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08/02/2017

Le spirituel m’abasourdit. Vous devenez durs et impitoyables . Vous abusez de la bonté que j’ai eue

... On dirait du Sarko s'adressant au juge qui ose, ô sacrilège, le traiter en justiciable . Ce Nicolas est bien placé pour savoir qu'il va pouvoir jouir encore près d'une année de ses privilèges mal acquis en toute impunité , hélas .

 

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Dépensé volontairement plus de 22 millions pour me faire élire ?

Pas moi, m'sieur l'juge !

 

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol , comte d'Argental

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

16 février [1762] 1

La créature du pied des Alpes reçoit la lettre de ses anges, du 9 du courant. Je réponds d’abord à l’article de M. de La Marche . Il s’y est pris trop tard . J’ai le vol des présidents 2. Un M. d’Albertas 3, d’Aix en Provence, vient de me prendre tout ce qui me restait . M. de La Marche, huit jours plus tôt, aurait eu certainement la préférence ; et, dès que j’aurai quelques fonds, ils seront à lui. Voilà pour le temporel.

Le spirituel m’abasourdit. Vous devenez durs et impitoyables . Vous abusez de la bonté que j’ai eue d’avertir, à la tête des scènes de Cassandre que le temple est tantôt ouvert, tantôt fermé, et vous avez la cruauté de me dire en face que, quand le temple sera ouvert, les acteurs viendront jusque dans le péristyle. Est-ce ma faute, à moi malheureux, si vos acteurs n’ont point de voix, s’il faut qu’ils viennent sur le bord du théâtre pour se faire entendre ? De plus, quand le temple est ouvert, ne suppose-t-on pas toujours les personnages dans l’endroit où ils doivent être ? Et nommez-moi donc la pièce où quatre scènes de suite peuvent naturellement se passer dans la même chambre ? Les acteurs ne sont-ils pas tacitement supposés, par le spectateur bénévole, passer d’une chambre à l’autre ? Mais vous n’êtes point bénévoles, et vous avez juré de m’exterminer. Eh bien ! je vous sacrifie la place publique : on se battra dans le parvis , et cela même peut produire quelques vers vigoureux sur le sacrilège. Ensuite vous m’accablez toujours de reproches au sujet d’une fille qui veut servir sa mère, et vous savez en votre conscience que j’ai changé ce passage.

Je ne vous entends point, ou plutôt vous ne m’avez pas entendu quand vous m’écriviez que c’est une énigme inconcevable dans Olympie, de dire à Cassandre : de ce temple surtout garde-toi de sortir 4. Quoi ! sa mère vient de lui dire que Cassandre doit être assassiné au sortir du temple, et Olympie, qui aime Cassandre, ne l’avertira-t-il 5 pas malgré elle ? et ce n’est pas là une belle situation ? Je présume que vous avez lu trop rapidement la scène du quatrième acte entre la mère et la fille : je soupçonne qu’il faut appuyer davantage sur cet assassinat qui doit se commettre au sortir du temple, afin que vous n’ayez plus de prétexte de me persécuter. Vous avez encore la barbarie de ne pas vouloir que Cassandre, le fils de la maison, eût eu mille attentions pour l’esclave de son père. où est donc la contradiction ?

D’ailleurs chaque jour on colle un petit papier . Je vous en ai envoyé trois ou quatre, et j’en ai dix ou douze. Je travaille sans relâche, et pour qui ? pour un peuple ignorant, égaré, volage, qui s’ennuiera aux scènes de Catilina et de César, et qui courra en foule à la fatale union d’Arlequin et de la Foire 6.

Voilà ce qui devrait allumer en vous une sainte et courageuse haine.

Hélas ! j’avais renoncé au tripot ; vous m’avez rembâté 7, vous m’avez renquinaudé 8, et je suis dans l’amertume.

De vous accabler encore de petits papiers à coller, cela vous serait très incommode à la longue . Il vaut mieux reprendre la louable coutume de renvoyer l’exemplaire, d’autant plus que, pendant qu’il sera en route, on aura fait encore peut-être force changements nouveaux pour plaire à mes anges.

Mais ils ne m’ont rien dit du livre infernal de ce curé Jean Meslier, ouvrage très nécessaire aux anges de ténèbres, excellent catéchisme de Belzébuth. Sachez que ce livre est très rare, c’est un trésor. Faites tant que vous pourrez les plus sages efforts contre l’infâme, vous rendrez service au genre humain.

Mille tendres respects.

