30/06/2021
Persequitur pede poena claudo [Le châtiment poursuit [le crime] en boitant]. Il y a des gens auxquels il faut apprendre à vivre, et il est bon de venger quelquefois la raison des injures des maroufles
... ... Dédicace pour quelques chefs d'Etats, ministres, sénateurs, députés, généraux, patrons, cheffaillons de mauvais aloi .
Spectaculaire , et diablement inefficace !
« A Etienne-Noël Damilaville
24 mars 1766 1
Je n'ai , mon cher ami, que l'esquisse du petit discours contre le fanatisme, qu'on prétend envoyer à quelques princes et à quelques philosophes d’Allemagne, et des autres pays étrangers ; mais il faudra le faire cadrer, si cela se peut, avec le mémoire du prophète Élie . Ce mémoire m'a paru susceptible d'être un chef-d’œuvre d'éloquence . Je vous remercie de m'avoir fait connaître l'éloquence des capucins . Je ne sais pas qui a fait l'article Unitaire, mais je sais que je l'aime de tout mon cœur .
Voici trois exemplaires 2 que M. Boursier m'a remis pour vous adresser . Il dit que vous ne ferez pas mal d'en envoyer un autre au prêtre de Novempopulanie 3. Vous voyez que la justice de Dieu est lente ; mais elle arrive . Persequitur pede poena claudo 4. Il y a des gens auxquels il faut apprendre à vivre, et il est bon de venger quelquefois la raison des injures des maroufles .
Nos avons ici la médiation et je crois que vous ne vous en souciez guère . Je vous embrasse bien tendrement . »
1 L'édition de Kehl suivant la copie Beaumarchais fond une partie de cette lettre dans celle du 1er avril 1766, suivie par toutes les éditions .
Voir : http://www.monsieurdevoltaire.com/2014/11/correspondance-annee-1766-partie-12.html
2 De la Lettre pastorale à M. l'archevêque d'Auch ; voir lettre du 4 décembre 1765 au marquis d'Argence : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/04/03/je-vous-crois-actuellement-monsieur-en-train-d-etre-grand-pe1-6307414.html
et : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2009/12/04/e2f127c843a199436bf3580ba99a9b42.html
3 Jean-François de Montillet de Grenaud ; au IXè siècle, Auch est devenue la capitale de la Novempopulanie .
Voir : https://fr.wikipedia.org/wiki/Novempopulanie
et : https://www.andurand.net/these/documents/Eveques%20ordre%20alphabetique.pdf
et : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Fran%C3%A7ois_de_Monti...
et : https://histoire-ain-bugey.pagesperso-orange.fr/demontillet.html
4 Le châtiment poursuit [le crime] en boitant ; d'après Horace, Odes, III, ii, 32 .
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29/06/2021
dans une maison de malades elle ne trouvera pas une chère d'ambassadeur
...Mais chez l'ambassadeur on peut trouver des malades.
Qu'il me soit permis de rassurer Mme Maracineanu : les supporters français ne risquent plus rien, ils n'auront que des bleus à l'âme, et pourront se dispenser d'aller en Russie ; l'impensable est arrivé Suisse 8 France 7, nos bistros font la gueule, les pizzaiolos et les brasseurs aussi -- https://www.foot-national.com/equipe-de-france/euro-marac...
Coup vache pour les Bleus !
« A Pierre-Michel Hennin
Le vieux malade de Ferney, mort ou vif, se joindra à Mme Denis pour faire sa cour à Son Excellence . Elle fait fort bien d'être au régime, car elle peut être assurée que dans une maison de malades elle ne trouvera pas une chère d'ambassadeur .
Si notre très aimable Résident pouvait être de la partie, notre bonheur serait complet . Nous supposons le billet de M. Hennin écrit jeudi au soir 1.
A 10 heures du matin vendredi [21 mars 1766] »
1 V* répond à un billet de Hennin transmettant la demande de Beauteville, à son arrivée à Genève, d'être reçu par V*.
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28/06/2021
Vous serez peut-être étonnés de trouver des numéros en marge,...ces numéros indiquent des notes qu’on prétend mettre à la fin de la pièce...pour la plupart, purement historiques, et serviront à faire connaître les héros ou les monstres
... Tel semble être le mode opératoire adopté par les professeurs chargés de la correction des copies des futurs bacheliers ( >90%, et même >98 %, un taux de république bananière , russe ou turque ou syrienne, etc.) et des futurs brevetés des collèges ( >86% seulement, ce qui est plus honnête). Dieu seul reconnaitra les siens !
« A Charles-Augustin Ferriol comte d'Argental
et à
Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental
24è mars 1766.
