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14/07/2011

C'est une chose abominable que la mort des hommes et que les plus terribles supplices dépendent de cinq radoteurs

"un vieux scélérat d'élu"

 Jeunes ou vieux, on trouve de tout chez les élus, des bons, de moins bons, des détestables . Mais quoi qu'ils fassent, ou plus simplement disent, leurs électeurs restent fidèlement assidus à les réélire , comme s'ils avaient peur de reconnaitre leurs mauvais choix passés, et se reconnaitre aussi mauvais que l'élu de leur coeur . Cocus et contents ...

 Asinus asinum fricat ! comme aurait dit Mgr Lefebvre !

scélérat.jpg

 

Voici le programme des réjouissances au château de Voltaire pour ce 14 juillet 2011 :

http://www.ferney-voltaire.fr/TPL_CODE/TPL_EVENEMENT/PAR_...

 Je peux vous assurer que je ne serai pas en cure aux eaux de Rolle, pourtant très proches, le vin d'ici valant mieux que l'eau de là, comme disait Bacchus . Je boirai à la santé de Mam'zelle Wagnière qui me manque beaucoup, mais il est vrai que comme Volti nous pratiquons le "courtes lettres et longue amitié" . 

 

 

 

« A Etienne-Noël Damilaville

 

Aux eaux de Rolle en Suisse,

par Genève, 14 juillet 1766

 

Vous allez être bien étonné, vous allez frémir, mon cher frère, quand vous lirez la relation que je vous envoie 1. Qui croirait que la condamnation de cinq jeunes gens de famille à la plus horrible mort pût être le fruit de l'amour et de la jalousie d'un vieux scélérat d'élu d'Abbeville 2? La première idée qui vient est que cet élu est un grand réprouvé ; mais il n'y a pas moyen de rire dans une circonstance si funeste . Ne saviez-vous pas que plusieurs avocats ont donné une Consultation qui démontre l'absurdité de cet affreux arrêté 3. ? ne l'aurai-je point cette Consultation ? On dit que le premier président leur en a voulu de faire des reproches, et qu'ils lui ont répondu avec la noblesse et la fermeté dignes de leur profession . C'est une chose abominable que la mort des hommes et que les plus terribles supplices dépendent de cinq radoteurs qui l'emportent par la majorité des voix sur les dix conseillers du parlement les plus éclairés et les plus équitables 4.

 

Je suis persuadé que si sa Majesté eût été informée du fond de l'affaire, elle aurait donné grâce . Elle est juste et bienfaisante ; mais la tête avait tourné aux deux malheureux, et ils se sont perdus eux-mêmes.

 

Je vous conjure, mon cher frère, d'envoyer à M. de Beaumont copie de la relation avec le petit billet que je lui écris 5.

 

Je vous embrasse avec autant de douleur que de tendresse .

 

Est-ce qu'on a brûlé Les délits et les peines ?6

 

 

 

Aux eaux de Rolle 14 juillet 1766

 

Je suis toujours aux eaux, et assez malade, mon cher ami . J'ai mal daté ma dernière 7 qui pourtant ne partira qu'avec ce billet-ci . Je vous supplie de faire rendre cet autre billet à La Combe . Mes amis savent sans doute que je suis aux eaux ; mais je recevrai exactement toutes les lettres qu'on m'écrira à Genève .

 

Voici ce qu'on m'écrit sur Jean-Jacques :

« J'ai vu les lettres de M. Hume . Il mande que Rousseau est le scélérat le plus atroce, le plus noir qui ait jamais déshonoré la nature humaine ; qu'on lui avait bien dit qu'il avait tort de se charger de lui , mais qu'il avait cédé aux instances de ses protecteurs ; qu'il avait mis un scorpion dans son sein, et qu'il en avait été piqué ; que le procès avec cet homme affreux allait être imprimé en anglais ; qu'il priait qu'on le traduisît en français et qu'on vous en envoyât un exemplaire . 8»


 

1 Sans doute la prétendue lettre d'Abbeville, datée du 7 juillet qui relate ce que V* connait alors de l'affaire de La Barre .

2 Détails dans la prétendue lettre d'Abbeville : « Un ... lieutenant de l’Élection ... nommé Belleval, vivait avec la plus grande intimité avec l'abbesse de Vignancour , lorsque deux jeunes gentilshommes, parents de l'abbesse ... arrivèrent à Abbeville . L'abbesse ..., trouvant ... le plus jeune préférable à monsieur l'élu , ... congédia celui-ci ... Belleval, jaloux et chassé, résolut de se venger . Il savait que le chevalier de La Barre avait commis de grandes indécences quatre mois auparavant avec quelques gens de son âge ... l'un d'eux ... avait donné en passant un coup de baguette sur un poteau auquel était attaché un crucifix . Il sut que ces jeunes gens avaient chanté des chansons impies ... On reprochait au chevalier de La Barre d'avoir passé à trente pas d'une procession qui portait le saint-sacrement, et de ne pas avoir ôté son chapeau ... Belleval alla chez tous les témoins, il les menaça ... ; il força le juge d'Abbeville à le faire assigner lui-même en témoignage . Il ne se contenta pas de grossir les objets ... » Les cinq jeunes gens sont : de la barre, Gaillard d'Etallonde, Moinel, Douville de Maillefeu, Dumaisniel de Saveuse .