Nous venons de recevoir Le Droit du seigneur tel qu'on l'a joué . Mme Denis est indignée, elle ne peut concevoir qu'on n'ait pas sifflé d'un bout à l'autre cette rapsodie mutilée, tronquée, sans suite, sans liaison, sans dialogue et privée de tout l'intérêt que le dialogue et la liaison des scènes y avaient mis quand elle sortit de mes mains . Nous vous demandons avec la plus vive instance d'empêcher qu'on imprime cette vilenie . Nous vous aurons la plus grande obligation . »

1 L'édition de Kehl , ainsi que les autres éditions suivantes, supprime le dernier paragraphe . Date complétée par d'Argental .

2 L'expression vol des présidents semble se référer au vol du chapon, étendue de terre qui revenait à l'aîné, outre le manoir principal , dans le partage féodal et qui était évaluée à l'espace qu'un chapon peut couvrir en volant (un arpent) .

3 Avocat-général au parlement de Provence .

4 Olympie, IV, 6 .

5 Sic (il aurait dû dire : elle )

6 Après de longs démêlés , l'Opéré-comique, successeur des théâtres de la Foire, avait été fondu avec la Comédie-Italienne par ordre des gentilshommes de la chambre ; l'ouverture du nouveau théâtre se fit le 3 février 1762 ; on joua , avec un grand succès, deux comédies de Sedaine ; voir lettre du 8 février 1762 à Mme de Fontaine : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2017/01/30/j-ai-toujours-fait-fremir-et-fondre-en-larmes-mais-comme-je-5905118.html

7 Nouveau néologisme voltairien, remettre sous le bât .

8 Enquinauder, déjà utilisé dans la lettre du 19 novembre 1757 : http://www.monsieurdevoltaire.com/article-correspondance-annee-1757-partie-18-116733948.html ; mais ici le mot semble signifier pousser quelqu'un à composer des pièces de théâtre .

 

 

07/02/2017

Patience ! Vous aurez le susdit manuscrit .

... Monsieur le juge, je ne peux vous en dire davantage avant d'avoir fait (tenté de faire) bonne impression sur le bon peuple de France et bluffé LR " , dixit Fanfoué Fillon .

"Qui s'excuse , s'accuse" me disait ma belle-maman et sa digne fille du temps que nous étions trois .

 

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Tout va bien ! mon portefeuille est toujours sur le coeur !

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

[février 1762 ?] 1

Patience ! Vous aurez le susdit manuscrit . J'ai [L’Écueil]du sage . Je vous adore . Dieux ! que cela est supérieur à Nanine et à L’Écossaise . L'agréable et le beau se le disputent . Mais je ne sais ce qu'il veut dire par des vers de six syllabes 2 d'une dureté choquante et insupportable tels que je me suis lassé d'en moquer . Platon sera de mon avis .

À ce soir . »

1 Copie ancienne . Pour la date, voir la remarque sur Le Droit du seigneur . On peut se demander si ce billet est bien adressé à Damilaville . Platon est bien entendu Diderot ; mais on ne peut dire qui est le il dont il est question « ...ce qu'il ...» car nous n'avons pas la lettre à laquelle celle-ci répond .

2 Les vers du Droit du seigneur sont en fait des décasyllabes, parfois césurés 6+4 au lieu de 4+6 .

 

06/02/2017

Nous sommes responsables au public . Mes chers frères un peu d'attention et d'assiduité je vous en conjure , Dieu et les hommes vous récompenseront

... On croirait entendre Fillon à sa réunion politique au  QG des LR .

Bon catho, il s'est confessé et il attend l'absolution , avant , bien sûr, de fauter à nouveau tout en jouant les enfants de choeur .

Les LR n'ont guère le choix, s'ils ne veulent pas trop perdre l'argent de leur mise , que de poursuivre la route avec le même bourrin . Question à 2 roupies : Est-ce Fillon qui a payé les quatre millions de tracts distribués ce jour pour le blanchir ?

Le bourrin se dit lynché, et pire encore , alors qu'il ne serait même pas bon à faire des lasagnes . 

 

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Jamais sans mon assistante, mais on fait chambre à part, chacun son pépin .

 

 

« A Gabriel et Philibert Cramer

[février 1762] 1

Non, non, non . Vous êtes des Suisses vous dis-je ! Quelle barbare idée de mettre serré les noms des acteurs au bout d'une épître ! Prenez vos mesures de façon que ces noms des personnages soient en titre folio recto, et la pièce verso .

Pour y parvenir ôtez une ligne à chaque page . Marge sera plus grande, coup d’œil plus beau . C'est ainsi qu'on fait de belles éditions . Mais surtout jamais les noms des personnages au bas d'une lettre . Fi, gardez-vous bien encore de tirer avant que j'aie revu exactement et moi et d'autres . Pucelle frumille 2 de fautes, mes œuvres en sont hérissées . Je veux bien être imprimé au gros sas 3. Mais pour Corneille c'est autre chose . Nous sommes responsables au public .