Je crois, mes anges, que voici le dernier effort du pauvre petit diable d’ex-jésuite. Vous serez peut-être étonnés de trouver des numéros en marge, comme s’il s’agissait d’une reddition de comptes , mais ces numéros indiquent des notes qu’on prétend mettre à la fin de la pièce. Ces notes sont, pour la plupart, purement historiques, et serviront à faire connaître les héros ou les monstres de ce temps-là. Il y a une préface curieuse : on vous enverra le tout avec les noms des personnages, si vous êtes contents de la pièce . Nous attendrons vos ordres.
Vous ne daignez pas me mander des nouvelles du tripot ; vous ne me dites rien de l’ordonnance qui doit déclarer ma livrée honnête ; pas un mot de la clôture du tripot, ni de la rentrée, ni de l’imposante Clairon. Je ne vous dirai rien non plus de M. de Chabanon ; je ne vous dirai pas que je lui ai donné un sujet que je crois très intéressant et très tragique.
Je me mets sous l’ombre de vos ailes, du fond de mes déserts et du milieu de mes neiges.
V. »
19:33 | Lien permanent | Commentaires (0)
C'est, je crois, aux feuilles C et D qu'il y aura quelques remaniements à faire
... Coronavirus Delta : effectivement les libertés de circulation et les distanciations vont être appelées à être revues, à la baisse pour les premières, à la hausse pour les secondes, sinon , gare à la casse , le virus ne connait pas de vacances .
Vacances ou pas, il est un signe que l'après pandémie est déjà arrivée, l'envie de ne rien faire d'autre que râler revient comme avant chez les Frenchies : les grèves renaissent comme le chiendent chez certains syndicalistes ; et pour tous grève du vote : deux tiers d'abstentionnistes aux élections, 100% de râleurs , on prend les mêmes et on recommence . Chers moutons, rendez-vous dans les bouchons autoroutiers !
« A Gabriel Cramer
[vers le 20 mars 1766]
Je n'ai , mon cher Gabriel, que ce seul exemplaire de la prédication, dont je n'aime comme vous la moitié et dont l'autre moitié me déplait comme à vous .
Je vous renvoie la feuille B. C'est, je crois, aux feuilles C et D qu'il y aura quelques remaniements à faire .
Je vous embrasse […]1. »
1 La moitié inférieure du manuscrit a été déchirée .
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daignez venir dans ma cabane, quand vous serez las de vous crever à Genève. Gardez-vous bien de me faire cet honneur avant deux heures
... Aurait-on là une version du couvre-feu selon Voltaire ?
Les Genevois se disent prêts pour bloquer le variant Delta du Covid , mais de son côté l'équipe suisse sera-t-elle assez forte pour bloquer les attaques françaises sur le gazon ce soir ?
En attendant : https://www.watson.ch/fr/suisse/gen%C3%A8ve/129284808-var...
https://www.swissinfo.ch/fre/multimedia/mieux-vaut-en-rir...
« Au chevalier Pierre de Taulès
À Ferney, 19 mars, par la commodité de M. Souchay,
marchand de drap, au Lion d’or, à Genève.1
Quand je n’avais que soixante ans, monsieur, vous m’auriez vu venir à cheval au-devant de monsieur l’ambassadeur ; mais j’en ai soixante-douze passés, et il y a plus d’un an que je ne suis pas en état de sortir de ma chambre ; je m’adresse à vous hardiment pour faire agréer mes excuses et mon respect. Je prends cette liberté avec vous, parce que je vous ai obligation. On m’a dit, monsieur, que c’est à vous que je dois quelques anecdotes tirées du dépôt des affaires étrangères 2: de plus, M. de Chabanon, qui est très véridique, m’assure que vous m’honorez de quelque bonté ; je vous supplie de me la conserver, et de me procurer celle de Son Excellence. Si j’avais de la santé, je viendrais vous présenter cette double requête, et vous assurer des sentiments respectueux avec lesquels j’ai l’honneur d’être, monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur.
Voltaire.
gentilhomme ordinaire du roi.
M. de Chabanon dit encore que vous daignez 3 venir dans ma cabane, quand vous serez las de vous crever à Genève. Gardez-vous bien de me faire cet honneur avant deux heures. Demandez à M. Hennin. »
1 Le chevalier de Taulès, né en Béarn, était entré, en 1754, dans les gendarmes de la garde du roi, et quelques années après dans les bureaux des affaires étrangères. Il fut, en 1766, nommé secrétaire auprès de M. de Beauteville, qui avait été nommé médiateur, au nom de la France, dans les querelles de Genève. Il eut depuis différentes missions. Mais sa santé le força, en 1779, à demander sa retraite. Il est mort en 1820, laissant en manuscrit un ouvrage sur l’Homme au masque de fer, qui a été publié en 1825, in-8°. (Beuchot.)