3 Consultation datée du 27 juin 1766, signée de Cellier, d'Outremont, Muyart de Vouglans, Gerbier , Timbergue, Benoist fils, Turpin, et Linguet .

4 Voir encore la « lettre » : «Il y avait vingt-cinq juges, quinze opinèrent la mort et dix à une correction légère ».

5 Pour son mémoire .

7 Ci-dessus.

8 Le 16 juillet , lettre de d'Alembert qui donne des détails sur la « brouillerie » de Jean-Jacques et de M. Hume : « M. Hume a demandé une pension au roi d'Angleterre pour Rousseau ... » ; voir page 24 : http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k800389/f29.image.r=...

13/07/2011

Ferney ! ici Ferney ! Voltaire parle aux Français !

 

 

 

Une voix d'outre-tombe , celle de Volti, se fera entendre à Ferney-Voltaire (01210 France ), demain, 14 juillet 2011,  en son domaine qu'il quitta en 1778 .

Pour tout vous avouer, je ne l'imaginais pas ainsi, cette "reconstitution" faisant entendre un vieillard , alors que ce qui me plait chez Volti c'est son éternelle jeunesse ; je l'écouterai donc demain uniquement pour la valeur de ses paroles, et je continuerai à entendre sa voix à ma façon .

http://www.ledauphine.com/ain/2011/07/12/la-voix-de-volta...

3Salvador-Dali-Slave-Market-with-the-Disappearing-Bust-of-Voltaire.jpg

 La jeune femme du premier plan est en accord avec l'un des textes, -coquin-,  chanté demain .

 

http://voltaire-a-ferney.org/resources/Voltaire+14+juille...

 

 

 

Ce jour j'ai rédigé une lettre du 27 décembre 1775 à Gaillard d'Etallonde, pour parution en note du 27 décembre 2010 .

11/07/2011

la mémoire de Calas sera rétablie dans l'esprit du public, et c'est la vraie réhabilitation ;...je n'abandonnerai cette affaire qu'en mourant .

 ... Et moi, je n'abandonnerai Volti que par abandon de mes facultés, y compris celle de médecine ...

En passant, je fais des voeux pour que Dirty Silly Keutard reste de triste mémoire dans le public , comme il le mérite .

125-rue-montmartre.jpg

MM. Dufour et Mallet, hébergeurs de Mme Calas, étaient-ils au 125 ?

 

 

 

« A Charles-Augustin Ferriol, comte d'Argental

et à

Jeanne-Grâce Bosc du Bouchet, comtesse d'Argental

 

14 juillet 1762

 

Mes cher anges, votre vertu courageuse n'abandonnera pas l'innocence opprimée, qui attend tout de votre protection ; vous achèverez ce que vous avez si noblement commencé . Mais avant de mettre la chose en règle, il est d'une nécessité absolue d'avoir des réponses positives à la colonne de questions que je prends la liberté de vous envoyer . Je vous conjure de vouloir bien envoyer chercher la veuve Calas . Elle demeure chez MM. Dufour et Mallet, rue Montmartre .

 

Le fils de l'avocat Lavaysse 1 est caché à Paris . Son malheureux père qui craint de se compromettre avec le parlement de Toulouse, tremble que son fils n'éclate contre ce même parlement . Joignez à toutes vos bontés celle d'encourager ce jeune homme contre une crainte si infâme . Donnez-vous du moins la satisfaction de le faire venir chez vous . Daignez l'interroger . Ce sera une conviction de plus que vous aurez de l'abomination toulousaine . Daignez faire écrire tout ce que la Calas et Lavaysse vous auront répondu, faites-nous en part, je vous en supplie .

 

Tous ceux qui prennent part à cette affaire espèrent qu'enfin on rendra justice . Vous savez sans doute que M. de Saint Florentin 2 a écrit à Toulouse, et est très bien disposé . M. le chancelier est déjà instruit par M. de Nicolaï, et par M. d'Auriac . S'il a autant de fermeté que de bienveillance, tout ira bien . Mme de Pompadour parlera . Nous comptons, grâce à vos bontés, sur la vertu éclairée de M. le comte de Choiseul .

