, c'est l'actualité calédonienne ; état d'urgence et couvre-feu . Des négociations ? point . Envoyer du monde ? oui , c'est fait et à faire ; ça coutera bon ? énormément ! Voir : https://www.lnc.nc/

A qui profite le crime ? Qui rend cinglés ceux qui devraient négocier ? https://www.lnc.nc/article/nouvelle-caledonie/politique/d...

Indépendantistes - anti-indépendantistes sont-ils assez fous pour détruire leur île et n'être les maîtres que de ruines qui seront sans doute la proie des opportunistes chinois ?

 

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https://la1ere.francetvinfo.fr/info-en-continu-24-24

 

 

« A Marie-Louise Denis,

Pierre-Jacques-Claude Dupuits et Marie-Françoise Dupuits

7è novembre 1768

Labat m 'apporte, ma chère nièce, un gros paquet de coquilles, plus vieilles assurément que le déluge 1; et il me rend votre lettre , et celle du gros conseiller, qui ne sont pas des coquilles . Les 120 livres dont il est question sont assurément le comble de la bêtise, de l’ignorance, et de la méchanceté . D’ailleurs, quand votre gros neveu sera revenu de Picardie, je vous prie de lui dire combien je suis touché de son attention . L'abbé Caille qui est auprès de Lyon, dit que s'il avait été informé plus tôt, il n'aurait pas envoyé les trois voyageurs 2 de là-haut à quelques-uns de ses amis . Il assure qu'il leur a recommandé le secret, et il assure encore qu'ils ne le garderont pas . Tout cela vient très mal à propos ; et ce pauvre abbé jure qu'il ne veut plus que dire son bréviaire, afin d'avoir un bon bénéfice . Son dessein est toujours de venir vous voir avant d'aller à son canonicat . Le temps ne paraît point du tout propre pour hasarder la pièce 3 que vous croyez être de Linant, et que je croit de feu La Touche, auteur d'Iphigénie en Tauride . Je pense qu'il faut mettre cet ouvrage au cabinet, et attendre des acteurs, des actrices, et des conjonctures plus favorables .

Si vous vous amusez, ma chère nièce, avec Grétry 4, vos rendez-vous sans doute seront secrets . Le confident de vos amours est tout prêt, à ce qu'il dit, à parler un peu moins, et à chanter plus . Lorsque les deux vers dont vous parlez furent faits, il ne croyait pas être prophète, mais les poètes le sont quelquefois . Il ne manquera pas de changer cet endroit, de peur des allusions ridicules .

Je vous embrasse bien tendrement, monsieur le capitaine et madame marmotte . Vous ne m'avez jamais dit si vous reçûtes à Hornoy un paquet tout déchiré que votre ancien domestique me donna pour vous, et qui venait, je crois, du trésorier des troupes de Dijon. Il s'agissait d'argent comptant 5 pour vous . J'espère qu'à la fin M. le duc de Choiseul viendra à bout de l'entreprise de Corse . Il ne s'agit que d'y envoyer du monde si les négociations ne réussissent pas . Mais tout cela coûtera bon . Si vous revenez [en ce 6] pays, vous le trouverez dans un triste état , à peine a-t-on pu semer . On craint de manquer de blé l'année prochaine d'un bout de la France à l'autre. »

1 Ces coquillages fossiles posent pour V* le problème de savoir si les mers ont autrefois couvert toute la surface du globe , « Si la mère a été partout, il y a eu un temps où le monde n'était peuplé que de poissons. »

2 Les Trois Empereurs.

3 Les Guèbres .

4 Écrit Guétry sur le manuscrit .

5 A savoir L'Homme aux quarante écus .

6 Wagnière a écrit à ce , puis a biffé ces deux mots sans les remplacer .

16/05/2024

Ayons seulement la consolation de voir avec l’excès de l’horreur et du mépris de méprisables et d’horribles coquins

... La politique et les trafics de toutes sortes nous fournissent encore trop de ces méprisables individus, y compris ceux en cols blancs, et l'actualité riche en meurtres entretien notre horreur plus que de raison . Notre mépris redouble aussi pour ces chroniqueurs du style TPMP qui sont prêts à toutes les bassesses pour garder leur salaire, lèche-cul d'un Hanouna bas de plafond, menteur, lâche et brasseur du pire  .