Voir : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k56240393.texteImage
2 Dans une lettre conservée, du 16 juillet 1765 . Ce 19 mars 1766, Taulès vient d'arriver à Genève comme secrétaire de l'envoyé Beauteville .
3 Clogenson, suivi des autres éditions corrige daignez en daignerez .
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27/06/2021
il n’y aurait guère que deux mille sages en France ; mais ces deux mille, en dix ans, en produisent quarante mille, et c’est à peu près tout ce qu’il faut : car il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu’il soit instruit
... Constat actuel ? Base des programmes de nos politiciens ? qu'en dit maître Blanquer ? La multiplication des sages selon Voltaire nous amènerait, en supposant deux mille sages au début du quinquennat de Fanfoué, à quarante mille à la fin du quinquennat d'Emmanuel, soit presque un par commune : génial ! non ? Les faits sont têtus , le sage se fait rare et se reproduit au compte gouttes, les malfaisants eux sont prolifiques comme les cloportes .
Tout faire pour que jamais nous ne soyons sous la coupe des censeurs
« A Etienne-Noël Damilaville
19 mars 1766 1
M. de Laleu, mon cher ami, vous donnera tout ce que vous prescrirez. J’attends avec mon impatience ordinaire cette estampe et le mémoire de notre prophète Élie . Il est sans doute signé de plusieurs avocats, dont il faut payer la consultation. Vous êtes le seul qui vouliez bien rendre ces services essentiels à la philosophie. Daignez donc donner à M. de Beaumont ce qu’il faudra , et rendez ces services essentiels à la philosophie 2.
Ô que j’aime cette philosophie agissante et bienfaisante ! Il y a dans le discours de M. de Castillon 3 un bel éloge de cette vraie philosophie qu’il rend compatible avec la religion, ainsi qu’il le devait faire dans un discours public.
Le roi de Prusse mande 4 que, sur mille hommes, on ne trouve qu’un philosophe ; mais il excepte l’Angleterre. À ce compte, il n’y aurait guère que deux mille sages en France ; mais ces deux mille, en dix ans, en produisent quarante mille, et c’est à peu près tout ce qu’il faut : car il est à propos que le peuple soit guidé, et non pas qu’il soit instruit ; il n’est pas digne de l’être 5.
J’ai lu Henri IV 6 : je pense comme vous ; mais je crois que, si on permettait la représentation de ce petit ouvrage, il serait joué trois mois de suite, tant on aime mon cher Henri IV , et je ne vois pas pourquoi on prive le public d’un ouvrage fait pour des Français.
Pourriez-vous, mon cher ami, m’envoyer le Philosophe sans le savoir 7 ? J’ai bien de la peine à écrire de ma main. Wagnière est malade, et un autre copiste est occupé 8.
Voici une petite lettre pour Laleu, et une autre pour Briasson 9, qui me néglige. Mais 10 parlez-moi donc du Dictionnaire . Les souscripteurs l’ont-ils ? Maître Beaudet s’oppose-t-il à la publication ? Les baudets ne passeront pas les trois volumes de Mélanges 11. Il faudra du temps, il faudra attendre qu’il y ait quarante mille sages 12. »
1Il y a trois versions , la copie contemporaine Darmstadt, la copie Beaumarchais-Kehl et l'édition de Kehl ; voie notes suivantes .
2 Ce paragraphe biffé sur la copie Beaumarchais manque dans les éditions anciennes ; l'éd. 1 le remplace par ce texte , joint à la lettre du 28 avril 1766 : «Vous êtes le seul qui vouliez bien rendre ces services essentiels à la philosophie ; daignez donc donner à M. de Beaumont ce qu'il faudra : vous ferez prendre ce qui sera nécessaire chez M. de Laleu . » Le ms 1 supprime la dernière phrase et donne de la troisième une version abrégée .
3 Voir lettre du 8 novembre 1765 à Mme de Dompierre de Fontaine : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/03/01/le-mieux-qu-on-puisse-faire-en-plus-d-un-genre-est-d-attendr-6300802.html
4 Dans une lettre du 25 février 1766, Frédéric écrit : « S'il se trouve donc un homme sur mille qui pense, c'est beaucoup. » Voir : https://fr.wikisource.org/wiki/Correspondance_de_Voltaire/1766/Lettre_6275