Mes chers frères un peu d'attention et d'assiduité je vous en conjure , Dieu et les hommes vous récompenseront . »

1 La lettre se réfère aux premières épreuves de Corneille ; comme la composition avait commencé apparemment vers le 30 janvier, on en déduit la date approximative adoptée .

2 Cette forme de fourmille est attestée dans plusieurs dialectes ; voir entre autres le Nouveau glossaire genevois, de Jean Humbert, 1852 : page 218 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k50673v/f249.item.r=frumille

3 Passer au gros sas se dit du grain ou de la farine, d'où l'emploi au figuré qui se comprend aisément .

 

Que n'êtes-vous à la place des sots dont Paris abonde !

... Et dont l'un des plus célèbres représentant se donnera en spectacle lors d'une conférence de presse cet après-midi . Grand Guignol, ou plutôt Gnafron, morpionnera* ensuite auprès  des quelques uns qui voient encore en lui quelqu'un de méritant, lui donnant l'absolution pour recueillir quelques miettes distribuées par l'élu .

* Du verbe morpionner = s'attacher aux parti(e)s .

 

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Fausse monnaie ou/et faux honnête homme à mettre dans le même tonneau

 http://tetesdaffiches.blogspot.fr/2016/11/rebiffades.html

 

 

« A Sébastien Dupont

Aux Délices , 15 février 1762

Mon cher Dupont, je vous plains d'être où vous êtes , vous avez trop d'esprit pour être heureux à Colmar . Que n'êtes-vous à la place des sots dont Paris abonde ! Vous nous en déferiez .

Voici deux petits rogatons 1 pour vous amuser . C'est tout ce qu'on m'a envoyé de plus nouveau . Adieu ; croyez bien fermenent que je vous aimerai toute ma vie .

V. »

1 Ce sont Les Chevaux et les Ânes, et La Balance égale [ http://www.monsieurdevoltaire.com/article-faceties-balanc... ], comme il apparaît dans la réponse de Dupont du 17 mars 1762, et non pas le Sermon du rabbin Akib et le Testament de Jean Meslier comme l'indiquait le premier éditeur de la présente lettre .

 

havete vedito dunque la bella duchessa ingleze / vous avez donc revu la belle duchesse anglaise

...

 

 

« Au comte Francesco Algarotti

Aux Délices , 15 février 1762

[...] Ho raro la facolta di scrivere col' proprio pugno carrissimo mio cigno, havete vedito dunque la bella duchessa ingleze 1 [...] L'ho riverita una sola volta quando la nostra Merope francesca fue rappresentata da noi à Ferney 2 [...] Mi dispiace molto che'l mio caro cigno non voglia volare di qua della Alpe la prossima prima vera [...] Adio caro vi amero till death 3.

V. »

1 Anne Liddell, fille de Henry, lord Rarensworth, femme d'Augustus Henry, troisième comte de Grafton .

2 En octobre 1761, voir dans une note de lettre du 20 octobre 1761 à d'Alembert, un extrait de lettre à Charlotte de Constant : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2016/10/07/mettons-le-hors-d-etat-de-nuire-en-faisant-voir-combien-il-v-5856235.html

3 J'ai rarement le privilège d'écrire de ma propre main, mon très cher cygne ; vous avez donc revu la belle comtesse anglaise […] Je ne lui ai présenté mes hommages qu'une seule fois quand notre Mérope française fut représentée par nous à Ferney […] Je suis très fâché que mon cher cygne ne veuille pas voler de ce côté des Alpes au printemps prochain […] Adieu, cher, je vous aimerai jusqu'à la mort .

 

05/02/2017

Les gazettes sont souvent très mal informées

... Mais Le Canard et Mediapart le sont bien , -informés .

Les Fillon, vous venez de perdre un soutien : Renaud, qui comme bien d'autres s'était laissé avoir par vos tronches de séminaristes , désormais  : "Fillon et sa Pénélope, dehors !" .

Et quand je pense qu'on vient d'imprimer et distribuer près de trois millions et demi de flyers pour tenter d'effacer le péché (non avoué) qu'on dit véniel, dans le même temps que le Secours Catholique doit encore faire une collecte alimentaire, trouvez l'erreur !  Et que fait le faux-cul ? il fanfaronne, mais il n'aura pas de session de rattrapage, et le plan B, -comme Balkany- est quasiment envisageable chez  LR , qui ferait bien de fusionner avec Téfal .