Alors j'écoute Berurier Noir qui eux, ne sont pas des dégonflés : " Porcherie " https://www.youtube.com/watch?v=FpH0gre8AQw&ab_channe...

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https://www.youtube.com/watch?v=Eg1yDB3c6rY&ab_channel=Alice%27spunkcorner

 

 

« A Jean Le Rond d'Alembert

7è novembre 1768 1

Mon Dieu, que les articles de physique de M. O 2 sont bien faits ! On me lit l’Encyclopédie tous les soirs. Si tout était dans le goût de M. O, quel excellent livre ! Et voilà ce qu’on a persécuté ! Ah ! infâmes Welches ! Et le XVè chapitre de Bélisaire aussi persécuté ! ah, les monstres ! L’abbé Caille 3 grince des dents . Toutefois il vous prie instamment, mon cher philosophe, d’engager les adeptes à ne point prodiguer ces trois empereurs ;

Hic est panis angelorum,
Non mittendus canibus
4.

Ayons seulement la consolation de voir avec l’excès de l’horreur et du mépris de méprisables et d’horribles coquins ; je ne sais si je m’explique. Je vous aime autant que je les abhorre. »

2 L’O est la lettre indicative des articles de d’Alembert dans l’Encyclopédie . Voir lettre du 3 mars 1758 à Tressan : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2013/06/30/le-cri-public-est-la-plus-infaillible-des-intrigues-et-la-me.html

3 Pseudonyme de V* pour Les Trois Empereurs .

4 Prose du Saint-Sacrement à la messe : Ceci est le pain des anges, qui ne doit pas être donné aux chiens.

 

deux cents voyageurs . Je suppose que quand deux cents sont passés, mille peuvent se glisser

...Est-ce le nombre de fraudeurs qui assisteront à l'inauguration des J. O. à Paris ?

Ou alors, comme le brament Zemmour, Marion Maréchal, le RN, LR et bien d'autres, s'agit-il des migrants redoutés ?

Pour ne pas médire idiot en se fiant aux gugusses haineux précités , se renseigner : https://www.immigration.interieur.gouv.fr/Info-ressources/Etudes-et-statistiques/Etudes/Etudes/Infos-migrations#Numeros_parus_en_2024

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https://www.cultura.com/p-des-idees-recues-sur-l-immigration-9782343256795.html

 

 

« A Gabriel Cramer

[Vers le 5 novembre 1768]

Je ne peux encore envoyer un chariot chercher les rapsodies en trois volumes . En attendant que je puisse faire servir mes chevaux à cette expédition, je prie instamment monsieur de faire donner au porteur un exemplaire broché .

Je fais mon compliment à monsieur Cramer sur ses deux cents voyageurs . Je suppose que quand deux cents sont passés, mille peuvent se glisser . »

On tient en esclavage les corps et les esprits autant qu’on le peut. Pour comble de malheur, la fausse politique protège ce fanatisme funeste .

...Tant de gouvernements fonctionnent en ce sens que je manque de place pour tous les citer, les pays démocratiques même n'étant pas capables d'échapper à cette tare , voir par exemple bon nombre d'Etats des USA et ce voyou de Trump , alors que dire des théocraties et dictatures ?

 

 

« A Paul-François de Quélen-Stuer de Caussade, duc de Saint-Mégrin 1

A Ferney  le 4è novembre 1768

Monsieur le duc, le vieux malade solitaire a été pénétré de l’honneur de votre visite et de votre souvenir. Il vous écrit à Paris, comme vous le lui avez ordonné. En quelque lieu que vous soyez, vous y faites du bien, vous acquérez continuellement de nouvelles lumières, et vous fortifiez votre belle âme contre les préjugés de toute espèce. Vous avez voyagé, dans la plus grande jeunesse 2, dans le même esprit que voyageaient autrefois les vieux sages, pour connaître les hommes et pour leur être utiles . Vous vous êtes mis en état de rendre un jour les plus grands services à votre nation 3 . Vous avez parcouru les provinces et les frontières en philosophe et en homme d’État . La raison et la patrie en sentiront un jour les effets. Je ne verrai pas ces jours heureux, mais je mourrai avec la consolation d’avoir vu celui qui les fera naître.