5 Depuis car il est à propos […], passage manquant sur ms1.
6 La Partie de chasse de Henri IV, comédie de Collé ; voir lettre du 17 avril 1762 à d'Argental : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2017/03/18/2-5922869.html
7 Voir lettre du 22 novembre 1765 au marquis de Florian : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/03/18/je-ne-sais-si-les-spectacles-ont-cesse-a-paris-dans-la-crise-6304229.html
8 Ce paragraphe manque sur la copie Beaumarchais .
9 Lettres perdues .
10 Ce début manque sur le ms 1 .
11 Voir lettre du 7 février 1766 à Chabanon : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2021/05/27/je-persiste-dans-mes-dernieres-volontes-6318553.html
12 Curieusement l'ed 2 donne pages pour sages .
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26/06/2021
ce qui me paraissait froid auparavant me faisait une très grande impression. Le style m’en parut plus animé, plus pur, et plus vigoureux, les tableaux plus vrais ; enfin je crus voir un plus grand intérêt dans tout l’ouvrage
... Face à la "montée de l'illibéralisme", n'êtes-vous pas émerveillés par le discours de notre Macron national lors du sommet européen du 25 juin à Bruxelles ? Notre jeune dictionnaire sur pattes n'a pas fini d'user d'un langage emberlificoté sensé tancer les vilains sans fâcher directement le fautif, Orban en l'occurence . Appelons un chat "Miaou", et un homophobe "Enflure", et bottons-le en touche (Orban, pas le chat ! ).
« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental
et à
Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental
19 mars [1766]
Il faut, pour réjouir mes anges, que je leur conte que le petit ex-jésuite vint hier chez moi le visage tout enflammé,
Et tout rempli du dieu qui l’agitait sans doute 1.
Il m’apporta son drame 2; je ne le reconnus pas. Tout était changé, tout était mieux annoncé, chaque chose me parut à sa place, et ce qui me paraissait froid auparavant me faisait une très grande impression. Le style m’en parut plus animé, plus pur, et plus vigoureux, les tableaux plus vrais ; enfin je crus voir un plus grand intérêt dans tout l’ouvrage. Sa pièce était un peu griffonnée, et faisait beaucoup de peine à mes faibles yeux . Je le priai de m’en lire deux actes. Ce pauvre garçon n’a pas de dents, et moi, je suis un peu aveugle . Nous nous aidions comme nous pouvions. Le pauvre ex-jésuite n’a point de dents, mais il a de l’âme ; et, ayant le cœur sur les lèvres, il arrive que ses lèvres font à peu près l’effet des dents, et qu’il prononce assez-bien. Mme Denis fut très-émue. Si on ne l’avait pas avertie, elle aurait cru entendre une pièce nouvelle.
« Prenez bien garde, disait-elle à ce petit drôle, que tous vos vers soient coulants. — Ah ! madame ! — Qu’ils soient forts sans être durs. — Eh, mais ! est-ce que vous en avez trouvé de raboteux ? — Je ne dis pas cela 3 ; mais je vous dis que je ne peux souffrir ni un vers disloqué, ni un vers faible, ni une pensée inutile, ni rien qui m’arrête à la lecture : il faut vite transcrire votre ouvrage, afin que j’en juge à tête reposée. — On le transcrira, madame ; mais le copiste est actuellement malade, il faudra attendre quelque temps. — Tant mieux, monsieur ; car, dans cette 4 intervalle, il vient toujours quelque idée. Je vous répète qu’il faut que la diction soit parfaite, sans quoi on ne plaît jamais aux connaisseurs. Quand votre pièce sera bien finie et bien copiée, vous l’enverrez à vos anges, qui l’éplucheront encore. — Je vous assure, madame, que je n’y manquerai pas. »
Pendant cette conversation, M. de Chabanon, de son côté, mettait son plan au net , et le pauvre La Harpe viendra bientôt faire aussi son plan. Nous attendons aujourd’hui M. de Beauteville avec un autre plan ; c’est celui de rendre sages les Genevois. Ce qui est bien sûr, c’est que la pièce finira comme M. le duc de Praslin voudra.
Vous ne me dites rien, mes divins anges, de la pièce 5 que le roi a jouée au parlement . Elle réussit beaucoup dans l’Europe.
Je baise le bout de vos ailes plus que jamais.
V.»
1 D'après Iphigénie, V, 6, de Racine : http://lettres.lem.free.fr/seconde/racine/racine_iphigenie_V6.pdf
2 Le « petit jésuite » est bien évidemment V*, la pièce est Octave .
3 Réminiscence du Misanthrope, I, 2, de Molière : https://www.youtube.com/watch?v=xYVtFypxLNA
4 Sic ; comme pour beaucoup de mots commençant par une voyelle et finissant par un e muet, le genre du mot intervalle est hésitant jusqu'au XIXè siècle .
5 Discours du roi au Parlement, du 3 mars 1766 .
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