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« A Marie-Ursule de Klinglin, comtesse de Lutzelbourg

Aux Délices, 14 février 1762

J’apprends, madame, par les nouvelles publiques, une nouvelle que je ne veux pas croire 1 . Les gazettes sont souvent très mal informées . Mais s’il y a quelque fondement à ce funeste bruit, souffrez, madame, que je mêle ma douleur avec la vôtre. Je suis encore très incertain. Je ne peux que me borner à vous dire combien je m’intéresse à vos peines, si vous en avez, et à la douceur de votre vie, si elle n’est point troublée. Votre expérience et votre bon esprit vous ont appris que la vie est bien peu de chose, et qu’il faut au moins en jouir, puisque ce peu est tout ce que nous avons. Quelque malheur qui nous arrive, et quelque perte qu’on fasse, la philosophie doit venir à notre secours, et la sensibilité de nos amis est de quelque consolation. Si la nouvelle est malheureusement vraie, je voudrais être près de vous dans le nombre de ceux dont l’amitié vous console. Vivez, madame, et continuez de devoir votre santé à votre régime. Nous avons dans notre voisinage de Genève une femme qui a cent quatre ans passés 2, et qui gouverne très bien toute sa famille. Ses règles lui sont revenues à cent deux ans. Mais elle n’a pas voulu se remarier. Voilà l’exemple que je vous propose. Adieu, madame. Daignez agréer le tendre intérêt que je prends à vous, mon attachement, et mon respect.

V. »  

 

1 La nouvelle n'est que trop vraie ; le fils de Mme de Lutzelbourg, lieutenant-général, est mort à Fulda le 17 janvier 1762 .

2 Voir lettre du même jour à Mme du Deffand : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2017/02/04/il-faut-que-je-vous-dise-une-chose-tres-consolante-pour-les-5906873.html . Le mot règles de la phrase suivante, remplacé par des points par l'éditeur des Lettres inédites, est restitué par Beuchot .

 

04/02/2017

il faut que je vous dise une chose très consolante pour les femmes.... La partie par où l’on pense ne s’est point affaiblie en elle

... J'adore ce type de périphrase voltairienne . Elle nous laisse loisir à en prendre le contrepied , malignement sans doute, la partie qui pense chez l'homme pouvant singulièrement n'être ni unique, ni dispensée de faiblesse(s), vous le savez mesdames . 

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Mme Lullin , I presume !

 

 

« A Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Aux Délices, 14 février [1762]

Il y a longtemps, madame, que le pédant commentateur de Pierre Corneille n’a eu l’honneur de vous écrire ; il faut que je vous dise une chose très consolante pour les femmes. Il y a dans mon voisinage de Genève une petite femme 1 qui a toujours été d’un tempérament faible : elle a eu hier cent quatre ans. Ses règles lui sont revenues il y a deux ans très régulièrement, et vous jugez bien que les plaisants lui ont proposé de se remarier 2. Elle aime trop sa famille pour donner des frères à ses enfants. La partie par où l’on pense ne s’est point affaiblie en elle : elle marche, elle digère, elle écrit, gouverne très bien les affaires de sa maison. Je vous propose cet exemple à suivre un jour.

Pour des hommes de ce caractère, je n’en connais point : Bernard de Fontenelle 3 n’était qu’un petit garçon auprès de ma Genevoise. Je souhaite à M. le président Hénault la centaine au moins de Fontenelle, mais je crois que Moncrif 4 nous enterrera tous . On dit que sa perruque est mieux arrangée et mieux poudrée que jamais. Tout ce qui me fâche, c’est qu’il ne fasse plus de petits vers ; c’est grand dommage. A propos de Moncrif, j’ai fait une perte considérable dans l’impératrice russe ; mais sur-le-champ j’ai pris l’impératrice-reine 5, et elle a souscrit pour mademoiselle Corneille, tout comme le roi de France. Il faut toujours avoir quelque tête couronnée dans sa manche. Mademoiselle Corneille, d’ailleurs, joue très joliment les soubrettes.

Si j’avais de plus grandes nouvelles, madame, je vous en dirais pour vous amuser ; mais vous avez la meilleure compagnie de Paris chez vous, et vous n’avez pas besoin de ce qui se passe au pied des Alpes.

Vivez, madame ; digérez, pensez, et même riez de toutes les sottises de ce monde, depuis l’inquisition de Lisbonne jusqu’aux pauvretés de Paris, et agréez mon tendre respect.

V. »

1 Sur Mme Lullin, née Fatio, voir lettre du 9 février 1759 à Mme Gallatin : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2014/03/03/i...

2 Depuis Ses règles … , la phrase manque dans la copie Wyart et conséquemment dans toutes les éditions suivantes .

3 Fontenelle était mort un mois avant son centième anniversaire .

4 Il mourra en 1770 à quatre-vingt-trois ans .

5 Marie-Thérèse d'Autriche .