Votre philosophie bienfaisante est déjà connue 4, elle a été ornée des grâces de votre esprit ; tous les gens de lettres vous ont applaudi : il viendra un temps où la nation entière pourra vous avoir de plus grandes obligations. Vous êtes né dans un siècle éclairé ; mais la lumière qui s’est étendue depuis quelques années n’a encore servi qu’à nous faire voir nos abus, et non pas à les corriger ; elle a même révolté quelques esprits qui, faits pour les erreurs, pensent qu’elles sont nécessaires. Plus la raison se développe, plus elle effraye le fanatisme. On tient en esclavage les corps et les esprits autant qu’on le peut. Pour comble de malheur, la fausse politique protège ce fanatisme funeste. Il en est de certaines superstitions comme des déprédations autorisées dans la finance : elles sont anciennes, elles sont en usage : donc il les faut soutenir. Voilà comme l’on raisonne ; on agit en conséquence, et il y en a eu des exemples bien funestes.

Si quelqu’un peut contribuer un jour à rendre la France aussi heureuse qu’elle commence à être éclairée, c’est assurément vous, monsieur le duc. Les Montausier on rendu leur nom célèbre dans le siècle des beaux-arts 5, vous pourrez rendre le vôtre immortel dans celui de la philosophie . C’est ce que je souhaite et que j’espère du fond de mon cœur. Vous m’avez inspiré une tendre vénération ; je ferai des vœux, dans le peu de temps qui me reste à vivre, pour que vous soyez à portée de déployer vos grands talents, et de faire tout le bien dont la France a encore besoin.

Agréez mon profond respect. Si vous avez quelque ordre à me donner, signez seulement une L, et un V 6. Permettez-moi de faire mes compliments à M. Dupont, qui est si digne de votre amitié. »

2 Né en 1746 , il n'a donc que vingt-deux ans.

3 Il deviendra en effet ministre des Affaires étrangères sous Louis XVI.

4 Allusion au Portrait de Mgr le dauphin, 1766, anonyme, qui a été fort admiré ; voir par exemple la Correspondance littéraire, édition Tourneux, VII, 3 , à la date du 1er avril 1766 : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57813823.r=.langFR.textePage

5 Charles de Sainte-Maure, duc de Montausier ( 1610-1690 ) a été gouverneur du dauphin Louis. C'est à lui qu'on doit les éditions dites ad usum delphini : https://fr.wikipedia.org/wiki/Ad_usum_Delphini

15/05/2024

Une dame fort jolie et fort affligée est venue chez moi ; je n’ai pas, à mon âge, de quoi la consoler

... Hélas oui !  à l'évidence le Patriarche ne connait pas les solutions pour empêcher son vieux lit de grincer , comme lui d'ailleurs . Le Figaro, qui se mêle de tout,  vient en aide à ses lecteurs et leurs voisins : https://www.msn.com/fr-fr/sante/other/lit-qui-grince-5-so...

Si ça peut vous rendre service ...

Dites-moi, me suis-je trompé sur le vrai moyen de consolation suggéré ici ?

 

 

 