 

Je sens bien, après tout, que nous n'obtiendrons qu'une pitié impuissante, si nous n'avons pas la plus grande faveur ; mais du moins , la mémoire de Calas sera rétablie dans l'esprit du public, et c'est la vraie réhabilitation ; le public condamnera les juges et un arrêt du public vaut un arrêt du conseil .

 

Mes anges, je n'abandonnerai cette affaire qu'en mourant . J'ai vu , et j'ai essuyé des injustices pendant soixante années ; je veux me donner le plaisir de confondre celle-ci .J'abandonnerai jusqu'à Cassandre, pourvu que je vienne à bout de mes pauvres roués . Je ne connais point de pièce plus intéressante . Au nom de Dieu faites réussir la tragédie Calas, malgré la cabale des dévots et des Gascons . Je baise plus que jamais le bout des ailes de mes anges .

 

N.B.- Mme Calas sait où demeure Lavaysse, et vous pourrez le faire triompher de sa timidité 3. »

 

1 Ami de la famille Calas, il était présent le soir du drame et V* attache beaucoup d'importance à son témoignage .

2Chargé des Affaires intérieures, et, depuis longtemps, des affaires des protestants .

3 Au sens fort, proche du sens éthymologique .

01/07/2011

ce n'est pas une petite peine que celle de donner du plaisir

http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Louis_de_Voyer_de_Paulmy_d'Argenson

" ... plût à Dieu que vous fussiez dans les places que vous méritez..." : si Dieu écoute encore Volti, je sens venir un monstre remaniement gouvernemental ...!

"...Ce n'est pas pour moi, c'est pour le bonheur de l’État que je le désire ." : eh bien ! cette phrase là, on n'a pas fini de la lire et l'entendre dans la bouche des requins mâles et femelles qui veulent notre bonhheur, en commençant par assurer le leur, être chef des chefs .

"J'aime les Français, mais je hais la persécution"  , " je suis indigné de vous  traiter comme je le fais" ajouterais-je dans le discours d'un futur ex-président, s'il était un petit peu sincère et vraiment au service de la nation -comme il l'a clamé (comme le clament tous les présidents  depuis le fameux "Je vous ai compris !" )

 

 

 

 

 

« A René-Louis de Voyer de Paulmy, marquis d'Argenson

[entre septembre 1739 et février 1740]

Vous m'allez croire un paresseux, Monsieur, et qui pis est, un ingrat, mais je ne suis ni l'un ni l'autre . J'ai travaillé à vous amuser depuis que je suis à Bruxelles et ce n'est pas une petite peine que celle de donner du plaisir . Je n'ai jamais tant travaillé de ma vie, c'est que je n'ai jamais eu tant d'envie de vous plaire . Vous savez, Monsieur, que je vous avais promis de vous faire passer une heure ou deux assez doucement . Je devais avoir l'honneur de vous présenter ce petit recueil qu'imprimait Prault ; toutes ces pièces fugitives que vous avez de moi fort informes , et fort incorrectes m'avaient fait naître l'envie de vous les donner un peu plus dignes de vous 1. Prault les avait aussi manuscrites . Je me donnai la peine d'en faire un choix et de corriger avec un très grand soin tout ce qui devait paraître . J'avais mis mes complaisances dans ce petit livre . Je ne croyais pas qu'on dût traiter des choses aussi innocentes plus sévèrement qu'on n'a traité les Chapelle, les Chaulieu, les La Fontaine, les Rabelais et même les épigrammes de Rousseau . Il s'en faut de beaucoup que le recueil de Prault approchât de la liberté du moins hardi de tous les auteurs que je cite . Le principal objet même de ce recueil était le commencement du Siècle de Louis XIV, ouvrage d'un bon citoyen et d'un homme très modéré . J'ose dire que dans tout autre temps une pareille entreprise serait encouragée par le gouvernement . Louis XIV donnait six mille livres de pension aux Valincourt, aux Pellisson , aux Racine et aux Despréaux pour faire son histoire qu'ils ne firent point, et moi je suis persécuté pour avoir fait ce qu'ils devaient faire . J'élevais un monument à la gloire de mon pays, et je suis écrasé sous les premières pierres que j'ai posées . Je suis en tout un exemple que les belles-lettres n'attirent guère que des malheurs . Si vous étiez à leur tête je me flatte que les choses iraient un peu autrement ; et plût à Dieu que vous fussiez dans les places que vous méritez . Ce n'est pas pour moi, c'est pour le bonheur de l’État que je le désire .

 

Vous savez comment Govers 2 a gagné ici son procès tout d'une voix, comment tout le monde l'a félicité, et avec quelle vivacité les grands et les petits l'ont prié de ne point retourner en France . Je compte pour moi rester très longtemps dans ce pays-ci . J'aime les Français, mais je hais la persécution, je suis indigné d'être traité comme je le suis, et d'ailleurs j'ai de bonnes raisons pour rester ici . J'y suis entre l'étude et l'amitié, je n'y désire rien, je n'y regrette que de ne vous point voir . Peut-être viendra-t-il des temps plus favorables pour moi où je pourrai joindre aux douceurs de la vie que je mène, celle de profiter de votre commerce charmant, de m’instruire avec vous et de jouir de vos bontés . Je ne désespère de rien . J'ai vu ici M. d'Argens . Je suis infiniment content de ses procédés avec moi . Je vois bien que vous m'aviez un peu recommandé à lui .

 

Mme du Châtelet vous a écrit, ainsi je ne vous dis rien pour elle . Conservez-moi vos bontés, je vous en conjure ; vous savez si elles me sont précieuses.

 

V. »


1 Sur ce Recueil de pièces fugitives en prose et en vers, voir lettre du 26 mars 1739 à Prault : http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2010/03/26/j...

2 V* parle dans plusieurs lettres, au président de Meinières et à Fleury, de ce Govers qui « a été au château de la Bastille dans le même appartement » que lui « il y a vingt cinq ans », de ses démêlés avec Chéron, en avril 1741 de son ingratitude et du chantage qu'il exerce, en septembre 1742 du pardon qu'il demande à Chéron qui a été condamné par le Conseil de Brabant, a passé trois ans dans la prison des criminels alors qu'il ne devait rien à Govers .

30/06/2011

Mia cara, si direbbe che non ardisco presentar mi inanzi alle vostre belle ...

 

... natiche !?

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Une ardeur juvénile chez ce Volti cinquantenaire , qui fait plaisir à voir ...

 Is this love ?...

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... Yes !

 

 

 

« A Marie-Louise Denis

 

Mia cara, si direbbe che non ardisco presentar mi inanzi alle vostre belle ...1 d'al tempo che ho contaminata la vostra casa . Sono indegno di voi mia anima, ma non bramo meno di rivederla . Gli affari mi struggono, sono stanco del mondo, sono desideroso delle vostra compagnia . Vorrei passare la matina, il mezzo giorno, la sera con voi . Ma il vortice del mondo mha inghiottito . Ah ! cara, cara, quando potra il vostro tenero amico vivere con voi sola ?

 

Sabbato . »

 

volti et mme denis.jpg

 

Traduction

 

« Ma chère, on dirait que je n'ose pas me présenter devant vos belles [...] depuis le temps que j'ai souillé votre maison . Je suis indigne de vous, mon âme, mais je n'en brûle pas moins de vous revoir . Les affaires me rongent, je suis fatigué du monde, je suis désireux de votre compagnie . Je voudrais passer la matinée, la journée, la soirée avec vous . Mais le tourbillon du monde m'a englouti . Ah ! chère, chère, quand votre tendre ami pourra-t-il vivre avec vous seule ?

 

Samedi [1745-1746 ?] » 


1 Le mot manque, mais je parierais volontiers, compte tenu des chaudes relations qu'ils entretenaient , que ce mot est « fesses » , "belle natiche" ! Si je me trompe, dites-le moi !

 

Take me darling :

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Lively up yourself :
 
Et bien sûr, cette chanson qui me plait énormément  :
No woman no cry:
 
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29/06/2011

moi je prophétise que Moustapha sera battu

 

Voir note du 27 février 2011 rédigée le 29 juin 2011 : lettre à Catherine II du 27 février 1771 :

http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2011/02/27/les-poetes-autrefois-etaient-prophetes.html

Voir aussi la correspondance de cette période :

 

http://www.monsieurdevoltaire.com/article-correspondance-catherine-ii-et-voltaire---partie-10-38973580.html

 

 

Et moi, je prophétise que X,Y,Z, candidat(e)s aux présidentielles, seront battus ... Facile !!!

28/06/2011

Ce livre m'a toujours paru un cabinet mal rangé avec de beaux lustres de cristal de roche

 

Voici, ci-dessus, ce que pense Volti, dans l'immédiate lecture de L'Esprit des lois de Montesquieu .

Je trouve cette métaphore très parlante , comme d'habitude avec lui .

 

lustre.jpg

 

Je fais mienne cette amicale salutation : " Il est bon de se retrouver le soir après avoir couru dans cette journée de la vie " que je dédie affectueusement à Mam'zelle Wagnière, -qui est mon Thieriot à moi,- amie que je vois trop peu souvent , mais que je suis fidèlement chaque jour sur son magnifique blog voltairien "monsieurdevoltaire" qui nous éclaire, et apporte un bon lot de sourires.

 

 

Ce jour, voir lettre du 27 février 1755 à Thieriot éditée le 27 février 2011, rédigée le 28 juin 2011 :

http://voltaireathome.hautetfort.com/archive/2011/06/28/on-a-oublie-tout-net-les-petits-appartements-commodes-pour-l.html