« A Pierre de Buisson, chevalier de Beauteville 1

4 novembre 1768 à Ferney 2

Monsieur, je suis obligé en honneur de vous rendre compte de ce qui vient de m’arriver. Une dame fort jolie et fort affligée est venue chez moi ; je n’ai pas, à mon âge, de quoi la consoler ; elle m’a assuré qu’il n’y avait que vous qui puissiez lui donner de la consolation. « J’ai le malheur, m’a-t-elle dit, d’être la femme d’un poète. — Votre mari est-il jeune, madame ? fait-il bien des vers ? — Ah ! monsieur, il les fait détestables. — Cela est fort commun, madame ; mais que peut un ambassadeur de France contre la rage de faire de mauvais vers ? — Monsieur, je suis Genevoise, et mon mari est un jeune étourdi nommé Lamande. — Eh bien ! madame, envoyez-le chez Jean-Jacques Rousseau, ils travailleront du même métier. — Monsieur, il y a renoncé pour sa vie. Il s’avisa, il y a deux ans, pendant les troubles de Genève, où personne ne s’entendait, de faire une mauvaise brochure en vers qu’on n’entendait pas davantage 3; il a été banni pour neuf ans par un arrêt du Conseil Magnifique ; il a un père encore plus vieux que vous, qui est aveugle, et qui se trouve sans secours ; ma mère, vieille et infirme, a besoin de mes soins ; je passe ma vie à courir pour me partager entre ma mère et mon mari : monsieur l’ambassadeur de France est le seul qui puisse finir mes malheurs. »

J’ai répondu alors de Votre Excellence ; j’ai assuré la désolée que, si elle venait à votre lever, elle s’en trouverait fort bien ; mais que vous étiez actuellement occupé avec les dames de Saint-Omer 4.

« Hélas ! monsieur, m’a-t-elle répliqué, il peut de Saint-Omer pardonner à mon mari, et me le rendre. On a prétendu que mon mari lui avait manqué de respect dans son impertinent ouvrage, où personne n’a jamais rien compris . — Madame, ai-je dit, si votre mari avait été citoyen de Bergopsom 5 , M. le chevalier de Beauteville lui aurait très mal fait passer son temps ; mais, s’il est citoyen de Genève, et s’il a écrit des sottises, soyez très persuadée que monsieur l’ambassadeur de France n’en sait rien, qu’il ne lit point ces pauvretés, ou qu’il ne s’en souvient plus. » Alors elle s’est remise à pleurer. « Ah ! que monsieur l’ambassadeur pourrait faire une belle action ! disait-elle. — Il la fera, madame, n’en doutez pas ; c’est une de ses habitudes. De quoi s’agit-il ? — Ce serait, monsieur, qu’il trouvât bon que mon Magnifique Conseil abrégeât le temps du bannissement de mon sot mari, qui a voulu faire le bel esprit. Il ne faudrait pour cela qu’un mot de la main de Son Excellence. La grâce de mon mari sera accordée si monsieur l’ambassadeur daigne seulement vous témoigner qu’il sera satisfait que ce Magnifique Conseil laisse revenir mon mari Lamande dans sa patrie, et que je puisse soulager la vieillesse de mes parents. Prenez la liberté de lui demander cette faveur, il ne vous refusera pas : car c’est sans doute une chose très indifférente pour lui que le sieur Lamande et moi nous soyons à Genève ou en Savoie. »

Enfin, monsieur, elle m’a tant pressé, tant conjuré, que j’ose vous conjurer aussi. Une nombreuse famille vous aura l’obligation de la fin de ses peines. Votre Excellence peut avoir la bonté de m’écrire qu’elle est satisfaite de deux ans d’expiation de Lamande, et qu’elle daignera voir avec plaisir qu’il soit rappelé dans sa ville . Voyez, monsieur, si j’ai trop présumé en vous demandant cette grâce, et si vous pardonnez à Lamande et à mon importunité.

Le plus grand plaisir que m’ait fait la jolie pleureuse a été de me fournir cette occasion de vous renouveler le respect et l’attachement avec lesquels  »

2 Minute complétée et corrigée par V* ; édition Kehl .

3 Joseph Lamande : Dictionnaire des négatifs, 1766 . Il ne s'agit pas d'une œuvre ne vers mais d'un catalogue satirique de personnages imaginaires : https://books.google.fr/books?id=Avt8nQEACAAJ&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false

Sur son auteur et sur la punition qu'il subit, voir Rivière, I, 150 ; voir aussi les lettres du 5 mai 1768 à Vernes : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2024/01/05/je-me-flatte-cependant-que-malgre-nos-detestables-cagots-je-6478852.html

et du 13 novembre 1768 à Vernes : http://www.monsieurdevoltaire.com/2015/08/correspondance-annee-1768-partie-31.html

5  Beauteville a pris part aux opérations qui aboutissent en 1747 à la prise de Bergen-op-Zoom. Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_Berg-op-Zoom_...)